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Pour le moment, je n'ai pas d'avis sur l'intérêt des services d'email warming #email, #email-deliverability

Je continue mes explorations sur l'Email deliverability avec cette note dédiée à l'email warming (pour rappel, mes notes précédentes : 2025-08-04_1449, 2025-08-08_2222, 2025-08-14_2229).

Quel est le fonctionnement technique des services d'email warming ?

L'email warming consiste à établir progressivement une réputation positive pour une nouvelle adresse e-mail, d'un nouveau domaine ou d'une nouvelle IP SMTP auprès des ESP.

Mon hypothèse sur le fonctionnement de ces services :

  • Ces plateformes créent en premier lieu des comptes e-mail chez un maximum d'email service providers (Gmail, Yahoo (Mail), Fastmail, La Poste (mail)…).
  • Elles expédient graduellement, sur plusieurs jours, des e-mails vers ces adresses, avec des contenus variés.
  • Elles simulent via un headless browser des interactions utilisateur dans les webmails de ces boîtes : ouverture de mails, clics sur des liens, etc.

J'imagine qu'elles doivent créer des scénarios aléatoires au niveau des timings et des actions pour éviter d'être trop facilement détectées par les email service providers 🤔.


J'ai essayé d'en savoir plus sur l'efficacité de l'email warming. J'ai effectué des recherches sur le Subreddit EmailMarketing. J'ai par exemple trouvé les threads suivants :

Une minorité d'utilisateurs (exemple ) affirment que l'email warming est un scam, tandis qu'une majorité soutient que l'email warming reste indispensable pour toute nouvelle adresse e-mail. Cependant, je me demande si ces avis positifs ne viennent pas principalement des fournisseurs de services d'email warming 🤔.
Idéalement, j'aimerais trouver une étude d'un cas concret, menée par quelqu'un dont je ne pourrais pas questionner la crédibilité. Sinon, il me reste l'option de mener un test par moi-même.


Les systèmes SPF, DKIM, et DMARC me paraissent efficaces, mais les outils non officiels d'inbox placement et d'email warming ressemblent plutôt à du bricolage dans un écosystème incomplet.

Ces pratiques obscures me font penser à l'univers du SEO. Il s'agit d'un système de coévolution antagoniste, semblable au jeu du chat et de la souris, ou plus précisément, un jeu séquentiel à somme variable avec des composantes antagonistes.
Dans ce genre d'écosystème, chaque acteur investit massivement en énergie pour maintenir le statu quo. Je trouve cette dynamique absurde et n'y vois aucun intérêt.


Concernant les tarifs, je trouve que le prix de MailReach est correct, $25 par mois pour "faire chauffer" une adresse mail :

J'ai testé des services de inbox placement #email, #email-deliverability, #UnJourPeuxÊtre

Toujours dans le contexte d'une mission freelance d'audit de délivrabilité d'e-mail (voir notes : 2025-08-04_1449 et 2025-08-08_2222), j'ai creusé le sujet de inbox placement.

À l'origine, je croyais qu'un test d'inbox placement permettait de simuler l'envoi d'emails vers différents providers de messagerie pour déterminer leur destination finale, par exemple :

  • Boîte de réception principale
  • Dossier spam/indésirables
  • Dossier "Promotions"
  • Dossier "Social"
  • Dossier "Notifications"

Après avoir testé GlockApps, MailReach et MailerCheck, j'ai l'impression que leurs fonctionnalités d'inbox placement se limitent à vérifier si l'email atterrit en "spam" ou en "inbox", sans distinguer entre "Boite de réception principale", "Promotions" ou "Social". Cependant, j'ai un doute pour GlockApps, car j'ai aperçu "Other" sur un screenshot .

Cette fonctionnalité inbox placement est parfois appelée "spam checker" ou "Inbox insight".

