User experience
Journaux liées à cette note :
Journal du dimanche 03 novembre 2024 à 11:51
Avec la sortie de la version 17 de PostgreSQL, de nouvelles options de sauvegarde sont désormais disponibles : l'outil pg_basebackup permet de réaliser les sauvegardes incrémentales, et un nouvel utilitaire, pg_combinebackup, permet de reconstituer une sauvegarde complète à partir de sauvegardes incrémentales.
J'ai lu les articles suivants de Robert Haas, créateur de ces nouvelles fonctionnalités :
- Incremental Backup: What To Copy?
- #JaiDécouvert le projet ptrack.
- Incremental Backups: Evergreen and Other Use Cases
J'en ai profité aussi pour lire :
J'ai trouvé tous ces articles très intéressants, j'y ai appris beaucoup de choses.
Je me demande quel impact ces fonctionnalités auront ou ont déjà sur les outils existants comme pgBackRest, barman, et wal-g.
Autres ressources :
Impact sur pgBackRest ?
Voici ce que j'ai trouvé dans le projet pgBackRest.
We are aware of what's been committed to PG17.
-- from
Je comprends d'après ce commentaire que les auteurs de pgBackRest sont bien au courant des avancées de PostgreSQL 17.
Issue : WAL summarizer in pg 17 and incremental backups in pgbackrest ?.
We already support page-level (we call it block-level) incremental since v2.46 and it works for all versions of PostgreSQL supported by pgBackRest (>= 9.4), see https://pgbackrest.org/user-guide.html#backup/block.
We are planning to use the WAL summarizer to help us pick more optimal block sizes and cross-check timestamps but we are waiting for it to be a bit more stable. Also, the WAL summarizer output uses a lot of memory and is not the best fit for large databases with a lot of changes. We have some ideas on how to make that more efficient but have not had time to pursue it yet.
D'après ce commentaire, je pense avoir compris que les nouvelles fonctionnalités de backup incrémental de PostgreSQL 17 ne sont d'aucune utilité pour pgBackRest, qui implémente déjà cette fonctionnalité de manière efficace 🤔.
Impact sur barman ?
La version 3.11.0 de barman intègre des fonctionnalités liées aux nouvelles fonctionnalités de PostgreSQL 17.
Impact sur wal-g
J'ai n'ai trouvé aucune mention de pg_combinebackup, ni de pg_basebackup incremental dans le repository de wal-g.
J'ai l'impression qu'il est possible d'utiliser directement pg_basebackup pour effectuer des sauvegardes incrémentales de bases de données PostgreSQL. Cependant, je crains que cette idée soit un peu naïve.
Vers la fin de 2023, j'ai commencé à implémenter un POC de pgBackRest : https://github.com/stephane-klein/backlog/issues/322. J'ai pu réaliser une simulation complète de son utilisation dans ce dépôt : poc-pgbackrest. Cependant, je n'ai pas conservé un souvenir précis des raisons pour lesquelles mon expérience utilisateur n'a pas été satisfaisante, ce qui m'a dissuadé de déployer pgBackRest en production.
Après avoir constaté que barman intègre la fonctionnalité increment de pg_basebackup, j'ai envie de tester barman.
Journal du jeudi 10 octobre 2024 à 16:39
En étudiant Loomio, #JaiDécouvert une fonctionnalité que je trouve très bien implémentée : "Démarrer la démo - Jouez avec un groupe exemple".
Cela crée automatiquement un groupe avec du "contexte" :
Avant cela, j'ai beaucoup aimé les "workspace" de type "sample" de Basecamp mais là, je trouve l'User experience encore meilleur. Je trouve l'entrée du menu très bien placée et très explicite.
Journal du jeudi 15 août 2024 à 12:32
#Jaime beaucoup cette élement UX :
Visible par exemple tout en bas de cette page : https://gwern.net/rubiks-cube-claude
Journal du jeudi 15 août 2024 à 10:48
Nouvelle #iteration de Projet 11 - "Première version d'un moteur web PKM".
En haut de cette page, j'aimerais afficher quelques tags.
