
Cliquez sur un ou plusieurs tags pour appliquer un filtre sur la liste des notes de type "Journaux" :
Résultat de la recherche (1654 notes) :
Jeudi 20 février 2025
Workflow de gestion des secrets d'un projet basé sur Age et des clés ssh
De 2018 à 2023, j'utilisais l'outil "pass" (https://www.passwordstore.org/) couplé avec GNU Privacy Guard pour chiffrer et déchiffrer les secrets dans mes projets professionnels.
Bien que cette méthode fonctionnait, elle s'avérait laborieuse.
La procédure documentant l'installation, la création des clés et la configuration de gnupg était l'étape posant le plus de difficultés d'onboarding des développeur sur ces projets.
Au feeling, je dirais que trois développeurs sur quatre bloquaient à cette étape.
En parallèle à cette méthode, j'ai essayé d'utiliser la cli de Bitwarden, mais l'expérience n'a pas été très concluante, principalement à cause de problèmes de latence lors de son exécution.
Aujourd'hui, j'ai exploré une nouvelle méthode basée sur Age et son support natif des clés ssh.
Voici le repository Git du résultat de cette exploration : age-secret-skeleton
.
Le résultat est très positif et je pense avoir trouvé ma nouvelle méthode de chiffrement des secrets dans mes projets 🙂.
Pour en savoir plus, vous pouvez à la fois suivre le README.me du repository et continuer la lecture de cette note.
Détail des fichiers du repository
.
├── .envrc
├── .gitignore
├── .mise.toml
├── README.md
├── scripts
│ ├── decrypt_secrets.sh
│ └── encrypt_secrets.sh
├── .secret
├── .secret.age
├── .secret.skel
└── ssh-keys
└── stephane-klein.pub
/.secret
: fichier qui contient les secrets en clair. Ce fichier est ignoré par.gitignore
afin qu'il ne soit pas présent dans le repository git/.secret.age
: fichier qui contient le contenu du fichier.secret
chiffré avec Age. Ce fichier est ajouté au repository git./ssh-keys/
: ce dossier contient les clés publiques ssh des personnes qui ont accès au contenu de.secret.age
/scripts/decrypt_secrets.sh
: permet de déchiffrer avec Age le contenu de.secret.age
et écrit le résultat en clair dans.secret
/scripts/encrypt_secrets.sh
: permet de chiffrer avec Age le contenu de.secret
vers.secret.age
. Ce script doit être exécuté quand le contenu de.secret
est modifié ou quand une nouvelle clé est ajoutée dans/ssh-keys/
/.envrc
: Dans ce skeleton, ce fichier charge uniquement les variables d'environnement présentes dans.secret
mais dans un vrai projet, il permet de charger automatiquement des variables d'environnement qui ne sont pas des secrets./.secret.skel
: ce fichier contient l'exemple de contenu du fichier.secret
, sans les secrets. Par exemple :
# You can either request these secrets from Stéphane Klein (contact@stephane-klein.info)
# or, if your public ssh key is present in `./ssh-keys/` use the ./scripts/decrypt_secrets.sh command
# which will automatically decrypt the .secret.age file to .secret
export POSTGRES_PASSWORD="..."
export SCW_SECRET_KEY="..."
Ce fichier n'est pas nécessaire au bon fonctionnement du workflow mais je le trouve utile pour :
- documenter le contenu de
.secret
aux personnes qui ont juste accès au dépôt Git - permettre de review les modifications de
.secret.skel
dans des Merge Request.
Utilisation des clés ssh
L'un des avantages majeurs de Age par rapport à pass + gnupg est son support natif des clés SSH pour chiffrer et déchiffrer les secrets.
Ainsi, je n'ai plus besoin de demander aux développeurs deux types de clés (SSH et gnupg) : une seule clé SSH suffit.
De plus, il me semble qu'un grand nombre de développeurs possèdent déjà une clé SSH, alors que je pense que gnupg reste une technologie bien moins répandue.
Détail d'implémentation des scripts
Vvoici le contenu de /scripts/encrypt_secrets.sh
:
#!/usr/bin/env bash
set -e
cd "$(dirname "$0")/../"
# Prepare recipient arguments for age
recipient_args=()
for pubkey in ./ssh-keys/*.pub; do
if [ -f "$pubkey" ]; then
recipient_args+=("-R" "$pubkey")
fi
done
# Execute age with all public keys
age "${recipient_args[@]}" -o .secret.age .secret
La boucle permet de passer toutes les clés ssh du dossier /ssh-keys/*
en paramètre d' Age.
