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Résultat de la recherche (15 notes) :

Journal du jeudi 19 décembre 2024 à 16:40 #DevOps, #docker, #JaiDécouvert

#JaiDécouvert le format de fichier Bake de Docker : https://docs.docker.com/build/bake/introduction/.

Je ne comprends pas bien son utilité 🤔.

La commande suivante me convient parfaitement :

$ docker build \
  -f Dockerfile \
  -t myapp:latest \
  --build-arg foo=bar \
  --no-cache \
  --platform linux/amd64,linux/arm64 \
  .

J'ai essayé de trouver l'issue d'origine du projet Bake, pour connaitre ses motivations, mais je n'ai pas trouvé.

Comment lancer une image Docker de l'architecture "arm64" sous Intel ? #docker, #DevOps, #JeMeDemande

#JeMeDemande comment lancer une image Docker pour l'architecture arm64 sur une architecture Intel sous Fedora ?

Par défaut, l'exécution de cette image Docker sous Intel avec l'option --platform linux/arm64 ne fonctionne pas :

$ docker run --rm -it --platform linux/arm64 hasura/graphql-engine:v2.43.0 bash
exec /usr/bin/bash: exec format error

J'ai consulté et suivi la documentation Docker officielle suivante : Install QEMU manually.

$ docker run --privileged --rm tonistiigi/binfmt --install all
installing: arm64 OK
installing: arm OK
installing: ppc64le OK
installing: riscv64 OK
installing: mips64le OK
installing: s390x OK
installing: mips64 OK
{
  "supported": [
    "linux/amd64",
    "linux/arm64",
    "linux/riscv64",
    "linux/ppc64le",
    "linux/s390x",
    "linux/386",
    "linux/mips64le",
    "linux/mips64",
    "linux/arm/v7",
    "linux/arm/v6"
  ],
  "emulators": [
    "qemu-aarch64",
    "qemu-arm",
    "qemu-mips64",
    "qemu-mips64el",
    "qemu-ppc64le",
    "qemu-riscv64",
    "qemu-s390x"
  ]
}

Après cela, je constate que j'arrive à lancer avec succès une image arm64 sous processeur Intel :

$ docker run --rm -it --platform linux/arm64 hasura/graphql-engine:v2.43.0 bash

root@bf74bfb8bc35:/# graphql-engine version
Hasura GraphQL Engine (Pro Edition): v2.43.0

J'ai pris un peu de temps pour explorer le repository tonistiigi/binfmt.
Je n'ai pas compris quelle est l'interaction entre les éléments installés par cette image et docker-engine.
Je constate que cette image a été créée en 2019 par deux développeurs de Docker : CrazyMax (un Français) et Tõnis Tiigi.

Journal du lundi 09 décembre 2024 à 15:50 #dev-kit, #docker

J'utilise la fonctionnalité Docker volume mounts dans tous mes projets depuis septembre 2015.

Généralement, sous la forme suivante :

services:
  postgres:
    image: postgres:17
    ...
	volumes:
      - ./volumes/postgres/:/var/lib/postgresql/data/

D'après mes recherches, la fonctionnalité volumes mounts a été introduite dans la version 0.5.0 en juillet 2013.

À cette époque, je crois me souvenir que Docker permettait aussi de créer des volumes anonymes. Je n'ai jamais apprécié les volumes anonymes, car lorsqu'un conteneur était supprimé, il devenait compliqué de retrouver le volume associé.
À cette époque, Docker était nouveau et j'avais très peur de perdre des données, par exemple, les volumes d'une instance PostgreSQL.

J'ai donc décidé qu'il était préférable de renoncer aux volumes anonymes et d'opter systématiquement pour des volume mounts.

Ensuite, peut-être en janvier 2016, Docker a introduit les named volumes, qui permettent de créer des volumes avec des noms précis, par exemple :

services:
  postgres:
    image: postgres:17
    ...
	volumes:
      - postgres:/var/lib/postgresql/data/

volumes:
  postgres:
    name: postgres
$ docker volume ls
DRIVER    VOLUME NAME
local     postgres

Ce volume est physiquement stocké dans le dossier /var/lib/docker/volumes/postgres/_data.