En peu de la même manière que sur ce site :
Dans cette #iteration , j'affiche tous les tags, mais la liste est trop longue.
Sur ce screenshot, seules les deux premières lignes de tags sont affichées avec un fondu transparent sur la seconde ligne.
Je ne suis pas convaincu de la pertinence du fondu transparent.
Je pense que cela attire le regard d'une manière excessif sur un élément d'UI secondaire.
Je pense qu'il est préférable d'afficher une seule ligne 🤔.
Je pense ajouter à la fin d'un tags un élément UX inspiré par :
Journal du mardi 13 août 2024 à 10:41
Deux amis m'ont partagé un thread Hacker News : Postgres.new: In-browser Postgres with an AI interface.
Je viens de prendre le temps de tester postgres.new.
Voici une vidéo officielle : https://www.youtube.com/watch?v=ooWaPVvljlU
#Jadore ! Je trouve l'UX très bonne, j'aime l'onglet "Migrations", les explications données dans la colonne de droite.
Le projet est 100% Open source, voici le dépôt GitHub : https://github.com/supabase-community/postgres-new
Très beau travail !
Je me demande combien de temps ce projet a été implémenté 🤔.
1 mois et demi d'après la page contributors.
Mais je constate que le premier commit est plutôt conséquent, je pense que le projet était initialement intégré dans un mono repository.
Concernant l'implémentation, je lis :
All queries in postgres.new run directly in your browser. There’s no remote Postgres container or WebSocket proxy.
👍️
How is this possible? PGlite, a WASM version of PostgreSQL that can run directly in your browser. Every database that you create spins up a new instance of PGlite that exposes a fully-functional Postgres database. Data is stored in IndexedDB so that changes persist after refresh.
La partie LLM n'est pas mentionnée, #JeMeDemande comment elle est implémentée 🤔.
Je pense avoir trouvé ma réponse ici :
We pair PGlite with an LLM (currently GPT-4o) and give it full reign over the database with unrestricted permissions. (from)
Je lis :
RAG / pgvector: PGLite supports pgvector, so you can ask the LLM to create embeddings for RAG. The site uses transformers.js to create embeddings inside the browser.
Je n'ai pas tout compris 🤔.
#JaiDécouvert transformers.js.
J'ai lu ce commentaire :
It is a neat tech demo but it clearly shows the limits of AI:
- I got it to generate invalid SQL resulting in errors - it merely generates reasonable SQL, but in my case it generated to disjoint set of tables…. - In practice you have tot review all code - It can point you into the wrong direction. Novel systems often have something smart/abstract in there. This system creates mostly Straightforward simple systems. That’s not where the value is
All in all, it’s not worth it to me. Writing code myself is easier than having to review LLM code
Within our organization we have forbidden full LLM merge request because more often than not the code was suboptimal. And had sneaky bugs/mistakes.
I’m not saying these can’t be overcome. But not with current LLM design. They mostly generate stuff they have seen and are bad as truly new stuff.
Personnellement, cela ne me surprend pas et cela ne remet pas en question, à mes yeux, l'intérêt de cet outil.
Je pense l'utiliser pour concevoir une ébauche de base de données.
Je pense qu'il pourra me fournir de bonnes suggestions pour les noms de tables et de champs, et même inclure des champs auxquels je n'aurais peut-être pas pensé.
Journal du mercredi 31 juillet 2024 à 11:11
Une amie m'a demandé ce que je pense de cette déclaration :
« Selon moi, la résolution de problème se déroule en deux étapes : d'abord, on traite les symptômes. Si le problème persiste, on prend plus de temps pour en identifier et résoudre la cause profonde.
Cette doctrine est particulièrement adapté aux Startup ».
Cette question de fait penser à la citation du chapitre "Quick Fixes Become Quicksand" du livre Practices of an Agile Developer :
« You don't need to really understand that piece of code; it seems, to work OK as is. Oh, but it just needs one small tweak. Just add one to the result, and it works. Go ahead and put that in; it's probably fine. »
De mon expérience — dans le domaine du software engineering —, le bon dosage de l'usage des Quick Fixes, QuickWin est une source de désacord classique au sein d'une organisation.
