
GitHub
Journaux liées à cette note :
Quelle est mon utilisation d'OpenRouter.ia ?
Alexandre m'a posé la question suivante :
Pourquoi utilises-tu openrouter.ai ? Quel est son intérêt principal pour toi ?
Je vais tenter de répondre à cette question dans cette note.
(Un screencast est disponible en fin de note)
Historique de mon utilisation des IA génératives payantes
Pour commencer, je pense qu’il est utile de revenir sur l’histoire de mon usage des IA génératives de texte payantes, afin de mieux comprendre ce qui m’a amené à utiliser openrouter.ai.
En juin 2023, j'ai expérimenté l'API ChatGPT dans ce POC poc-api-gpt-generate-demo-datas
et je me rappelle avoir brûlé mes 10 € de crédit très rapidement.
Cette expérience m'a mené à la conclusion que pour utiliser des LLM dans le futur, je devrais passer par du self-hosting.
C'est pour cela que je me suis fortement intéressé à Llama.cpp en 2024, comme l'illustrent ces notes :
- 2024 janvier : J'ai lu le README.md de Ollama
- 2024 mai : Je me demande combien me coûterait l'hébergement de Lllama.cpp sur une GPU instance de Scaleway
- 2024 mai : Lecture active de l'article « LLM auto-hébergés ou non : mon expérience » de LinuxFr
- 2024 juin : Déjeuner avec un ami sur le thème, auto-hébergement de LLMs
J'ai souscrit à ChatGPT Plus pour environ 22 € par mois de mars à septembre 2024.
Je pensais que cette offre était probablement bien plus économique que l'utilisation directe de l'API ChatGPT. Avec du recul, je pense que ce n'était pas le cas.
Après avoir lu plusieurs articles sur Anthropic — notamment la section Historique de l'article Wikipédia — et constaté les retours positifs sur Claude Sonnet (voir la note 2025-01-12_1509), j’ai décidé de tester Claude.ia pendant un certain temps.
Le 3 mars 2025, je me suis abonné à l'offre Claude Pro à 21,60 € par mois.
Durant cette même période, j'ai utilisé avante.nvim connecté à Claude Sonnet via le provider Copilot, voir note : J'ai réussi à configurer Avante.nvim connecté à Claude Sonnet via le provider Copilot.
En revanche, comme je l’indique ici , je n’ai jamais réussi à trouver, dans l’interface web de GitHub, mes statistiques d’utilisation ni les quotas associés à Copilot. J’avais en permanence la crainte de découvrir un jour une facture salée.
Au mois d'avril 2025, j'ai commencé à utiliser Scaleway Generative APIs connecté à Open WebUI : voir note 2025-04-25_1833.
Pour résumer, ma situation en mai 2025 était la suivante
- Je pensais que l'utilisation des API directes d'OpenAI ou d'Anthropic était hors de prix.
- Je payais un abonnement mensuel d'un peu plus de 20 € pour un accès à Claude.ia via leur agent conversationnel web
- Je commençais à utiliser Scaleway Generative APIs avec accès à un nombre restreint de modèles
- Étant donné que je souscrivais à un abonnement, je ne pouvais pas facilement passer d'un provider à un autre. Quand je décidais de prendre un abonnement Claude.ia alors j'arrêtais d'utiliser ChatGPT.
En mai 2025, j'ai commencé sans conviction à m'intéresser à OpenRouter
J'ai réellement pris le temps de tester OpenRouter le 30 mai 2025. J'avais déjà croisé ce projet plusieurs fois auparavant, probablement dans la documentation de Aider, llm (cli) et sans doute sur le Subreddit LocalLLaMa.
Avant de prendre réellement le temps de le tester, en ligne de commande et avec Open WebUI, je n'avais pas réellement compris son intérêt.
Je ne comprenais pas l'intérêt de payer 5% de frais supplémentaires à openrouter.ai pour accéder aux modèles payants d'OpenAI ou Anthropic 🤔 !