Depuis, j'ai toujours préféré les volumes mounts aux named volumes pour les raisons pratiques suivantes :

  • Travaillant souvent sur plusieurs projets, j'utilise les volume mounts pour éviter les collisions. Lorsque j'ai essayé les named volumes, une question s'est posée : quel nom attribuer aux volumes PostgreSQL ? « postgres » ? Mais alors, quel nom donner au volume PostgreSQL dans le projet B ? Avec les volume mounts, ce problème ne se pose pas.
  • J'apprécie de savoir qu'en supprimant un projet avec rm -rf ~/git/github.com/stephan-klein/foobar/, cette commande effacera non seulement l'intégralité du projet, mais également ses volumes Docker.
  • Avec les mounted volume, je peux facilement consulter le contenu des volumes. Je n'ai pas besoin d'utiliser docker volume inspect pour trouver le chemin du volume.

La stratégie que j'ai choisie basée sur volumes mounts a quelques inconvénients :

  • Le owner du dossier volumes/, situé dans le répertoire du projet, est root. Cela entraîne fréquemment des problèmes de permissions, par exemple lors de l'exécution des scripts de linter dans le dossier du projet. Pour supprimer le projet, je dois donc utiliser sudo. Je précise que ce problème n'existe pas sous MacOS. Je pense que ce problème pourrait être contourné sous Linux en utilisant podman.
  • La commande docker compose down -v ne détruit pas les volumes.

Je suis pleinement conscient que ma méthode basée sur les volume mounts est minoritaire. En revanche, j'observe qu'une grande majorité des développeurs privilégie l'utilisation des named volumes.

Par exemple, cet été, un collègue a repris l'un de mes projets, et l'une des premières choses qu'il a faites a été de migrer ma configuration de volume mounts vers des named volumes pour résoudre un problème de permissions lié à Prettier, eslint ou Jest. En effet, la fonctionnalité ignore de ces outils ne fonctionne pas si NodeJS n'a pas les droits d'accès à un dossier du projet 😔.

Aujourd'hui, je me suis lancé dans la recherche d'une solution me permettant d'utiliser des named volumes tout en évitant les problèmes de collision entre projets.

Je pense que j'ai trouvé une solution satisfaisante 🙂.

Je l'ai décrite et testée dans le repository docker-named-volume-playground.

Ce repository d'exemple contient 2 projets distincts, nommés project_a et project_b.
J'ai instancié deux fois chacun de ces projets. Voici la liste des dossiers :

$ tree
.
├── project_a_instance_1
│   ├── docker-compose.yml
│   └── .envrc
├── project_a_instance_2
│   ├── docker-compose.yml
│   └── .envrc
├── project_b_instance_1
│   ├── docker-compose.yml
│   └── .envrc
├── project_b_instance_2
│   ├── docker-compose.yml
│   └── .envrc
└── README.md

Ce repository illustre l'organisation de plusieurs instances de différents projets sur la workstation du développeur.
Il ne doit pas être utilisé tel quel comme base pour un projet.
Par exemple, le "vrai" repository du projet projet_a se limiterait aux fichiers suivants : docker-compose.yml et .envrc.

Voici le contenu d'un de ces fichiers .envrc :

export PROJECT_NAME="project_a"
export INSTANCE_ID=$(pwd | shasum -a 1 | awk '{print $1}' | cut -c 1-12) # Used to define docker volume path
export COMPOSE_PROJECT_NAME=${PROJECT_NAME}_${INSTANCE_ID}

L'astuce que j'utilise est au niveau de INSTANCE_ID. Cet identifiant est généré de telle manière qu'il soit unique pour chaque instance de projet installée sur la workstation du développeur.
J'ai choisi de générer cet identifiant à partir du chemin complet vers le dossier de l'instance, je le passe dans la commande shasum et je garde les 12 premiers caractères.