Et ceci arrive d'autant plus lorsqu'une équipe est dans sa période de storming.
La lecture du chapitre Quick Fixes Become Quicksand en 2007 m'a beaucoup marqué et ne m'a jamais quitté depuis, je peux dire qu'il fait parti de ma doctrine d'artisan développeur.
Voici-ci dessous les screenshot et la version texte de ce chapiter.
(cliquer ici pour voir ces screenshots en grand)
Voici la version texte de ce chapitre.
Quick Fixes Become Quicksand
You don't need to really understand that piece of code; it seems, to work OK as is. Oh, but it just needs one small tweak. Just add one to the result, and it works. Go ahead and put that in; it's probably fine.”
We've all been there. There's a bug, and there's time pressure. The quick fix seems to work— just add one or ignore that last entry in the list, and it works OK for now. But what happens next distinguishes good programmers from crude hackers.
The crude hacker leaves the code as is and quickly moves on to the next problem.
The good programmer will go to the next step and try to understand why that +1 is necessary, and—more important—what else is affected.
Now this might sound like a contrived, even silly, example, except that it really happened — on a large scale. A former client of Andy's had this very problem. None of the developers or architects understood the underlying data model of their domain, and over the course of several years the code base became littered with thousands of +1 and -1 corrections. Trying to add features or fix bugs in that mess was a hair-pulling nightmare (and indeed, many of the developers had gone bald by then).
But like most catastrophes, it didn't get like that all at once. Instead, it happened one quick fix at a time. Each quick fix — which ignored the pervasive, underlying problem — added up to a swamp-like morass of quicksand that eventually sucked the life out of the project.
« Beware of land mines »
Shallow hacks are the problem — those quick changes that you make under pressure without a deep understanding of the true problem and any possible consequences. It's easy to fall prey to this temptation: the quick fix is a very seductive proposition. With a short enough lens, it looks like it works. But in any longer view, you may as well be walking across a field strewn with land mines. You might make it halfway across — or even more — and everything seems fine. But sooner or later...
As soon as that quick hack goes in, the clarity of the code goes down. Once a number of those pile up, clarity is out the window, and opacity takes over. You've probably worked places where they say, “Whatever you do, don’t touch that module of code. The guy who wrote it is no longer here, and no one knows how it works.” There's no clarity. The code is opaque, and no one can understand it.
You can't possibly be agile with that kind of baggage. But some agile techniques can help prevent this from happening. We'll look at these in more depth in later chapters, but here's a preview.
Isolation is dangerous; don’t let your developers write code in complete isolation (see Practice 40, Practice Collective Ownership, on page 155). If team members take the time to read the code that their colleagues write, they can ensure that it's readable and understandable—and isn’t laced with arbitrary “+1s and -1s”. The more frequently you read the code, the better. These ongoing code reviews not only help make the code understandable but they are also one of the most effective ways of spotting bugs (see Practice 44, Review Code, on page 165).
The other major technique that can help prevent opaque code is unit testing. Unit testing helps you naturally layer the code into manageable pieces, which results in better designed, clearer code. Further into the project, you can go back and read the unit tests — they're a kind of executable documentation (see Practice 19, Put Angels on Your Shoulders, on page 78). Unit tests allow you to look at smaller, more comprehensible modules of code and help you get a thorough understanding by running and working with the code.
Conseil de petit ange : A Don't fall for the quick hack. Invest the energy to keep code clean and out in the open.
What It Feels Like
It feels like the code is well lit; there are no dark corners in the project. You may not know every detail of every piece of code or every step of every algorithm, but you have a good general working knowledge. No code is cordoned off with police tape or “Keep Out” signs.
Keeping Your Balance
- You need to understand how a piece of code works, but you don't necessarily have to become an expert at it. Know enough to work with it effectively, but don't make a career of it.
- If a team member proclaims that a piece of code is too hard for anyone else to understand, then it will be too hard for anyone (including the original author) to maintain. Simplify it.
