REST
Journaux liées à cette note :
Journal du mercredi 27 novembre 2024 à 11:29
Il y a quelques jours, j'ai écrit une note au sujet des stratégies de versionning et aujourd'hui, #JaiDécouvert le site TrunkVer (https://trunkver.org/) (from).
We have identified a frequent source of avoidable confusion, conflict and cost in the software delivery process caused by versioning software that should not be versioned - or rather, the versioning should be automated.
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However, we keep encountering teams and organizations that apply semantic versioning or a custom versioning scheme to software that does not need any of that - and through this, they create an astonishing amount of unnecessary work such as arguing whether or not a certain piece of software should be called “alpha”, “beta”, “rho”, “really final v4” etc, manually creating tickets listing the changes or even specialized gatekeeper roles such as “release engineer” - in the worst case a single person in the whole organization. Because this makes it harder, boring and costly to deploy, it systematically reduces the number of deployments, and through this the delivery performance of the organization.
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Depuis 20 ans, j'ai rarement développé des librairies ou des API REST utilisées par des tiers.
Par conséquent, je n'ai pratiquement jamais eu besoin d'utiliser Semantic Versioning dans mes projets.
La plupart des projets sur lesquels je travaille suivent le modèle "Rolling release".
Je croise trop souvent des développeurs utilisant la spécification Semantic Versioning alors que leur projet suit le modèle Rolling release et je pense que TrunkVer serait bien plus adapté à leur contexte.
Cela fait plusieurs années maintenant que j'utilise la méthode suivante pour identifier "la version" de ce que je déploie.
Dans mes scripts de déploiement, je génère un fichier version.json
, comme ceci (example) :
cat <<EOF > version.json
{
"environment": "prod",
"branch": "$(git rev-parse --abbrev-ref HEAD)",
"gitDate": "$(git show -s --format=%ci | sed "s/ /_/g")",
"buildStamp": "$(env TZ=Europe/Paris date '+%Y-%m-%d_%H:%M:%S-%Z')",
"gitHash": "$(git rev-parse HEAD)"
}
EOF
Ensuite je l'insert au moment du docker build
et je l'expose sur une URL http.
Ce qui donne, par exemple, ceci :
$ curl https://notes.sklein.xyz/version.json
{
"environment": "prod",
"branch": "main",
"gitDate": "2024-12-03_23:43:26_+0100",
"buildStamp": "2024-12-03_23:51:09-CET",
"gitHash": "04c83c82a663260626e02502be1015d23b4859c2"
}
Ma méthode ne correspond pas exactement dans la forme à la méthode TrunkVer mais cela s'en rapproche.
Journal du lundi 28 octobre 2024 à 18:30
Été 2021, j'ai essayé d'utiliser PostgREST dans un projet professionnel, mais j'ai abandonné cette option en raison de trop nombreuses limitations rencontrées.
Depuis, je constate que PostgREST a beaucoup évolué : CHANGELOG.md.
Cela pourrait valoir la peine que je redonne une chance à ce projet lors de ma prochaine réalisation d'une API REST.
#JeMeDemande si la bonne santé du projet est liée au sponsoring de Supabase.
Sur la page Patreon du projet, je constate qu'il reçoit 1375 € de don récurrent par mois.
Journal du lundi 28 octobre 2024 à 14:56
Je rassemble ici quelques notes au sujet de projet Hasura.
À l'origine, Hasura était uniquement un moteur GraphQL open-source qui se branchait directement sur une base de données PostgreSQL. Le projet a commencé en 2018, bien que le site web soit plus ancien — 2015.
D'après le dépôt GitHub, les premiers développeurs d'Hasura sont Shahidh K Muhammed, Vamshi Surabhi, Aravind Shankar et Rakesh Emmadi, tous basés à Bangalore, en Inde.
En 2019, dans un cadre professionnel, j'ai choisi d'utiliser un autre moteur GraphQL : PostGraphile.
Début 2020, j'avais également identifié Hasura et Supabase comme alternatives.
J'avais choisi d'utiliser PostGraphile pour plusieurs raisons :
- Supabase était encore un jeune projet, lancé en octobre 2019.
- Hasura était codé en Haskell, un langage que je ne maîtrise pas. En revanche, PostGraphile, développé en JavaScript, m'inspirait plus confiance, car je savais que j'avais les compétences nécessaires si je devais intervenir sur son code source, par exemple, pour corriger un bug.
- D'autre part, PostGraphile n'était pas financé par des Venture capital, ce qui m'inspirait bien plus confiance sur son avenir que Supabase et Hasura.
- J'apprécie énormément la façon de travailler de Benjie. J'apprécie sa manière d'organiser ses projets, ses documentations et ses choix techniques. Je pense que notre doctrine est assez similaire.
Quatre plus tard, je constate que PostGraphile a choisi de rester concentré sur un seul objectif : être un moteur GraphQL, tandis que Supabase et Hasura, bénéficiant d'un financement par des Venture capital, ont diversifié leurs offres.
Alors que PostGraphile se limite au support de PostgreSQL, Hasura peut se connecter à Mysql, MongoDB, Clickhouse, Elasticsearch…
Et d'après la documentation, Hasura permet d'exposer, en plus d'une API GraphQL, une API REST (RESTified Endpoints).