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Journal du vendredi 04 juillet 2025 à 16:14 #linux, #kernel, #network, #JaiDécouvert

En étudiant IPv6 et Linux bridge, j'ai découvert que le projet bridge-utils est déprécié. À la place, il faut utiliser iproute2.

Ce qui signifie que je ne dois plus utiliser la commande brctl, chose que j'ignorais jusqu'à ce matin.

iproute2 remplace aussi le projet net-tools. Par exemple, les commandes suivantes sont aussi dépréciées :

  • ifconfig remplacé par ip addr et ip link
  • route remplacé par ip route
  • arp remplacé par ip neigh
  • brctl remplacé par ip link
  • iptunnel remplacé par ip tunnel
  • nameif remplacé par ip link set name
  • ipmaddr remplacé par ip maddr

Au-delà des aspects techniques — utilisation de Netlink plutôt que ioctl — l'expérience utilisateur me semble plus cohérente.
J'ai une préférence pour une commande unique ip accompagnée de sous-commandes plutôt que pour un ensemble de commandes disparates.
Cette logique de sous-commandes s'inscrit dans une tendance générale de l'écosystème Linux, et je pense que c'est une bonne direction.
Je pense notamment à systemctl, timedatectl, hostnamectl, localectl, loginctl, apt, etc.

Quand j'ai débuté sous Linux en 1999, j'ai été habitué à utiliser les commande ifup et ifdown qui sont en réalité des scripts bash qui appellent entre autre ifconfig.
Ces scripts ont été abandonnés par les distributions Linux qui sont passées à systemd et NetworkManager.

En simplifiant, l'équivalent des commandes suivantes avec NetworkManager :

$ ifconfig
$ ifup eth0
$ ifdown eth0

est :

$ nmcli device status
$ nmcli connection up <nom_de_connexion>
$ nmcli connection down <nom_de_connexion>

Contrairement à mon intuition initiale, NetworkManager n'est pas un simple "wrapper" de la commande ip d'iproute2.

En fait, nmcli fonctionne de manière totalement indépendante d'iproute2, comme le montre cet exemple :

nmcli device show
    ↓ (Method call via D-Bus)
org.freedesktop.NetworkManager.Device.GetProperties()
    ↓ (NetworkManager traite la requête)
nl_send_simple(sock, RTM_GETLINK, ...)
    ↓ (Socket netlink vers kernel)
Kernel: netlink_rcv() → rtnetlink_rcv()
    ↓ (Retour des données)
RTM_NEWLINK response
    ↓ (libnl parse la réponse)
NetworkManager met à jour ses structures
    ↓ (Réponse D-Bus)
nmcli formate et affiche les données

Autre différence, contrairement à iproute2, les changements effectués par NetworkManager sont automatiquement persistants et il peut réagir à des événements, tel que le branchement d'un câble réseau et la présence d'un réseau WiFi connu.

Les paramètres de configuration de NetworkManager se trouvent dans les fichiers suivants :

# Fichier principal
/etc/NetworkManager/NetworkManager.conf

# Fichiers de configuration additionnels
/etc/NetworkManager/conf.d/*.conf
# Configurations système (root)
/etc/NetworkManager/system-connections/

# Configurations utilisateur
~/.config/NetworkManager/user-connections/

Comme souvent, Ubuntu propose un outil "maison", nommé netplan qui propose un autre format de configuration. Mais je préfère utiliser nmcli qui est plus complet et a l'avantage d'être la solution mainstream supportée par toutes les distributions Linux.

Journal du vendredi 04 juillet 2025 à 14:46 #linux, #admin-sys, #network, #JaiDécouvert

En étudiant IPv6 et Linux bridge, j'ai découvert que Netlink a été introduit pour remplacer ioctl et procfs.

Netlink permet à des programmes user-land de communiquer avec le kernel via une API asynchrone. C'est une technologie de type inter-process communication (IPC).

La partie "Net" de "Netlink" s'explique par l'histoire : au départ, Netlink servait exclusivement à iproute2 pour la configuration réseau.
L'usage de Netlink s'est ensuite généralisé à d'autres aspects du kernel.