- Never kludge in a fix without understanding. The +1/-1 syndrome starts innocently enough but rapidly escalates into an opaque mess. Fix the problem, not the symptom.
- Most nontrivial systems are too complex for any one person to understand entirely. You need to have a high-level understanding of most of the parts in order to understand what pieces of the system interact with each other, in addition to a deeper understanding of the particular parts on which you're working.
- If the system has already become an opaque mess, follow the advice given in Practice 4, Damn the Torpedoes, Go Ahead, on page 23.
Andy Says : Understand Process. Too
Although we're talking about understanding code, and especially understanding code well before you make changes to it, the same argument holds for your team’s methodology or development process.
You have to understand the development methodology in use on your team. You have to understand how the methodology in place is supposed to work, why things are the way they are, and how they got that way.
Only with that understanding can you begin to make changes effectively.
Mon point de vue plus détaillé
Voici une version plus personnelle de ma philosophie — ma doctrine d'artisan développeur — à ce sujet. Je précise qu'elle est bien plus longue que ce que j'avais prévu et qu'elle dépasse la question de départ de mon ami… oui, je suis tombé dans un Yak! 🙂.
J'accepte d'utiliser des Quick Fixes — même sans bien comprendre le problème — dans les situations suivantes :
- Dans un Proof of Concept ou un code exploratoire ;
- Dans une application ou un composant d'application destiné à être rapidement abandonné ;
- En cas d'urgence, si le bug impacte les clients. Dans ce cas, j'applique un Quick Fixes en production, puis, je m'efforce, dans un second temps, de comprendre et de corriger correctement le problème par la suite ;
- Si je suis solo développeur sur l'application et que celle-ci n'est pas critique pour le client.
D'après mon expérience, lorsque le développement d'une application est fait en équipe, l'accumulation de Quick Fixes entraîne rapidement :
-
Une perte de contrôle — analogie "des sables mouvants" dans l'article.
-
Un risque de perte de confiance de l'équipe, surtout des nouveaux venus en période de storming : voir le concept sociologique de l'hypothèse de la vitre brisée.
-
Risque de "game over de la partie de Tetris", voir l'article La dette technique est comme une partie de Tetris.
Je tiens à préciser que la solution « On le fera plus tard quand on aura le temps » n'arrive jamais.
En 20 ans d'expérience, j'ai toujours travaillé dans des organisations où l'urgence était la norme. L'urgence permanente est tout ce que j'ai connu. Je pense que cela reflète la nature humaine.
Ainsi, la déclaration « Oui, mais nous, c'est différent, tu comprends, on n'a pas le temps » n'a pas de sens à mes yeux, car c'est le cas pour tout le monde.
Avec le temps, j'ai construit la doctrine suivante pour gérer les Quick Fixes et donc la dette technique en équipes :
- a. Durant toute la vie du projet, accorder entre 20 et 40% du temps — "de l'énergie" — au traitement de la dette technique.
- b. Si une dette jugée critique ne peut pas être traitée durant ce temps imparti, je propose de l'expliquer au Product Management et éventuellement à la direction afin qu'un choix stratégique soit fait pour lui allouer plus de temps en la priorisant comme objectif de Sprint (scrum).
Par expérience, j'observe que si la règle a
est appliquée, alors la situation b
se produit exceptionnellement.
L'itération pour éviter de tomber dans l'overthinking et l'overengineering !
Je pense qu'un certain nombre de leaders de startup créent un climat d'urgence pour éviter que les développeurs tombent dans de l'overthinking et de l'overengineering.
Bien que cette approche soit compréhensible, j'ai personnellement une autre méthode pour éviter ces écueils sans recourir à l'urgence.
Ma solution pour éviter de tomber dans ces travers sont :
- l'itération ;
- le time boxing, autrement dit l'utilisation de spikes ou la définition de l'appétit d'un sprint ;
- sensibiliser les développeurs aux Yak!.
Par itération, j'entends la livraison du plus petit Incrément (Scrum) possible et sa mise en production dès que possible.