Au même moment, je m'interrogeais sur les limites de quotas de tokens de l'offre Claude Pro.
For Individual Power Users: Claude Pro Plan
- All Free plan features.
- Approximately 5 times more usage than the Free plan.
- ...
J'étais très surpris de constater que la documentation de l'offre Claude Pro , contrairement à celle de l'API, ne précisait aucun chiffre concernant les limites de consommation de tokens.
Même constat du côté de ChatGPT :
ChatGPT Plus
- Toutes les fonctionnalités de l’offre gratuite
- Limites étendues sur l’envoi de messages, le chargement de fichiers, l’analyse de données et la génération d’images
- ...
Je me souviens d'avoir effectué diverses recherches sur Reddit à ce sujet, mais sans succès.
J'ai interrogé Claude.ia et il m'a répondu ceci :
L'offre Claude Pro vous donne accès à environ 3 millions de tokens par mois. Ce quota est remis à zéro chaque mois et vous permet d'utiliser Claude de manière plus intensive qu'avec le plan gratuit.
Aucune précision n'est donnée concernant une éventuelle répartition des tokens d'input et d'output, pas plus que sur le modèle LLM qui est sélectionné.
J'ai fait ces petits calculs de coûts sur llm-prices :
- En prenant l'hypothèse de 1 million de tokens en entrée et 2 millions en sortie :
- Le modèle Claude Sonnet 4 coûterait environ
$33
. - Le modèle Claude Haiku coûterait environ
$2,75
.
- Le modèle Claude Sonnet 4 coûterait environ
J'en ai déduit que le prix des abonnements n'est peut-être pas aussi économique que je le pensais initialement.
Après cela, j'ai calculé le coût de plusieurs de mes discussions sur Claude.ia. J'ai été surpris de voir que les prix étaient bien inférieurs à ce que je pensais : seulement 0,003 € pour une petite question, et environ 0,08 € pour générer un texte de 5000 mots.
J'ai alors pris la décision de tester openrouter.ai avec 10 € de crédit. Je me suis dit : "Au pire, si openrouter.ai est inutile, je perdrai seulement 0,5 €".
Je pensais que je n'avais pas à me poser de questions tant qu'openrouter.ai ne me coûtait qu'un ou deux euros par mois.
Suite à cette décision, j'ai commencé à utiliser openrouter.ai avec Open WebUI en utilisant ce playground : open-webui-deployment-playground
.
Ensuite, je me suis lancé dans « Projet 30 - "Setup une instance personnelle d'Open WebUI connectée à OpenRouter" » pour héberger cela un peu plus proprement.
Et dernièrement, j'ai connecté avante.nvim à OpenRouter : Switch from Copilot to OpenRouter with Gemini 2.0 Flash for Avante.nvim.
Après plus d'un mois d'utilisation, voici ce que OpenRouter m'apporte
Entre le 30 mai et le 15 juillet 2025, j'ai consommé $14,94
de crédit. Ce qui est moindre que l'abonnement de 22 € par mois de Claude Pro.
D'après mes calculs basés sur https://data.sklein.xyz, en utilisant OpenRouter j'aurais dépensé :
- mars 2025 :
$3.07
- avril 2025 :
$2,76
- mai 2025 :
$2,32
Ici aussi, ces montants sont bien moindres que les 22 € de l'abonnement Claude Pro.
En utilisant OpenRouter, j'ai accès facilement à plus de 400 instances de models, dont la plupart des modèles propriétaires, comme ceux de OpenAI, Claude, Gemini, Mistral AI…
Je n'ai plus à me poser la question de prendre un abonnement chez un provider ou un autre.
Je dépose simplement des crédits sur openrouter.ai et après, je suis libre d'utiliser ce que je veux.
openrouter.ai me donne l'opportunité de tester différents modèles avec plus de liberté.
