
OnPremise
Journaux liées à cette note :
Avril 2025, quelle est mon expérience Kubernetes ?
J'ai commencé à utiliser Kubernetes pour la première fois en janvier 2016. C'était dans un cadre professionnel, quand je travaillais chez Tech-Angels / Gemnasium.
Mes deux premiers projets étaient les suivants :
- Opérer et continuer à améliorer un cluster de 3 nodes basé sur OpenShift (surcouche Kubernetes de Red Hat) qui permettait d'héberger les services web de nos clients.
L'objectif était de fournir un service un peu comme Heroku, c'est-à-dire permettre un déploiement via un simple "git push".
Avec le recul, l'objectif ressemblait à ce que propose actuellement Clever Cloud. - Implémenter une version OnPremise de Gemnasium propulsée par Kubernetes.
En janvier 2016, Kubernetes était un projet très jeune, avec seulement 20 mois d'existence depuis la sortie de la première version 0.2
.
L'écosystème était bien plus petit que maintenant. Par exemple, Helm n'était pas encore populaire.
J'ai commencé par installer la version 1.1
de Kubernetes avec les playbooks officiels Ansible.
Ce fut une expérience difficile, avec de nombreux crashs de clusters, tout particulièrement lors des montées en version.
L'expérience fut très enrichissante. Cela m'a permis de monter en compétence avec Docker, Kubernetes, Ceph…
J'ai ensuite utilisé Kubernetes de novembre 2018 à avril 2019, dans la team Kubernetes Kapsule de Scaleway.
La mission de cette équipe était de créer un produit qui permettait de déployer des clusters Kubernetes managés.
Je suis arrivé dans cette équipe 10 mois après le début du projet. J'ai contribué au projet pendant 5 mois, jusqu'au lancement du produit en production.
Cette fois encore, une partie du travail était de déployer des clusters Kubernetes from "scatch".
Expérience intéressante : j'ai appris à déployer des clusters Kubernetes via Kubernetes !
L'implémentation était inspirée de la méthode présentée dans cet article : Gardener - The Kubernetes Botanist.
Depuis avril 2019, je n'ai plus opéré de cluster Kubernetes. J'ai seulement continué à suivre de loin les actualités de cet écosystème. Je n'ai plus eu d'expérience pratique.
Maintenant que j'ai rejoint une mission dont le produit est déployé sur Kubernetes, je souhaite mettre à jour mes compétences pratiques dans ce domaine.
Voici quelques sujets sur lesquels je souhaite monter en compétence ces prochains mois :
- M'entrainement à utiliser et à créer des Helm Charts
- Déployer un ArgoCD pour apprendre à bien l'utiliser
- Jouer avec k3s
- Tester Postgres Operator
- Étudier et tester https://tilt.dev/
- kind (https://kind.sigs.k8s.io/)
- Grafana Tanka
- kustomize (https://github.com/kubernetes-sigs/kustomize)
Journal du lundi 24 juillet 2023 à 20:46
Voici le résultat de mes recherches d'alternatives à Docusign.
YouSign est un service de signature électronique Français basé à Caen, lancé en 2013, en mode SaaS.
LibreSign, projet brésilien, lancé en 2020, disponible en mode SaaS. Le code source semble disponible sous licence AGPL. Ce projet est une application Nextcloud : https://apps.nextcloud.com/apps/libresign. Je trouve ce choix très judicieux 🙂. Le projet semble bien actif, développé principalement par Vitor Mattos.
Concord, service SaaS de signature électronique fondé en 2014 par des Français (CEO Matt Lhoumeau, CTO Florian Parain).
BulkSign, projet d'un Indie Hacker néerlandais, nommé John Fonesca. Le projet n'est pas open-source, mais propose une version OnPremise : https://bulksign.com/main/OnPremiseVersion.html.
Lex Persona, encore un service Français, un projet lancé par François Devoret en 2005 depuis Troyes à taille humaine (11 personnes).
Documenso, une Open Startup (https://documenso.com/open) lancée en 2023 par un allemand nommé Timur Ercan et un australien nommé Lucas Smith. Le code source est disponible sous licence AGPL. Le développement est plutôt actif avec 4 développeurs.
Cosuno est un service de signature électronique allemand en mode SaaS.