Journal du vendredi 23 mai 2025 à 18:22 #gnome, #naming, #linux, #JaiDécouvert

#JaiDécouvert l'origine du nom du projet Flatpak :

Flatpak was originally developed by Alexander Larsson, who had been working on similar projects stretching back to 2007. The first release was as XDG-App in 2015. It was renamed to Flatpak in 2016, a nod to IKEA's "flatpacks" for delivering furniture.

source

J'adore l'idée derrière ce nom !

Faut-il encore configurer du swap en 2025, même sur des serveurs avec beaucoup de RAM ? #OnMePoseLaQuestion, #DevOps, #admin-sys, #linux, #JaiDécouvert, #JaiLu

Aujourd'hui, j'ai implémenté des tests de montée en charge à l'aide de Grafana k6. En ciblant un site web hébergé sur un petit serveur Scaleway DEV1-M, j'ai constaté que le serveur est devenu inaccessible à la fin des tests. Aucun swap n'était configuré sur cette Virtual machine de 4Go de RAM.

Je me suis souvenu qu'en 2019, j'ai rencontré aussi des problèmes de freeze sur une VM AWS EC2 que j'ai corrigés en ajoutant un peu de swap au serveur. Après cela, je n'ai constaté plus aucun freeze de VM pendant 4 ans.

Ce sujet de swap m'a fait penser à la question qu'un ami m'a posée en octobre 2024 :

Désactiver le swap sur une Debian, recommandé ou pas ?

Alors que j'ai 29Go utilisé sur 64, le swap était plein (3,5Go occupé à 100%), les 12 cœurs du serveur partaient dans les tours. J'ai désactivé le swap et me voilà gentiment avec un load average raisonnable, pour les tâches de cette machine.

C'est une très bonne question que je me pose depuis longtemps. J'ai enfin pris un peu de temps pour creuser ce sujet.

Sept mois plus tard, voici ma réponse dans cette note 😉.

#JaiDécouvert le paramètre kernel nommé Swappiness.

swappiness

This control is used to define how aggressive the kernel will swap memory pages. Higher values will increase aggressiveness, lower values decrease the amount of swap. A value of 0 instructs the kernel not to initiate swap until the amount of free and file-backed pages is less than the high water mark in a zone.

The default value is 60.

documentation du kernel

Dans la documentation SwapFaq d'Ubuntu j'ai lu :

The swappiness parameter controls the tendency of the kernel to move processes out of physical memory and onto the swap disk. Because disks are much slower than RAM, this can lead to slower response times for system and applications if processes are too aggressively moved out of memory.

  • swappiness can have a value of between 0 and 100
  • swappiness=0 tells the kernel to avoid swapping processes out of physical memory for as long as possible
  • swappiness=100 tells the kernel to aggressively swap processes out of physical memory and move them to swap cache

The default setting in Ubuntu is swappiness=60. Reducing the default value of swappiness will probably improve overall performance for a typical Ubuntu desktop installation. A value of swappiness=10 is recommended, but feel free to experiment. Note: Ubuntu server installations have different performance requirements to desktop systems, and the default value of 60 is likely more suitable.

source

D'après ce que j'ai compris, plus swappiness tend vers zéro, moins le swap est utilisé.

J'ai lu ici :

vm.swappiness = 60 : Valeur par défaut de Linux : à partir de 40% d’occupation de Ram, le noyau écrit sur le disque.

source

Cependant, je n'ai pas trouvé d'autres sources qui confirment cette correspondance entre la valeur de swappiness et un pourcentage précis d'utilisation de la RAM.

J'ai ensuite cherché à savoir si c'était encore pertinent de configurer du swap en 2025, sur des serveurs qui disposent de beaucoup de RAM.

#JaiLu ce thread : "Do I need swap space if I have more than enough amount of RAM?", et voici un extrait qui peut servir de conclusion :

In other words, by disabling swap you gain nothing, but you limit the operation system's number of useful options in dealing with a memory request. Which might not be, but very possibly may be a disadvantage (and will never be an advantage).

source

Je pense que ceci est d'autant plus vrai si le paramètre swappiness est bien configuré.

