GraphQL


Journaux liées à cette note :

Journal du mardi 29 octobre 2024 à 10:26 #postgresql, #postgraphile, #hasura, #WebDev, #documentation

Note de comparaison de la documentation Hasura version 2 versus PostGraphile.

J'essaie d'exposer une mutation GraphQL qui exécute et retourne de résultat d'une fonction PL/pgSQL.

Postgraphile

Voici le parcours pour découvrir comment implémenter cette fonctionnalité dans PostGraphile :

    1. J'ouvre la page "Functions"
    1. Je clique sur la page "Custom Mutations"

Et sur cette page je peux lire une explication du fonctionnement et un exemple :

Hasura

Voici le parcours pour découvrir comment implémenter cette fonctionnalité dans Hasura :

    1. Contrairement à la navigation de la documentation de PostGraphile qui affiche directement les mots clés "Function" et "Custom Mutation", j'ai eu quelques difficultés à trouver la page qui contient ce que je cherche. Cela s'explique par le fait que Hasura propose plus de fonctionnalités que PostGraphile et plus d'abstractions.
    1. En explorant, j'ai fini par trouver la section en ouvrant les sections "GraphQL Schema" => "Postgres".

Journal du lundi 28 octobre 2024 à 14:56 #graphql, #WebDev

Je rassemble ici quelques notes au sujet de projet Hasura.

À l'origine, Hasura était uniquement un moteur GraphQL open-source qui se branchait directement sur une base de données PostgreSQL. Le projet a commencé en 2018, bien que le site web soit plus ancien — 2015.
D'après le dépôt GitHub, les premiers développeurs d'Hasura sont Shahidh K Muhammed, Vamshi Surabhi, Aravind Shankar et Rakesh Emmadi, tous basés à Bangalore, en Inde.

En 2019, dans un cadre professionnel, j'ai choisi d'utiliser un autre moteur GraphQL : PostGraphile.

Début 2020, j'avais également identifié Hasura et Supabase comme alternatives.

J'avais choisi d'utiliser PostGraphile pour plusieurs raisons :

  • Supabase était encore un jeune projet, lancé en octobre 2019.
  • Hasura était codé en Haskell, un langage que je ne maîtrise pas. En revanche, PostGraphile, développé en JavaScript, m'inspirait plus confiance, car je savais que j'avais les compétences nécessaires si je devais intervenir sur son code source, par exemple, pour corriger un bug.
  • D'autre part, PostGraphile n'était pas financé par des Venture capital, ce qui m'inspirait bien plus confiance sur son avenir que Supabase et Hasura.
  • J'apprécie énormément la façon de travailler de Benjie. J'apprécie sa manière d'organiser ses projets, ses documentations et ses choix techniques. Je pense que notre doctrine est assez similaire.

Quatre plus tard, je constate que PostGraphile a choisi de rester concentré sur un seul objectif : être un moteur GraphQL, tandis que Supabase et Hasura, bénéficiant d'un financement par des Venture capital, ont diversifié leurs offres.

Alors que PostGraphile se limite au support de PostgreSQL, Hasura peut se connecter à Mysql, MongoDB, Clickhouse, Elasticsearch
Et d'après la documentation, Hasura permet d'exposer, en plus d'une API GraphQL, une API REST (RESTified Endpoints).

Journal du samedi 06 mai 2023 à 07:39 #WebDev, #Doctrine, #api, #JaiLu

#JaiLu l'article Don’t Build A General Purpose API To Power Your Own Front End.

TL;DR YAGNI, unless you’re working in a big company with federated front-ends or GraphQL.

It’s popular in web dev nowadays to build a backend that serves JSON, and a frontend that renders the app. This is fine. I’m not the biggest fan, but it’s really okay. Except it’s not okay if you think that your backend needs to be designed like a generic public API. This will not save you time.

Je partage à 100% cette opinion.