Mes recherches sur le Subreddit EmailMarketing m'ont également permis d'identifier plusieurs autres services : Gwarm, Folderly, Warmup Inbox, MailGenius et Mail-Tester. Je n'ai pas pris le temps de les tester.


Comment les services d'inbox placement fonctionnent techniquement ?

Mon hypothèse sur le fonctionnement de ces services :

  • Ces services créent d'abord des boîtes mail chez un maximum de email service providers (Gmail, Yahoo (Mail), Fastmail, La Poste (mail)…).
  • Ils mettent en place un système de surveillance IMAP pour monitorer les mails reçus sur chacune de ces boîtes.
  • Ils demandent à leurs utilisateurs d'envoyer un mail sur ces boîtes avec un code d'identification dans le corps pour faire le lien entre l'utilisateur et le mail reçu dans les mailbox.
  • Ils communiquent ensuite à l'utilisateur les résultats observés : placement dans le dossier principal ou dans le spam pour chaque boîte.

Voici quelques exemples de résultats de mes tests d'inbox placement.

MailReach :

MailerCheck :

GlockApps :


Pour l'instant, GlockApps semble être le service qui teste le plus grand nombre de types de boîtes e-mail différentes.


J'ai observé quelque chose de surprenant lors de mon premier test de MailReach avec mon adresse mail contact@stephane-klein.info.

J'ai envoyé un mail avec ce contenu et il a atterri dans le dossier spam des boîtes Microsoft Office 365 Mail, des boîtes qui appartiennent à la catégorie Professionnal.

J'ai écrit au support technique de MailReach car je n'arrivais pas à bien saisir le sens du message de tooltip qui s'affiche au survol des pastilles "spam" :

« Not good BUT the question is : do you really target professional inboxes? Because if not, it's not relevant to take it into account. Spam filters work differently between Professional and Personal inboxes. »

J'ai demandé si le style du contenu du message envoyé pouvait être pris en compte par les règles de spam et j'ai eu comme réponse :

Ca peut tre lié a ton contenu ou la réputation de ta boite mail.

Suite à cela, un jour après, j'ai fait un nouveau test, avec ce contenu plus professionnel et cette fois, tous les mails ont été placés dans le dossier principal, aucun spam :

3 jours plus tard, j'ai fait un test en envoyant à nouveau le premier contenu mail dans un style plus personnel et cette fois le mail a été placé dans inbox dans toutes les boites mails.

Pour le moment, je n'ai pas d'explication. Est-ce une illustration de l'intérêt de la fonctionnalité email warming 🤔 ?


J'ai également testé le service MailTester, mais je n'ai pas réussi à le faire fonctionner. Tous les mails que j'ai envoyés m'ont été renvoyés avec un message d'erreur indiquant que les boîtes mail n'existaient pas :


Voici quelques informations concernant les tarifs de ces services d'inbox placement.

Tarif de MailReach :

  • $9,6 pour 25 tests
  • $28 pour 100 tests

La tarification de MailerCheck est un peu compliquée :

  • $10 pour 1000 crédits, un test d'inbox placement coûte 200 crédits, cela fait donc $2 par test.

GlockApps paraît être l'outil qui teste la plus large gamme de email service providers et qui détecte le classement des e-mails dans les dossiers "Promotions", "Social"… mais c'est probablement aussi la solution la plus coûteuse :

  • $16.99 pour 3 tests
  • $47,99 pour 10 tests
  • $75,99 pour 20 tests

GlockApps offre 2 tests gratuits à la création du compte, mais j'ai mal utilisé les miens.
J'ai contacté leur service commercial pour demander des crédits gratuits supplémentaires, en leur expliquant que je voulais uniquement tester mon adresse personnelle sans visée commerciale, peut-être avant de suggérer leur outil à un client. Ils ont décliné ma demande 😔.
Je n'ai donc pas pu explorer davantage cette solution.