Concernant la taille du swap recommandée par rapport à la RAM du serveur, la documentation de Ubuntu conseille les ratios suivants :

       RAM      Swap    Maximum Swap
      256MB    256MB           512MB 
      512MB    512MB          1024MB
     1024MB   1024MB          2048MB
        1GB      1GB             2GB
        2GB      1GB             4GB
        3GB      2GB             6GB
        4GB      2GB             8GB
        5GB      2GB            10GB
        6GB      2GB            12GB
        8GB      3GB            16GB
       12GB      3GB            24GB
       16GB      4GB            32GB
       24GB      5GB            48GB
       32GB      6GB            64GB
       64GB      8GB           128GB
      128GB     11GB           256GB
      256GB     16GB           512GB
      512GB     23GB             1TB
        1TB     32GB             2TB
        2TB     46GB             4TB
        4TB     64GB             8TB
        8TB     91GB            16TB

source

#JaiDécouvert aussi que depuis le kernel 2.6, les fichiers de swap sont aussi rapides que les partitions de swap :

Definitely not. With the 2.6 kernel, "a swap file is just as fast as a swap partition."

source

Suite à ces apprentissages, j'ai configuré et activé un swap de 2G sur la VM Scaleway DEV1-L équipée de 4G de RAM, avec le paramètre swappiness réglé à 10.

J'ai relancé mon test Grafana k6 et je n'ai constaté plus aucun freeze, je n'ai pas perdu l'accès au serveur.

De plus, probablement grâce au paramètre swappiness fixé à 10, j'ai observé que le swap n'a pas été utilisé pendant le test.

Suite à ces lectures et à cette expérience concluante, j'ai décidé de désormais configurer systématiquement du swap sur tous mes serveurs de la manière suivante :

if swapon --show | grep -q "^/swapfile"; then
    echo "Swap is already configured"
else
    get_swap_size() {
        local ram_gb=$(free -g | awk '/^Mem:/ {print $2}')
        
        # Why this values? See https://help.ubuntu.com/community/SwapFaq#How_much_swap_do_I_need.3F
        if [ $ram_gb -le 1 ]; then
            echo "1G"
        elif [ $ram_gb -le 2 ]; then
            echo "1G"
        elif [ $ram_gb -le 6 ]; then
            echo "2G"
        elif [ $ram_gb -le 12 ]; then
            echo "3G"
        elif [ $ram_gb -le 16 ]; then
            echo "4G"
        elif [ $ram_gb -le 24 ]; then
            echo "5G"
        elif [ $ram_gb -le 32 ]; then
            echo "6G"
        elif [ $ram_gb -le 64 ]; then
            echo "8G"
        elif [ $ram_gb -le 128 ]; then
            echo "11G"
        else
            echo "11G"
        fi
    }

    SWAP_SIZE=$(get_swap_size)
    fallocate -l $SWAP_SIZE /swapfile
    chmod 600 /swapfile
    mkswap /swapfile
    swapon /swapfile

    if ! grep -q "^/swapfile.*swap" /etc/fstab; then
        echo "/swapfile none swap sw 0 0" >> /etc/fstab
    fi
fi

# Why 10 instead default 60? see https://help.ubuntu.com/community/SwapFaq#:~:text=a%20value%20of%20swappiness%3D10%20is%20recommended
echo 10 | tee /proc/sys/vm/swappiness
echo "vm.swappiness=10" | tee -a /etc/sysctl.conf

Journal du jeudi 20 mars 2025 à 10:20 #europe, #open-source, #linux, #linux-desktop, #UnJourPeuxÊtre, #JaiDécouvert

Le dimanche 17 novembre 2024, j'ai signé la pétition "nº 0729/2024, présentée par N. W., de nationalité autrichienne, sur le déploiement d’un système d’exploitation «UE-Linux» dans les administrations publiques de tous les États membres".

La commission des pétitions du Parlement européen a communiqué sa réponse le 10 janvier 2025 : PETI-CM-767965_FR.pdf .

Quelques extraits :

Le pétitionnaire demande à l’Union de développer un système d’exploitation pour ordinateur sous Linux, appelé «EU-Linux», et de le déployer dans tous les services publics des États membres.
Cette initiative vise à réduire la dépendance à l’égard des produits Microsoft, à garantir le respect du règlement général sur la protection des données et à favoriser la transparence, la durabilité et la souveraineté technologique au sein de l’Union.
Le pétitionnaire insiste sur l’importance de recourir à des solutions open source se substituant à Microsoft 365, telles que Libre Office et Nextcloud, et propose d’adopter le système d’exploitation mobile E/OS sur les appareils utilisés par les pouvoirs publics. Il souligne par ailleurs le potentiel de création d’emplois dans le secteur des technologies de l’information.

page 1

Bon résumé 👍️.