J'ai aussi accès à énormément de modèles gratuitement, à condition d'accepter que ces providers exploitent mes prompts pour de l'entrainement. Plus de détail ici : Privacy, Logging, and Data Collection.
Tout ceci est configurable dans l'interface web de OpenRouter :
Je peux générer autant de clés d'API que je le désire. Et ce que j'apprécie particulièrement, c'est la possibilité de paramétrer des quotas de crédits spécifiques pour chaque clé ❤️.
OpenRouter me donne bien entendu accès aux fonctionnalités avancées des modèles, par exemple Structured Outputs with LLM, ou "tools" :
J'ai aussi accès à un dashboard d'activité, je peux suivre avec précision mes consommations :
Je peux aussi utiliser OpenRouter dans mes applications, avec llm (cli), avante.nvim… Je n'ai plus à me poser de question.
Et voici un petit screencast de présentation de openrouter.ai :
Journal du lundi 23 juin 2025 à 11:49
Dans la slide 18 de la conférence "Nubo: the French government sovereign cloud" du FOSDEM 2025, j'ai découvert l'article "Un logiciel libre est un produit et un projet" (https://bzg.fr/fr/logiciel-produit-projet/).
Je viens de réaliser une lecture active de cet article. Je l'ai trouvé très intéressant. Je vais garder à l'esprit cette distinction "produit / projet".
Voici quelques extraits de cet article.
La popularité de GitHub crée des attentes sur ce qu'est un logiciel « open source » (comme disent les jeunes) ou « libre » (comme disent les vrais). Il s'agit d'un dépôt de code avec une licence, une page de présentation (souvent nommée README), un endroit où remonter des problèmes (les issues), un autre où proposer corrections et évolutions (les pull requests) et, parfois, d'autres aspects : un espace de discussion, des actions lancées à chaque changement, un lien vers le site web officiel, etc.
Je trouve que ce paragraphe décrit très bien les fonctions remplies par un dépôt GitHub :
Pourquoi distinguer produit et projet ?
Cette distinction permet d'abord de décrire une tension inhérente à tout logiciel libre : d'un côté les coûts de distribution du produit sont quasi-nuls, mais de l'autre, l'énergie à dépenser pour maintenir le projet est élevée. Lorsque le nombre d'utilisateurs augmente, la valeur du produit augmente aussi, de même que la charge qui pèse sur le projet. C'est un peu comme l'amour et l'attention : le premier se multiplie facilement, mais le deuxième ne peut que se diviser.
Je partage cet avis 👍️.
C'est d'ailleurs cette tension qu'on trouve illustrée dans l'opposition entre les deux sens de fork. Dans le sens technique, forker un code source ne coûte rien. Dans le sens humain, forker un projet demande beaucoup d'effort : il faut recréer la structure porteuse, à la fois techniquement (hébergement du code, site web, etc.), juridiquement (éventuelle structure pour les droits, etc.) et humainement (attirer les utilisateurs et les contributeurs vers le projet forké.)
J'approuve 👍️.
Côté morale, il y a les principes et les valeurs. Les principes sont des règles que nous nous donnons pour les suivre ; les valeurs expriment ce qui nous tient à coeur. Les deux guident notre action.
Intéressant 🤔
Un logiciel libre est un produit qui suit un principe, celui d'octroyer aux utilisateurs les quatre libertés. Il est porté par un projet ayant des valeurs, dont voici des exemples : l'importance de ne pas utiliser des plateformes dont le code source n'est pas libre pour publier un code source libre, celle d'utiliser des outils libres pour communiquer, de produire un logiciel accessible et bien documenté, d'être à l'état de l'art technique, d'être inclusif dans les contributions recherchées, d'avoir des règles pour prendre des décisions collectivement, de contribuer à la paix dans le monde, etc.
Je trouve cela très bien exprimé 👍️.