J'utilise ensuite la valeur de COMPOSE_PROJECT_NAME dans le docker-compose.yml pour nommer le named volume :

services:
  postgres:
    image: postgres:17
    environment:
      POSTGRES_USER: postgres
      POSTGRES_DB: postgres
      POSTGRES_PASSWORD: password
    ports:
      - 5432
    volumes:
      - postgres:/var/lib/postgresql/data/
    healthcheck:
      test: ["CMD", "sh", "-c", "pg_isready -U $$POSTGRES_USER -h $$(hostname -i)"]
      interval: 10s
      start_period: 30s

volumes:
  postgres:
     name: ${COMPOSE_PROJECT_NAME}_postgres

Exemples de valeurs générées pour l'instance installée dans /home/stephane/git/github.com/stephane-klein/docker-named-volume-playground/project_a_instance_1 :

  • INSTANCE_ID=d4cfab7403e2
  • COMPOSE_PROJECT_NAME=project_a_d4cfab7403e2
  • Nom du container postgresql : project_a_d4cfab7403e2-postgres-1
  • Nom du volume postgresql : project_a_a04e7305aa09_postgres

Conclusion

Cette méthode me permet de suivre une pratique plus mainstream — utiliser les named volumes Docker — tout en évitant la collision des noms de volumes.

Je suis conscient que ce billet est un peu long pour expliquer quelque chose de simple, mais je tenais à partager l'historique de ma démarche.

Je pense que je vais dorénavant utiliser cette méthode pour tous mes nouveaux projets.


20224-12-10 11h27 : Je tiens à préciser qu'avec la configuration suivante :

services:
  postgres:
    image: postgres:17
    ...
	volumes:
      - postgres:/var/lib/postgresql/data/

volumes:
  postgres:

Quand le nom du volume postgres n'est pas défini, docker-compose le nomme sous la forme ${COMPOSE_PROJECT_NAME}_postgres. Si le projet est stocké dans le dossier foobar, alors le volume sera nommé foobar_postgres.

$ docker volume ls
DRIVER    VOLUME NAME
local     foobar_postgres

Journal du vendredi 13 septembre 2024 à 10:23 #pnpm, #workspace, #docker, #WebDev, #DevOps

Après une mise en pratique plus approfondie, la technique présentée dans pnpm workspace et Docker build n'a pas fonctionné comme je l'attendais.

À cause de cette ligne du /demosite/pnpm-lock.yaml :

    dependencies:
      gibbon-replay-js:
        specifier: 0.2.0
        version: link:../packages/gibbon-replay-js

Pour générer un fichier pnpm-lock.yaml qui contient :

      gibbon-replay-js:
        specifier: 0.2.0
        version: 0.2.0

j'ai créé un script nommé demosite/scripts/generate-local-pnpm-lock-file.sh qui contient :

#!/usr/bin/env bash
# This script generates a pnpm-lock.yaml file in the local directory,
# without including dependencies from workspace projects.
# For example, the version of gibbon-replay-js installed is the version
# published on npmjs.
# This point is crucial to ensure the correct operation of the docker build
# command when creating the Docker image of the demo-site project.
set -e

cd "$(dirname "$0")/../"

export npm_config_link_workspace_packages=false
export npm_config_prefer_workspace_packages=false
export npm_config_shared_workspace_lockfile=false

pnpm install --lockfile-only

Cela me permet de générer un fichier pnpm-lock.yaml qui sera présent dans le dossier /demosite/ et utilisé lors de l'exécution de Docker build.

En complément de cela, j'utilise les paramètres suivants dans /demosite/.npmrc :

link-workspace-packages=true
prefer-workspace-packages=true
shared-workspace-lockfile=true

cela permet en phase de "développement", c'est-à-dire en dehors du build Docker, d'utiliser le fichier pnpm-lock.yaml à la racine et la version locale du package packages/gibbon-replay-js.

Tout cela me paraît un peu complexe, mais pour l'instant, je n'ai pas trouvé de méthode alternative permettant de configurer un environnement de développement répondant à ces deux exigences :

  • En mode développement, utiliser directement le code du packages/gibbon-replay-js sans qu'aucune action ne soit requise de la part du développeur.
  • Pouvoir générer l'image Docker en une seule commande.