L’Union soutient toujours davantage la création de logiciels open source, qui limitent la dépendance à l’égard de fournisseurs uniques, favorisent la transparence et renforcent la sécurité des données. Récemment, le règlement pour une Europe interopérable, entré en vigueur en avril 2024 afin de favoriser une coopération fluide entre les États membres, a fait du recours à l’open source et aux normes ouvertes dans les services publics une priorité; les administrations sont ainsi plus transparentes, sûres et à l’abri de tout enfermement propriétaire.

page 2

Lien vers le texte du règlement : "Règlement (UE) 2024/903 du Parlement européen et du Conseil du 13 mars 2024 établissant des mesures destinées à assurer un niveau élevé d’interopérabilité du secteur public dans l’ensemble de l’Union (règlement pour une Europe interopérable)".

#UnJourPeuxÊtre je lirais ce règlement qui, après un parcours rapide de son contenu, me semble très intéressant.

a Commission continue de soutenir une transformation numérique de l’Union fondée sur des solutions open source, en établissant des programmes tels que le programme pour une Europe numérique, le CEF Telecom, et l’ancien programme d’interopérabilité ISA². De plus, son programme de financement Horizon Europe subventionne de nombreux projets qui ont trait au développement et à l’utilisation de logiciels et de matériel open source. Enfin, son initiative sur l’internet de nouvelle génération a permis d’investir plus de 140 millions d’EUR dans plus d’un millier de projets participatifs open source.

page 2

Dans cet extrait, #JaiDécouvert :

La Commission surveille également l’adoption de l’open source par les services publics de l’Union. Pendant près de deux décennies, son Observatoire open source a passé au crible des articles, des rapports ainsi que des études de cas témoignant de l’adoption croissante de l’open source à travers l’Union.

page 2

#JaiDécouvert : Open Source Observatory.

Mentionnons notamment les récents efforts des gouvernements nationaux afin de développer et de mettre en œuvre des solutions open source se substituant aux suites collaboratives de logiciels propriétaires, situation largement conforme à la volonté du pétitionnaire.

page 2

#JaiDécouvert ici le projet openDesk.

Le portail «Europe interopérable», hébergeur de l’Observatoire, incite par ailleurs au partage et à la réutilisation de solutions communes, notamment open source, grâce au catalogage de logiciels.

page 2

Le lien est ici. J'ai l'impression que la page contient une liste de documents d'actualités.

Afin de simplifier ce partage, la Commission a mis sur pied la licence publique de l’Union européenne; elle est disponible en vingt-trois langues officielles de l’Union et est compatible avec de nombreuses licences open source.

page 2

#JaiDécouvert la licence EUPL.

La Stratégie logicielle open source de la Commission incite à l’utilisation de l’open source en interne, encourage la collaboration sur le site code.europa.eu et ouvre la voie à des infrastructures numériques plus durables et transparentes. La Commission organise des hackathons et prévoit des primes aux bogues pour tester des solutions open source prometteuses, comme Nextcloud; elle soutient du reste le passage à l’open source dans des domaines clés, ce qui est d’autant plus conforme aux volontés exprimées dans la pétition.

page 2

Je découvre la forge https://code.europa.eu qui semble être limitée à un usage interne. Je suis surpris de ne voir aucun projet public 🤔.

Conclusion

Il n’y a actuellement pas de projet officiel d’établir un «EU-Linux», mais un grand nombre d’initiatives soutiennent activement l’adoption de solutions open source au sein des administrations publiques des États membres. Ces efforts contribuent plus largement aux objectifs européens de transparence, de sécurité et d’indépendance technologique dans le domaine numérique.

page 3

Journal du samedi 15 mars 2025 à 09:18 #laptop, #hardware, #linux, #linux-desktop, #JaiDécouvert

Je suis actuellement à la recherche de modèles de laptop pour mon "Projet 26", qui répondent aux caractéristiques suivantes :

  • si possible à moins de 1000 € ;
  • entre 14 et 15 pouces, avec une résolution verticale de 1200 pixels minimum ;
  • 16Go de RAM ;
  • un trackpad et un châssis avec un maximum de qualité ;
  • idéalement convertible en 2 en 1 ou 3 en 1 ;
  • silencieux ;
  • support GNU/Linux parfait.