Depuis un an, j'ai pris conscience d'une difficulté inhérente aux organisations qui suivent le paradigme Multirepos, difficulté dont je ne m'étais pas rendu compte auparavant : décider où publier ses issues !
J'ai observé que dès qu'une organisation commence à utiliser plusieurs repositories, la question de l'endroit où créer de nouvelles issues se pose. Par exemple :
- Où poster une issue d'amélioration qui nécessite des changements dans le repository A et B ?
- Où créer une issue d'une proposition d'un process qui ne concerne pas spécifiquement le code source d'un projet hébergé dans un repository ?
- Où créer une issue dont le but est de créer un nouveau service ?
Quand une organisation suit le paradigme Monorepo avec issues colocalisées et utilise, comme je l'explique dans la note "Nom et arborescence de Monorepo" un nom non spécifique, alors la question de l'endroit où publier ses issues ne se pose pas ! Il suffit de publier l'issue dans le Monorepo (par exemple sur GitHub, GitLab ou Forgejo).
Le gestionnaire d'issue du Monorepo est un point de schelling, c'est-à-dire un endroit où tous les développeurs convergent naturellement en l'absence de communication explicite pour trouver et créer des issues.
Ce paradigme évite des débats à propos de l'endroit où publier les issues.
Nom et arborescence de Monorepo
Je suis un adepe du paradigme Monorepo, de la documentation colocalisée et des issues colocalisées.
Je conseille de nommer le repository avec le nom de l'organisation.
Par exemple, si mon organisation se nomme « Dummy Tech » et si elle utilise GitLab, alors je conseille d'utiliser le slug dummy-tech
, ce qui donne gitlab.com/dummy-tech/dummy-tech/
et « Dummy Tech Monorepo » comme titre de repository.
La neutralité de ce nom facilite les décisions concernant ce qui peut ou non être inclus dans le repository, sans être limité par un nom trop restrictif. Il est flexible face à l'évolution du projet. Il permet d'éviter bien des débats à propos du nommage.
En 2018, sur GitHub, j'ai découvert un exemple de monorepo d'une organisation. Cet exemple m'a servi de base et je l'ai fait évoluer quand je travaillais chez Spacefill.
Voici un exemple d'arborescence de monorepo que j'aime utiliser :
dummy-tech
├── deployments
│ ├── prod
│ └── sandbox
├── ci
├── docs
├── playgrounds
│ ├── playground_a
│ └── playground_b
├── services
│ ├── service_a
│ ├── service_b
│ └── service_c
└── tools
├── tool_a
├── tool_b
└── tool_c
En 2016, Philippe Lafoucrière m'a appris que contrairement aux règles de typographie française, en typographie anglaise, il ne faut pas placer d'espace avant le caractère deux points :
.
Je pense d'ailleurs que cette différence est peu connue par les Français et inversement.
Une des conséquences malheureuses de cette différence est la présence généralisée d'une popup de suggestion automatique d'émojis après la séquence <espace>:
dans les éditeurs de texte Markdown. Cette fonctionnalité est activée par défaut, sans option pour la désactiver, par exemple, dans GitHub, GitLab ou Discourse.
Exemple :
En 2022, j'ai implémenté et publié un User Styles pour Firefox (maintenant LibreWolf) basé sur Stylus pour désactiver cette autosuggestion automatique d'émojis sur GitHub, GitLab.
Je viens d'ajouter une règle pour Discourse.
Voici ces règles exécutées par Stylus (le fichier) :
@-moz-document regexp("http.*gitlab.*") {
.atwho-container #at-view-58 {
display: none !important;
}
}
@-moz-document domain("github.com") {
[class^="AutocompleteSuggestions"] {
display: none !important;
visibility: hidden !important;
}
}
@-moz-document regexp(".*discourse.*"), regexp(".*discussion.*") {
.autocomplete.ac-emoji {
display: none !important;
}
}
Comment l'installer ?