Je suis ouvert à toute suggestion 🙂 (contact@stephane-klein.info).

pnpm workspace et Docker build #pnpm, #docker, #WebDev, #workspace, #DevOps

J'écris cette note pour me souvenir pourquoi j'ai paramétré .npmrc avec les options suivantes :

link-workspace-packages=true
prefer-workspace-packages=true
shared-workspace-lockfile=false

Sans l'option link-workspace-packages=true, je devais configurer package.json comme ceci

"gibbon-replay-js": "workspace:*"

pour que /demosite utilise le package local /packages/gibbon-replay-js.

Cette contrainte me posait un problème, parce que /demosite/Dockerfile ne pouvait pas être buildé.

L'option link-workspace-packages=true permet de configurer la dépendance suivante

"gibbon-replay-js": "0.2.0"

qui pourra être installé correctement lors du build de l'image Docker.

Attention, cette version de gibbon-replay-js doit avoir préalablement été publiée sur npm registry.

Seconde option qui m'a été utile : shared-workspace-lockfile=false.

Avec cette option, pnpm install génère les fichiers /demosite/pnpm-lock.yaml et /app/pnpm-lock.yaml, fichiers indispensables pour build les images Docker.

Journal du jeudi 12 septembre 2024 à 19:14 #docker, #pnpm, #WebDev, #JaiDécouvert

#JaiDécouvert cet article pnpm "Working with Docker".

J'y ai découvert corepack.

Pour le moment, je ne comprends pas l'avantage d'utiliser :

FROM node:20-slim AS base
ENV PNPM_HOME="/pnpm"
ENV PATH="$PNPM_HOME:$PATH"
RUN corepack enable

plutôt que :

FROM node:20-slim AS base
RUN npm install -g pnpm@9.10

🤔

Dans ce Dockerfile j'ai tout de même utilisé cette technique pour tester.

J'ai utilisé le système de cache store de pnpm :

RUN --mount=type=cache,id=pnpm,target=/pnpm/store pnpm install --prod --frozen-lockfile

Je me suis posé la question de partage le cache de ma workstation :

$ pnpm store path
/home/stephane/.local/share/pnpm/store/v3

Mais je ne pense pas que cela soit une bonne idée dans le cas où cette image est buildé par une CI.

Journal du dimanche 25 août 2024 à 12:44 #coding, #docker, #Kubernetes, #JaiDécouvert

En cherchant des informations au sujet de l'origine de la fonctionnalité compose watch, #JaiDécouvert Tilt (from).

Journal du mercredi 21 août 2024 à 10:37 #coding, #DevOps, #snippets, #docker, #docker-compose

Note de type snippets concernant docker compose et l'utilisation de la fonctionnalité healthcheck et depends_on.

Cette méthode évite que le service webapp démarre avant que les services postgres et redis soient prêts.

# Fichier docker-composexyml
services:
    postgres:
        image: postgres:16
        ...
        healthcheck:
            test: ["CMD", "sh", "-c", "pg_isready -U $$POSTGRES_USER -h $$(hostname -i)"]
            interval: 10s
            start_period: 30s

	redis:
	    image: redis:7
	    ...
	    healthcheck:
	      test: ["CMD", "redis-cli", "ping"]
	      timeout: 10s
	      retries: 3
	      start_period: 10s

    webapp:
	    image: ...
        depends_on:
            postgres:
                condition: service_healthy
            redis:
                condition: service_healthy

Ici la commande :

$ docker compose up -d webapp

s'assure du lancement de ses dépendances, les services postgres et redis.

De plus, si le Dockerfile du service webapp contient par exemple :

# Fichier Dockerfile
...
RUN apt update -y; apt install -y curl
...
HEALTHCHECK --interval=30s --timeout=10s --retries=3 CMD curl --fail http://localhost:3000 || exit 1

Alors, je peux lancer webapp avec :

$ docker compose up -d webapp --wait

Avec l'option --wait docker compose "rend la main" lorsque le service webapp est prêt à recevoir des requêtes.

Ressources :

Journal du dimanche 23 juin 2024 à 10:57 #iteration, #docker, #postgresql, #pg_search, #JeMeDemande, #JePense, #L14

#iteration du Projet 5 - "Importation d'un vault Obsidian vers Apache Age" et plus précisément la suite de 2024-06-20_2211, #JeMeDemande comment créer une image Docker qui intègre l'extension pg_search ou autrement nommé ParadeDB.