Je viens d'effectuer des recherches sur le Subreddit LinuxHardware et je suis tombé sur ce thread "Framework, System76, Tuxedo, Slimbook... Are any of them worth it?" :

Est-ce que les « ordinateurs portables de marque Linux » en valent la peine ? J'ai vu qu'ils offraient des machines avec d'excellentes spécifications pour mon cas d'utilisation, mais j'ai aussi lu de nombreuses plaintes sur la construction fragile et bon marché.

Est-ce que l'une de ces marques propose quelque chose de durable, pas quelque chose de plastique ou de bon marché ?
J'aimerais vraiment soutenir ces entreprises si elles peuvent apporter tout ce qu'il faut au jeu. J'aime le support Linux. Je vois qu'ils offrent de bons composants, parfois évolutifs. Je suis juste préoccupé par la qualité de construction.
J'ai aussi entendu de mauvaises critiques sur l'autonomie de la batterie. Est-ce que j'ai de la chance de voir toutes les critiques et tous les posts pleurer sur la qualité de construction et que ce n'est pas un problème, ou est-ce que je devrais juste acheter un XPS, ou un Thinkpad ?

source

Je me pose les mêmes questions 🙂.

Je connaissais déjà Framework (USA) et System76 (USA). Il y a quelques semaines, j'ai découvert le fabricant espagnol basé à Valence nommé Slimbook (company).

Dans ce thread, #JaiDécouvert l'existence des fabricants suivants :

J'ai très bien conscience que ces laptops sont fabriqués par des Original design manufacturer (https://en.wikipedia.org/wiki/Original_design_manufacturer).

Par exemple, je lis ici que les laptop Framework sont fabriqués par Compal Electronics (https://en.wikipedia.org/wiki/Compal_Electronics), une entreprise taïwanaise, qui fabrique entre autres des laptop pour Lenovo, DELL, etc.

Je me suis intéressé à Tuxedo et en particulier le modèle Tuxedo Infinity Flexible 14 Gen 1.

Le modèle suivant est à 1067 € TTC :

  • Intel Core i5-1335U (10 Cores | 12 Threads | Max. 4.6 GHz | 12 MB Cache | 15 W TDP)
  • 16 GB (2x 8GB) 3200MHz CL22 Samsung
  • Touch Display | non-glare | WUXGA 1920 x 1200 | 16:10 | 400nits | Stylus MPP2.0
  • 500 GB Samsung 980 (NVMe PCIe 3.0)
  • FRENCH (FR AZERTY) with backlit with TUX super-key
  • Intel Wi-Fi 6E AX211 (802.11ax | 2.4, 5 & 6 GHz | Bluetooth 5.3)
  • USB to LAN Adapter - USB-C & -A - 1GBit USB3.0
  • USB-C wall mount charger | 100 Watt | EU, UK, US, AU Power Plug
  • 2 years warranty (Incl. parts, labour & shipping)

Concernant le chassis, je lis :

D'une hauteur totale de moins de 2 cm, le tout premier PC convertible de TUXEDO accueille deux types d'appareils dans un seul boîtier : Ordinateur portable et tablette. Le premier convertible à voir le jour dans le monde Linux est livré dans un boîtier partiellement en aluminium argenté, les surfaces extérieures (couvercle et coque inférieure) étant fabriquées dans ce métal stable mais léger pour un transport en toute sécurité.

source

Difficile de se faire un avis avec une photo.

Autre élément qui m'intéresse fortement, c'est la possibilité d'imprimer un layout custom de clavier 😮. C'est la première fois que je rencontre cette possibilité. Je pourrais enfin pouvoir avoir un layout Bépo sur laptop 🙂.

Par le passé, j'avais lu des threads à ce sujet dans le forum de Framework : custom layout

We therefore provide you with the option to customize your TUXEDO to your personal taste thanks to high-quality logo or photo printing as well as custom keyboard laser etching. Get creative and create your unique TUXEDO notebook!

source

Autre élément sympathique, il est aussi possible de customiser le capot du laptop :

Individual keyboard laser etching and logo printing.

source

Tuxedo met à disposition des drivers supplémentaires packagés pour Fedora :

TUXEDO Computers offers a well-maintained repository for Fedora Linux to install additional software such as keyboard drivers or the TUXEDO Control Centre. The repository is to be found on our server.

source

Suite à la lecture de toutes ces informations, je suis très tenté de tenter l'achat d'un Infinity Flexible 14 - Gen 1 pour le Projet 26 - "Expérimentation de migration de deux utilisateurs grand public vers des laptops sous Fedora".