- Installer l'extension Firefox : https://add0n.com/stylus.html
- Et ensuite, cliquer sur le lien suivant pour installer mon fichier User Styles : https://github.com/stephane-klein/dotfiles/raw/refs/heads/main/userstyles/disable-gitlab-github-discourse-emoji-picker.user.css
Je vais essayer de rassembler mes User Styles dans ce dossier : https://github.com/stephane-klein/dotfiles/tree/main/userstyles.
Journal du mercredi 29 janvier 2025 à 16:29
Alexandre m'a fait remarquer que GitLab a activé par défaut une extension Markdown de génération automatique de TOC :
A table of contents is an unordered list that links to subheadings in the document. You can add a table of contents to issues, merge requests, and epics, but you can’t add one to notes or comments.
Add one of these tags on their own line to the description field of any of the supported content types:
[[_TOC_]] or [TOC]
- Markdown files.
- Wiki pages.
- Issues.
- Merge requests.
- Epics.
Je trouve cela excellent que cette extension Markdown soit supportée un peu partout, en particulier les issues, Merge Request… 👍️.
Cette fonctionnalité a été ajoutée en mars 2020 🫢 ! Comment j'ai pu passer à côté ?
GitHub permet d'afficher un TOC au niveau des README
, mais je viens de vérifier, GitHub ne semble pas supporter cette extension TOC Markdown au niveau des issues… Pull Request…
Je me demande si Obsidian ou SilverBullet pourraient tirer parti de la norme "URL text fragment" 🤔
#JeMeDemande si Obsidian ou SilverBullet.mb supportent la syntax URL text fragment 🤔.
Claude.ia m'a appris que les URL text fragment se nomment aussi des "deep linking to text".
J'ai effectué les recherches suivantes sur GitHub :
- « obsidian deep linking » et j'ai trouvé :
deep-notes
mais le README "vide" ne m'a pas donné envie de le tester
- « obsidian fragment » mais je n'ai rien trouvé de pertinent
J'ai effectué les recherches suivantes sur https://forum.obsidian.md :
- « deep link » et j'ai trouvé :
- En lisant "Link to Block does not work with non-default themes" #JaiDécouvert la fonctionnalité d'Obsidian nommée "Link to a block in a note" qui est à l'usage très pratique.
- « fragment » et j'ai trouvé :
- "I think text fragment could be very useful in Obsidian" qui correspond à la question que je me pose.
Pour le moment, je pense qu'avec Obsidian la seule solution est d'utiliser la fonctionnalité "Link to a block in a note".
Voici mes recherches concernant SilverBullet.mb.
Dans la page "Links" j'ai trouvé la fonctionnalité "Anchors."
J'ai effectué les recherches suivantes sur https://community.silverbullet.md:
et je n'ai rien trouvé d'intéressant.
J'ai ensuite effectué des recherches sur GitHub :
je n'ai rien trouvé d'intéressant non plus.
J'ai posté le message suivant sur « I wonder if SilverBullet could take advantage of the “URL text fragment” standard 🤔 ».
Version française :
Il y a quelques jours, j'ai découvert la fonctionnalité URL text fragment (ma note à ce sujet en français). Depuis, j'utilise l'extension Firefox "Link to Text Fragment" pour partager des liens précis et je trouve cela très simple d'usage.
J'ai bien identifié la fonctionnalité Anchors de Silverbullet pour créer un lien vers une position précise dans une page interne à SilverBullet.
Je me demande si SilverBullet pourrait tirer parti de la norme "URL text fragment" 🤔.
J'imagine une syntaxe du type
[[MyPage#:~:text=foobar]]
.Pour le moment, j'ai du mal à imaginer les avantages /inconvénients de cette idée de fonctionnalité par rapport à l'utilisation de "Anchors".
J'ai cherché si Obsidian supportait les URL text fragment, je constate que non.
Chez Obsidian l'équivalent de Anchors semble être Link to a block in a note.Quelle est votre intuition à ce sujet ?