Dans un premier temps, je vais probablement proposer à mon client la solution MailReach et éventuellement GlockApps par la suite s'il souhaite des tests plus approfondis.


Pour effectuer mes tests, j'ai utilisé ce script d'envoi d'e-mail : https://github.com/stephane-klein/send-mail-to-test-inbox-placement.

Pour l'instant, je ne sais pas encore quelle approche je suggérerai à mon client pour qu'il puisse réaliser des tests d'inbox placement de façon autonome, par exemple mensuellement.


#UnJourPeuxÊtre je développerai un POC de fonctionnalité d'inbox placement. Il me semble qu'en dehors de la création de nombreuses adresses mail, les vérifications basées sur l'imap ne doivent pas être très compliquées à implémenter.

J'ai pris conscience de l'intérêt de DMARC et de l'alignement SPF et DKIM #email, #email-deliverability, #JaimeraisUnJour

Dans le contexte de ma mission Freelance, je poursuis l'actualisation de mes compétences en délivrabilité d'e-mail. J'en profite pour rédiger une note sur DMARC.

DMARC existe depuis 2012, mais je n'avais jamais vraiment creusé le sujet. Je l'avais seulement survolé. Jusqu'à récemment, je n'avais en tête que la fonction "monitoring" :

DMARC provides a reporting mechanism for actions performed under those policies.

source

Sans avoir mesuré l'importance de la partie policy :

If the email fails the check, depending on the instructions held within the DMARC record the email could be delivered, quarantined or rejected.

source

Je pensais naïvement que les vérifications SPF et DKIM réalisées par les email service providers étaient suffisantes.
Je n'avais pas réalisé l'importance du SPF alignment and DKIM alignment.

Le problème vient du fait que SPF et DKIM vérifient le domaine contenu dans MailFrom (connu aussi sous les noms Return-Path, Bounce Address, ou Envelope From). Ces contrôles s'assurent que le serveur émetteur peut légitimement envoyer des emails pour ce domaine et que le message n'a pas été modifié durant le transport. Cependant, ces vérifications ne protègent pas du spoofing. Les clients mail n'affichent pas le champ MailFrom, mais le champ From:. Un attaquant peut donc envoyer un email avec un domaine validé par SPF et DKIM tout en utilisant un champ From: qui ne lui appartient pas.

L'alignement vérifie que le domaine utilisé pour les contrôles SPF et DKIM correspond au domaine du champ From:. Si les domaines diffèrent, le serveur receveur exécute la politique DMARC : reject pour rejeter l'email ou quarantine pour le diriger vers les spam.

De plus, j'ai découvert que DMARC était devenu petit à petit obligatoire :

Comply with email providers requirements: in 2024, Google and Yahoo started requiring DMARC on incoming mail from high-volume senders, and Microsoft followed in 2025. If you send emails to Gmail addresses, you may be affected by this. Even if you aren’t, this is likely just Google’s and Yahoo’s first step in a path to enforce DMARC checks on all incoming email, and organizations must prepare in advance.

source

Je viens de réaliser que c'est sans doute à cause de l'absence de DMARC sur mon domaine (stephane-klein.info) qui explique pourquoi en janvier 2024, un ami ne recevait aucun de mes mails sur sa boite mail Orange.

$ dig TXT _dmarc.stephane-klein.info +short
;; communications error to 127.0.0.53#53: timed out

Il y a quelques jours, je me suis lancé dans la configuration DMARC de mon domaine.

J'ai commencé par chercher des services de DMARC reporting.

Je suis dans un premier temps tombé sur Google Postmaster Tools, mais celui-ci est limité aux boites mails Gmail.

En cherchant des outils d'inbox placement dans le Subreddit EmailMarketing, j'ai découvert GlockApps qui permet aussi de faire du DMARC reporting.

Ensuite, en étudiant l'excellente documentation dmarc.wiki, j'ai découvert le service DMARCwise réalisé par un Indie Hacker italien : Matteo Contrini.