J'ai pris le temps de lire un maximum de commentaires à propos de Tuxedo sur linuxhardware, hackernews. Pour le moment, mon sentiment est positif. J'ai vu quelques commentaires négatifs et beaucoup de commentaires positifs.

J'ai effectué des recherches sur Hardware for Linux https://linux-hardware.org/?view=computers&vendor=TUXEDO et je n'ai pas trouvé de données pour le modèle Infinity Flexible 14 - Gen 1.

Je viens de poster la question suivante sur le Subreddit de Tuxedo et sur sa page de contact de support : Can you execute hw-probe on InfinityFlex 14 Gen1 to upload data to linux-hardware.org ?.

Journal du mercredi 12 février 2025 à 11:41 #network, #unix, #linux, #JaiDécouvert

En rédigeant la note 2025-02-12_1044, je me suis demandé quelle est la différence de performance entre un Unix Socket et un INET socket.

Durant mes recherches, j'ai découvert qu'Unix Socket est plus rapide que INET sockets. Je n'ai pas été surpris, j'avais cette intuition.

Toutefois, j'ai été surpris d'apprendre que le gain est non négligeable, de 30% à 50% de gains !

Exemple :

On my machine, Ryzen 3900X, Ubuntu 22,

A basic C++ TCP server app that only sends 64K packets, and a basic c++ receiver that pulls 100GB of these packets and copies them to it's internal buffer only, single-threaded:

  • achieves ~30-33 GBit/sec for TCP connection (~4.0GB/sec) (not MBit)
  • and ~55-58GBit/sec for a socket connection, (~7.3 GB/sec)
  • and ~492Gbit/sec for in-process memcopy (~61GB /sec)

source

Conséquence : je vais essayer d'utiliser des Unix sockets autant que je peux.

Journal du dimanche 03 novembre 2024 à 18:35 #qemu, #kvm, #proxmox, #admin-sys, #DevOps, #linux, #JaiDécouvert

Dans le tutoriel "Proxmox Template with Cloud Image and Cloud Init", #JaiDécouvert un usage de la commande virt-customize :

# wget https://cloud-images.ubuntu.com/noble/current/noble-server-cloudimg-amd64.img
# virt-customize -a noble-server-cloudimg-amd64.img --install qemu-guest-agent --run-command 'systemctl enable qemu-guest-agent.service'

Je trouve cela extrêmement pratique, cela évite de devoir utiliser Packer pour personnaliser une image disque.

J'ai fait quelques recherches et j'ai appris que la fonctionnalité d'installation de package est ancienne, elle a été implémentée dans libguestfs en 2014 par Richard Jones, employé de chez Red Hat (auteur de libguestfs).

J'ai découvert Linux Audit #OnMaPartagé, #JaiDécouvert, #linux, #security, #admin-sys, #DevOps

Alexandre m'a partagé l'article "Linux : Enregistrer toutes les commandes saisies avec auditd" qui présente Linux Audit.

The Linux audit framework provides a CAPP-compliant (Controlled Access Protection Profile) auditing system that reliably collects information about any security-relevant (or non-security-relevant) event on a system. It can help you track actions performed on a system.

-- from

La norme de sécurité de l'industrie des cartes de paiement (Payment Card Industry Data Security Standard ou PCI DSS) est un standard destiné à poser les normes de la sécurité des systèmes d'information amenés à traiter et stocker des process ou des informations relatives aux systèmes de paiement.

Dans ce cadre, de nombreuses conditions sont à respecter afin d'être compatible avec cette norme. Parmi celles-ci, l'enregistrement des commandes et instructions saisies par les utilisateurs à privilèges sur un système.

-- from

D'après ce que j'ai compris, la fonctionnalité Linux Audit est implémentée au niveau du kernel.

Linux Audit permet de surveiller les actions effectuées sur les fichiers (lecture, écriture…) et les appels syscalls.

D'après ce que je comprends, Linux Audit est conçu à des fins de sécurité. Il semble peu adapté pour documenter les opérations réalisées sur un serveur dans le cadre d'un travail collaboratif.

Dernière page.