Version anglaise :
A few days ago, I discovered the URL text fragment feature (my note about this in french). Since then, I've been using the Firefox extension “Link to Text Fragment” to share specific links, and I find it very easy to use.
I did identify Silverbullet's Anchors feature for linking to a specific position on a SilverBullet internal page.
I wonder if SilverBullet could take advantage of the “URL text fragment” standard 🤔.
I can imagine a syntax like
[[MyPage#:~:text=foobar]]
.For now, I'm struggling to imagine the advantages/disadvantages of this feature idea compared to using “Anchors”.
I've looked to see if Obsidian supports URL text fragments, and find that it doesn't.
Obsidian's equivalent of Anchors seems to be Link to a block in a note.What's your feeling about this?
La fonctionnalité "Activité" de GitLab me manque dans GitHub
La fonctionnalité "Activité" de GitLab me manque dans GitHub.
Voici trois exemples concrets de fonctionnement de cette fonctionnalité, dans trois contextes différents.
Le premier, dans le projet GNOME Shell :
Le second, dans le groupe Wayland : https://gitlab.freedesktop.org/groups/wayland/-/activity
Et le troisième, pour l'utilisateur Lucas Stach: https://gitlab.freedesktop.org/users/lynxeye/activity
Je trouve cette fonctionnalité très utile quand on travaille sur un projet. Elle permet d'avoir une vue d'ensemble de ce qui s'est passé sur un projet sur une période. Elle vient en complément de l'historique Git qui est limité aux changements effectués sur le code source.
Dans certaines situations, je sais qu'un collègue travaille sur un sujet qui me concerne et la fonctionnalité "Activité" me permet de mieux comprendre où il en est, de suivre facilement ce qu'il fait.
Cette fonctionnalité "Activité" permet de pratiquer la stigmergie.
J'utilise aussi cette fonctionnalité lors de la rédaction d'un rapport d'activité ou d'un message de Daily Scrum. Elle m'aide à retrouver précisément ce que j'ai fait dernièrement.
Je trouve la page "Contribution activity" d'un user GitHub limité, par exemple, elle ne contient pas l'historique des commentaires.
Même chose au niveau d'un projet, dans la page "Pulse", par exemple : https://github.com/sveltejs/kit/pulse.
Je viens de regarder du côté de Codeberg / Forgejo : <https://codeberg.org/forgejo/forgejo/activity. Même constat que pour GitHub, les informations sont très réduites.
Idée d'une extension browser pour connecter Obsidian à GitHub
J'aime être explicite, j'évite l'utilisation des acronymes, j'essaie de désigner les ressources (lien vers un paragraphe, une fonction, une issue, un contrat, un client…) avec des URLs, afin d'éviter toute ambiguïté.
J'ai de plus en plus l'intuition que l'usage d'un Organisation knowledge management combiné à de multiples Personal knowledge management de type Obsidian, SilverBullet.mb sont très utiles dans un contexte de travail en équipe et dans une organisation.
Partant de cette préférence et de cette intuition, j'ai eu une idée, j'ai ressenti un besoin que je vais expliquer dans cette note.
Je suis en train de rédiger une issue dans GitHub.
Dans la description de l'issue, je souhaite faire mention de la notion de PII et d'un champ de base de données.
J'aimerais développer une extension navigateur qui permet de saisir des wikilink ([[PageName|custom title]]
) dans les zones de texte supportant de Markdown de GitHub, GitLab, Trello, Mattermost, Zullip, etc, avec le support de la recherche / autocomplétion.
J'aimerais ajouter une fonctionnalité qui affiche, lors du survol d'un wikilink, un popup contenant un aperçu de la page liée. Cela permet, par exemple, de consulter rapidement la signification d'un acronyme ou d'identifier une ressource.
J'aimerais que cette extension puisse être connecté à un ou plusieurs knowledge management system.