Le choix du plus petit incrément possible doit être associé aux principes Keep it simple, stupid! (KISS) et You aren't gonna need it (YAGNI).
L'esprit marathon en meuthe plutôt que des courses de 100m !
Comme le dit la Loi de Gall, je pense que :
Un système complexe qui fonctionne se trouve invariablement avoir évolué depuis un système simple qui fonctionnait. La proposition inverse se révèle également exacte : Un système complexe développé de A à Z ne fonctionne jamais et vous n'arriverez jamais à le faire fonctionner. Vous devez recommencer depuis le début, en commençant par un système simple.
Ici j'entends par "système complexe" à la fois le logiciel et l'organisation humaine.
Je crois également à « New systems mean new problems ».
Depuis des années, j'observe de nombreuses startups en situation d'urgence vivre des cycles sans fin de reboot — une fois par an ou tous les deux ans —, accompagnés d'un turnover élevé.
Les projets sont constamment recommencés à zéro, avec de nouvelles équipes.
Je doute fortement que le pari de la vitesse — la course de 100m — soit plus efficace que celui du marathon.
Attention à bien identifier les projets et phases d'explorations !
Il m'est arrivé à plusieurs reprises de ne pas identifier correctement les signaux faibles indiquant qu'un projet dont j'avais la responsabilité devait en réalité être traité comme un projet d'exploration..
Je pense que les projets d'exploration ne doivent pas être traités comme des courses de 100 mètres, mais plutôt comme des spikes — prototypes.
J'insiste sur l'utilisation du terme Spike pour bien communiquer :
- Aux décideurs — stakeholder — que l'implémentation de ce projet n'est pas destinée à être conservée sur le long terme. Si l'exploration est concluante, le projet sera recommencé à zéro et attribué à une équipe dédiée.
- Aux développeurs qu'ils peuvent échouer, que le code peut contenir des bugs et être développé avec une grande dette technique.
- Aux utilisateurs qu'il est fort probable que l'application contienne des bugs ou que l'User experience ne soit pas optimale.
Ces messages sont souvent difficiles à faire passer, et c'est sans doute pour se protéger que les développeurs choisissent souvent de traiter le projet comme un projet pérenne de long terme plutôt que comme un spike.
De plus, je constate que les décideurs pensent souvent que leur idée est valide et ne jugent pas utile de réaliser des prototypes. Ce n'est souvent qu'après 1 ou 2 ans de vie de la startup que les décideurs considèrent rétrospectivement que les premières versions étaient des prototypes. Problème : ces premières versions n'ont pas été développées comme des prototypes.
Journal du mardi 28 mai 2024 à 11:27
Ce matin #JaiDécouvert le site site perso gwern.net ( #blog ) et je déclare que « #Jadore ce site » !
J'aime le fond, la forme, l'attention aux détails, la rationalisation des décisions… 👌.
Voici quelques exemples de choses que j'apprécie.
Par exemple, sur la page https://gwern.net/about :
a.
Je pense que cela signifie que l'article a été commencé en 2010 et a évolué jusqu'en 2022.b.
Je trouve cela très simple pour indiquer que la page n'est plus en work in progress.
Je me suis souvent demandé comment je pouvais gérer mes notes mutables. Je considère qu'un article daté se doit être autant que possible immutable.
J'aime ces choix UX a
et b
pour indiquer ces informations au lecteur.
c.
J'adore ❤️, ce tag permet d'indiquer le niveau de credence de l'article, c'est une version de marqueur de modestie épistémique.
#JeSouhaite m'inspirer des éléments UX a
, b
et c
pour mon site sklein.xyz.
mention any use of Fermi estimates in Fermi calculations (from)
J'adore 🙂.
J'adore cette UX d'affichage de breadcrumb pour la raison suivante : les breadcrumb sont généralement affichés sur une ligne, ce qui pose souvent un problème pour les longs titres.
Ici l'affichage sur plusieurs lignes règle ce problème et transmet bien l'idée de hiérarchie 👌.
Il y a tant de bonnes choses à dire sur ce site, mais je m'arrête là pour cette note.