Je lis ici :

#JePense que c'est un synonyme de pg_search mais je n'en suis pas du tout certain.

En regardant la documetation de ParadeDB, je lis :

J'en conclu que ParadeDB est un projet qui regroupe plusieurs extensions PostgreSQL : pg_search, pg_lakehouse et pg_analytics.

Pour le Projet 5, je suis intéressé seulement par pg_search.


#JeMeDemande si pg_search dépend de pg_vector mais je pense que ce n'est pas le cas.


#JeMeDemande comment créer une image Docker qui intègre l'extension pg_search ou autrement nommé ParadeDB.

J'ai commencé par essayer de créer cette image Docker en me basant sur ce Dockerfile mais j'ai trouvé cela pas pratique. Je constaté que j'avais trop de chose à modifier.

Suite à cela, je pense que je vais essayer d'installer pg_search avec PGXN.

Lien vers l'extension pg_search sur PGXN : https://pgxn.org/dist/pg_bm25/


Sur GitHub, je n'ai trouvé aucun exemple de Dockerfile qui inclue pgxn install pg_bm25.


J'ai posté https://github.com/paradedb/paradedb/issues/1019#issuecomment-2184933674.

I've seen this PGXN extension https://pgxn.org/dist/pg_bm25/

But for the moment I can't install it:

root@631f852e2bfa:/# pgxn install pg_bm25
INFO: best version: pg_bm25 9.9.9
INFO: saving /tmp/tmpvhb7eti5/pg_bm25-9.9.9.zip
INFO: unpacking: /tmp/tmpvhb7eti5/pg_bm25-9.9.9.zip
INFO: building extension
ERROR: no Makefile found in the extension root

J'ai posté pgxn install pg_bm25 => ERROR: no Makefile found in the extension root #1287.


Je me suis auto répondu :

I think I may have found my mistake.

Should I not use pgxn install but should I use pgxn download :

root@28769237c982:~# pgxn download pg_bm25
INFO: best version: pg_bm25 9.9.9
INFO: saving /root/pg_bm25-9.9.9.zip

@philippemnoel Can you confirm my hypothesis?


J'ai l'impression que https://pgxn.org/dist/pg_bm25/ n'est buildé que pour PostgreSQL 15.

root@4c6674286839:/# unzip pg_bm25-9.9.9.zip
Archive:  pg_bm25-9.9.9.zip
   creating: pg_bm25-9.9.9/
   creating: pg_bm25-9.9.9/usr/
   creating: pg_bm25-9.9.9/usr/lib/
   creating: pg_bm25-9.9.9/usr/lib/postgresql/
   creating: pg_bm25-9.9.9/usr/lib/postgresql/15/
   creating: pg_bm25-9.9.9/usr/lib/postgresql/15/lib/
  inflating: pg_bm25-9.9.9/usr/lib/postgresql/15/lib/pg_bm25.so
   creating: pg_bm25-9.9.9/usr/share/
   creating: pg_bm25-9.9.9/usr/share/postgresql/
   creating: pg_bm25-9.9.9/usr/share/postgresql/15/
   creating: pg_bm25-9.9.9/usr/share/postgresql/15/extension/
  inflating: pg_bm25-9.9.9/usr/share/postgresql/15/extension/pg_bm25.control
  inflating: pg_bm25-9.9.9/usr/share/postgresql/15/extension/pg_bm25--9.9.9.sql
  inflating: pg_bm25-9.9.9/META.json

Je pense que je dois changer de stratégie 🤔.

Je ne pensais pas rencontrer autant de difficultés pour installer cette extension 🤷‍♂️.


Ce matin, j'ai passé 1h30 sur ce sujet.


J'ai trouvé ce Dockerfile https://github.com/kevinhu/pgsearch/blob/48c4fee0b645fddeb7825802e5d1a4a2beb9a99b/Dockerfile#L14

Je pense pouvoir installer un package Debian présent dans la page release : https://github.com/paradedb/paradedb/releases

Le paramétrage de `search_path` PostgreSQL dans docker-compose ne fonctionne pas 🤨 #coding, #difficulté, #postgresql, #docker-compose, #docker, #JeMeDemande, #JaiLu, #ProblèmeRésolu

Je suis en train de travailler sur Projet 5 - "Importation d'un vault Obsidian vers Apache Age" et je rencontre une difficulté.