Il est gratuit pour un usage personnel :

J'ai testé ce service et je l'ai trouvé excellent !

Au départ, j'ai commencé par activer graduellement DMARC comme conseillé ici :

$ dig TXT _dmarc.stephane-klein.info +short
"v=DMARC1; p=none; rua=mailto:rua+v1c8xvv8a2yv@dmarcwise.email;"

L'adresse mail de collecte rua+v1c8xvv8a2yv@dmarcwise.email m'a été donné par DMARCwise :

J'ai ensuite lancé un "DMARC diagnostics" :

Et j'ai constaté que tout était parfaitement configuré :

Après réflexion, étant donné que je suis le seul émetteur d'e-mail pour mon domaine, j'ai jugé que je pouvais directement passer de pas de policy (p=none) à p=reject; pct=100;.

$ dig TXT _dmarc.stephane-klein.info +short
"v=DMARC1; p=reject; pct=100; rua=mailto:rua+v1c8xvv8a2yv@dmarcwise.email;"

Après 3 jours d'utilisation de DMARCwise, l'expérience utilisateur me plaît énormément. Il me semble que tout est soigneusement conçu, Matteo Contrini fait clairement attention aux détails !

Voici à quoi cela ressemble :

J'ai bien envie de conseiller DMARCwise à mon client.

Je sais qu'il envoie environ 3 millions d'e-mails par mois, ce qui ferait une facture de 1188 € HT par an.

Une autre option serait GlockApps, à $1548 HT par an mais avec une plus 1800 crédit de tests de inbox placement.


#JaimeraisUnJour prendre le temps de tester le free software de DMARC reporting nommé parsedmarc.


Ma prochaine note sur l'Email deliverability portera probablement sur l'inbox placement.

J'ai découvert la spécification "Brand Indicators for Message Identification" #email, #JaiDécouvert, #email-deliverability, #JaimeraisUnJour

En travaillant sur une mission freelance d'audit de délivrabilité d'e-mail, #JaiDécouvert la spécification "Brand Indicators for Message Identification".

Il s'agit de la spécification la plus récente qui s'ajoute aux spécifications de lutte contre l'usurpation d'identité email : SPF, DKIM, DMARC, ARC.

BIMI permet d'afficher le logo "certifié" de l'expéditeur du mail dans un certain nombre de clients mails (Apple, Fastmail, Gmail, La Poste, Yahoo).
Par exemple, cela donne ceci pour l'email noreply@notif-colissimo-laposte.info avec mon client mail Fastmail :

Autre exemple avec Gmail avec le "badge certifié" :

Pour avoir plus d'exemples concrets, je vous conseille de consulter la section [« Quelques exemples d’affichage de BIMI chez les fournisseurs de messagerie »](https://www.badsender.com/guides/bimi-pourquoi-et-comment-le-deployer/#:~:text=les fournisseurs de-,messagerie,-Apple Icloud (Mail) de l'excellent article « Formation BIMI : pourquoi et comment déployer BIMI ? » de l'agence française Badsender, qui offre entre autre des services d'audit de délivrabilité d'e-mail.

Vous pouvez, par exemple, vérifier la configuration BIMI sur cette page, voici le résultat, toujours avec l'adresse mail noreply@notif-colissimo-laposte.info :

Voici la configuration DNS TXT BIMI du domaine notif-colissimo-laposte.info :

$ dig TXT default._bimi.notif-colissimo-laposte.info +short
"v=BIMI1;l=https://notif-colissimo-laposte.info/logo.svg;a=https://notif-colissimo-laposte.info/la_poste_sa.pem;"
  • v=BIMI1 indique le numéro de version de la spécification.
  • l=https://notif-colissimo-laposte.info/logo.svg contient l'URL vers le logo au format SVG
  • a=https://notif-colissimo-laposte.info/la_poste_sa.pem contient l'URL du certificat qui permet de certifier que l'expéditeur d'un email est autorisé à utiliser le logo Colissimo.

