Je viens de lire la note “EndOfPage” de David Larlet dans laquelle il explique pourquoi il arrête de publier des articles en Anglais et retourne à sa langue native, le Français.

I decided to switch from English to French as my blogging language so this post is the last one in English for a few reasons:

  • I started to write in English to somehow extend my audience given that I went to Japan and only a very few Japanese people are reading French. I’m pretty sure no Japanese at all ever read that page so I can consider this as a failure, I realized way too late that integration is before all about working together in Japan :-).
  • It looks like Craig Kerstiens is the only one reading English-only across my few readers (thank you!), probably because my vocabulary and grammar are so bad or my thoughts far from those of another country. Anyway, trying to think in English was a good experiment but now I need to improve myself via discussion, not unidirectional writing anymore.
  • I want to be involved locally, from OpenData to (micro)events, and to interact with my French peers. Moreover, I’m trying something new with Scopyleft and I’m sure that feedback about that adventure is more valuable for French people too.

Je vous vois demain !

from

Je trouve ce retour d’expérience particulièrement intéressant.

Traduction ChatGPT :

J’ai décidé de passer de l’anglais au français pour mes publications de blog, et ce post sera le dernier en anglais, pour plusieurs raisons :

  • J’avais commencé à écrire en anglais pour élargir mon audience, notamment parce que je vivais au Japon et que très peu de Japonais lisent le français. Il se trouve que probablement aucun Japonais n’a jamais lu cette page, donc je considère cela comme un échec. J’ai réalisé bien trop tard que l’intégration au Japon passe avant tout par le travail collaboratif.
  • Il semble que Craig Kerstiens soit le seul à lire mes articles en anglais parmi mes rares lecteurs (merci à lui !), probablement parce que mon vocabulaire et ma grammaire laissent à désirer, ou que mes pensées sont trop éloignées de celles d’autres cultures. Quoi qu’il en soit, essayer de réfléchir en anglais a été une bonne expérience, mais je ressens maintenant le besoin de m’améliorer à travers des discussions plutôt que par une écriture unidirectionnelle.
  • Je souhaite m’impliquer localement, de l’OpenData aux (micro)événements, et interagir avec mes pairs francophones. De plus, je me lance dans une nouvelle aventure avec Scopyleft, et je suis convaincu que les retours d’expérience seront plus pertinents pour un public français.

Je vous dis à demain !