J'utilise cette configuration docker-compose.yml :

services:
  postgres:
    image: apache/age:PG16_latest
    restart: unless-stopped
    ports:
      - 5432:5432
    environment:
      POSTGRES_DB: postgres
      POSTGRES_USER: postgres
      POSTGRES_PASSWORD: password
      PGOPTIONS: "--search_path='ag_catalog,public'"
    volumes:
      - ./volumes/postgres/:/var/lib/postgresql/data/
    healthcheck:
      test: ["CMD", "sh", "-c", "pg_isready -U $$POSTGRES_USER -h $$(hostname -i)"]
      interval: 10s
      start_period: 30s

Je ne comprends pas pourquoi, j'ai l'impression que le paramètre PGOPTIONS: "--search_path=''" ne fonctionne plus.

$ ./scripts/enter-in-pg.sh
postgres=# SHOW search_path ;
   search_path
-----------------
 "$user", public
(1 ligne)

postgres=#

La valeur de search_path devrait être ag_catalog,public.

J'ai testé avec l'image Docker image: postgres:16, j'observe le même problème.

Je suis surpris parce que je pense me souvenir que cette syntaxe fonctionnait ici en septembre 2023 🤔.

#JeMeDemande comment corriger ce problème 🤔.


#JaiLu docker - Can't set schema_name in dockerized PostgreSQL database - Stack Overflow


09:07 : #ProblèmeRésolu par https://github.com/stephane-klein/obsidian-vault-to-apache-age-poc/commit/0b1cef3a725550269583ddb514fa3fff1932e89d

Projet 7 - "Améliorer et mettre à jour le projet restic-pg_dump-docker" #backup, #admin-sys, #docker, #project-completed, #JeMeDemande

Date de la création de cette note : 2024-06-05.

Ce projet est terminé : voir 2024-07-06_1116.

Quel est l'objectif de ce projet ?

Bien que j'aie beaucoup travaillé de décembre 2023 janvier 2024 sur le projet Implémenter un POC de pgBackRest, je souhaite mettre à jour et améliorer le repository restic-pg_dump-docker.

Quelques tâches à réaliser :

  • [x] Mettre à jour tous les composants ;
  • [x] Publier le Dockerfile de stephaneklein/restic-backup-docker ;
  • [ ] Réaliser et publier un screencast ;
  • [x] Améliorer le README.md.

Pourquoi je souhaite réaliser ce projet ?

Pourquoi continuer ce projet alors que j'ai travaillé sur pgBackRest qui semble bien mieux ?

Pour plusieurs raisons :

  • Je ne peux pas installer pgBackRest dans un « sidecar container Docker » — en tout cas, je n'ai pas trouvé comment réaliser cela 🤷‍♂️. Je dois utiliser un container Docker PostgreSQL qui intègre pgBackRest.
  • Pour le moment, je ne comprends pas très bien la taille consommée par les "WAL segments" sauvegardés dans les buckets.
  • Pour le moment, je ne sais pas combien de temps prend la restauration d'un backup d'une base de données d'une taille supérieure à un test. Par exemple, combien de temps prend la restauration d'une base de données de 100 Mo 🤔.
  • Je ne suis pas rassuré de devoir lancer un cron — supercronic — lancé par tini

Bien que pgBackRest permette un backup en temps "réel" et est sans doute plus rapide que "ma" méthode "restic-pg_dump", pour toutes les raisons listée ci-dessus, je pense que la méthode "restic-pg_dump" est moins complexe à mettre en place et à utiliser.

#JeMeDemande si la fonctionnalité "incremental backups" la version 17 de PostgreSQL sera une solution plus pratique que pgBackRest et la méthode "restic-pg_dump" 🤔.

Repository de ce projet :

https://github.com/stephane-klein/restic-pg_dump-docker

Je vais travailler dans la branche nommée june-2024-working-session

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