Voici ce que contient le certificat :

Issuer: CN=DigiCert Verified Mark RSA4096 SHA256 2021 CA1, O="DigiCert, Inc.", C=US
Expires: 3 months
Valid From: 9/30/2024
Valid To: 11/1/2025

Ce certifact a été généré par DigiCert.

Liste des entreprises de type Mark Verifying Authority pouvant actuellement générer des Verified Mark Certificate ou Common Mark Certificate :

D'après ce que j'ai compris, pour obvenir un Verified Mark Certificate, il est nécessaire de fournir au Mark Verifying Authority une preuve de dépôt de marque, par exemple via l'INPI.

Je pense que "Common" dans Common Mark Certificate est en lien avec le système juridique "Common law". Pour obtenir un Common Mark Certificate, il suffit de prouver qu'on utilise le logo depuis plus de 12 mois. DigiCert indique qu'ils effectuent une vérification en utilisant archive.org.

Depuis fin 2024, un autre type de certificat est disponible. C’est le CMC(Common Mark Certificate). Celui-ci permet de s’affranchir du dépôt de marque. Avoir une marque et un logo déposé sont donc maintenant optionnels. Néanmoins, le certificat CMC ne permet pas de garantir le même niveau de légitimité au destinataire. Certaines messageries, même si elles afficheront le logo BIMI dans le cas d’un certificat CMC n’ajouteront pas de certification de la marque (par exemple, dans Gmail, le checkmark bleu n’est pas affiché en cas de certificat CMC).

Lorsqu’un certificat VMC est choisi, une marque bleue est affichée dans Gmail afin de renforcer le sentiment de légitimité pour le destinataire. Ce qui ne sera pas le cas avec un certificat CMC.

source

Voici les prix d'un Verified Mark Certificate chez DigiCert : 1668 € par an.

Et 1236 € par an pour un Common Mark Certificate.


Jusqu'à maintenant, je croyais que les services Gravatar ou Libravatar permettaient d'afficher un avatar dans les clients mail, mais je réalise que ce n'est pas le cas et il semble que je ne sois pas le seul à avoir cette idée fausse :

Many users set up their Gravatar expecting it to be shown when sending emails from their email address. This is not always the case, this page explains why.

source

Truth be told, there aren’t many email clients (meaning the app or platform your users use to read their emails) that support Gravatar. Most popular email services (like Gmail, Outlook or Apple Mail) don’t. Unfortunately there is nothing we can do.

If you have confirmed your reader’s email client support, then there might be some setting (or addon) that your readers will need to tweak.

source


Je me suis demandé si BIMI pouvait améliorer l'Email deliverability.
En parcourant le Subreddit EmailMarketing, j'ai découvert ce thread : Is BIMI & VMC worth it? . Tous les contributeurs s'accordent à dire que BIMI n'apporte aucune amélioration à l'Email deliverability.

Pour le moment, aucune information ne suggère que BIMI présente un avantage pour l'Email deliverability.

À ce stade, il me semble que la mise en place d'un Verified Mark Certificate est pertinente pour tout service ciblé par des attaques d'arnaque numérique.
Pour les autres services aux moyens limités, je pense qu'investir 1668 € annuels dans un Verified Mark Certificate n'est probablement pas justifié.
Je conseille néanmoins de configurer un logo BIMI sans certificat. Cette approche permet d'améliorer l'User experience en affichant le logo dans les boîtes mail avec un effort minimal.

Je compte configurer prochainement un logo BIMI sans certificat pour mon domaine personnel stephane-klein.info.


Pendant que j'écrivais cette note, je me suis encore interrogé sur l'absence d'acteurs qui tentent d'intégrer correctement une authentification mail via PKI étatique 🤔.
#JaimeraisUnJour creuser cette question dans une note dédiée.

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