Voici le contenu de /scripts/decrypt_secrets.sh
:
#!/usr/bin/env bash
set -e
cd "$(dirname "$0")/../"
# Prepare identity arguments for age
identity_args=()
for key in ~/.ssh/id_*; do
if [ -f "$key" ] && ! [[ "$key" == *.pub ]]; then
identity_args+=("-i" "$key")
fi
done
# Execute age with all identity files
age -d "${identity_args[@]}" -o .secret .secret.age
cat << EOF
Secret decrypted in .secret
Don't forget to run the command:
$ source .envrc
EOF
La boucle permet de passer en paramètre toutes les clés privées ssh du dossier ~/.ssh/
en espérant en trouver une qui correspond à une clé publique du dossier /ssh-keys/
.
Plusieurs niveaux de sécurisation
Si je veux cloisonner les secrets en limitant leur accès à des groupes d'utilisateurs distincts, je peux utiliser des secrets différents selon l'environnement.
Par exemple :
.
├── production
│ ├── .secret.age
│ └── ssh-keys
└── sandbox
├── .secret.age
└── ssh-keys
Cette structure me permet de donner à certains utilisateurs accès aux secrets de l'environnement sandbox
, sans leur donner accès à ceux de production
.
Aller plus loin avec par exemple Vault ?
Je pense qu'il est possible d'aller plus loin en matière de sécurité avec des solutions comme Vault, mais trouve que la méthode basée sur Age reste plus simple à déployer dans une petite équipe.
Jeudi 13 février 2025
Journal du jeudi 13 février 2025 à 14:50
Suite à ce commentaire et celui-ci, je m'adresse dans cette note à Anarcat (francophone) et Martín Marqués pour expliquer ce que j'essaie de faire dans le POC https://github.com/stephane-klein/poc-barman, ce que j'ai réussi à faire et présenter aussi mes difficultés.
J'ai traduit cette note en anglais et je l'ai postée sur "GitHub Barman discussion" : https://github.com/EnterpriseDB/barman/discussions/1067.
Mon objectif dans le repository poc-barman
est d'essayer d'utiliser barman dans un container Docker sidecar pour sauvegarder un container PostgreSQL.
Une de mes contraintes est d'effectuer un minimum de changements au niveau du container PostgreSQL que je souhaite sauvegarder. Je souhaite pouvoir utiliser une image Docker PostgreSQL mainstream https://hub.docker.com/_/postgres, sans changement.
Je souhaite utiliser le mode de sauvegarde de barman nommé streaming backups method
: backup_method = postgres
qui se base sur la commande pg_basebackup
(commande officielle intégrée à PostgreSQL).
Je souhaite utiliser la nouvelle fonctionnalité pg_basebackup --incremental...
de la version 17 de PostgreSQL.
Voici ma configuration de barman : https://github.com/stephane-klein/poc-barman/blob/4df58ecc5af6d2d1f7607c364400f8c5ba012496/docker-compose.yml#L15
Et voici ma configuration de PostgreSQL 17 :
- https://github.com/stephane-klein/poc-barman/blob/4df58ecc5af6d2d1f7607c364400f8c5ba012496/docker-compose.yml#L15
- et https://github.com/stephane-klein/poc-barman/blob/4df58ecc5af6d2d1f7607c364400f8c5ba012496/init-barman.sh#L1
J'ai implémenté un script nommé ./scripts/reset.sh
qui effectue un test de bout automatiquement.
Voici son screencast :
Voici ce qu'il fait :
- Il coupe tous les containers et efface les volumes
- Il lance les containers
postgres1
etbarman
et injecte quelques données danspostgres1
- Il initialise
barman
- Il effectue une sauvegarde complète de
postgres1
- Il restaure la sauvegarde vers
postgres2
et lancepostgres2
et affiche les données de la tabledummy
- Il effectue une sauvegarde incrémentielle après avoir injecté quelques nouvelles données dans
postgres1
- Il restaure la sauvegarde de
postgres1
en utilisantpg_combinebackup
verspostgres2
préalablement coupé et effacé - Ici j'ai un échec au lancement de
postgres2
basé sur la restauration de la sauvegarde incrémentielle
Questions que je me pose :
- Pourquoi la restauration basée sur la sauvegarde incrémentielle échoue ?
- Est-ce que mon scénario de test d'usage de barman est correct, est-ce qu'il me manque des étapes ou est-ce que je fais des opérations non nécessaires ?
- Est-ce que j'ai fait des erreurs importantes ?
Voici ci-dessous la version anglaise posté ici.
Subject: Streaming Incremental Backup Configuration with PostgreSQL 17 using Docker Sidecar
Hello,
In the poc-barman
repository, I'm trying to use barman in a Docker sidecar container to backup a PostgreSQL container.
One of my constraints is to make minimal changes to the PostgreSQL container that I want to backup. I want to be able to use a mainstream Docker PostgreSQL image https://hub.docker.com/_/postgres, without modifications.
I want to use the barman backup mode called streaming backups method
: backup_method = postgres
which is based on the pg_basebackup
command (official command integrated into PostgreSQL).
I want to use the new pg_basebackup --incremental...
feature from PostgreSQL version 17.
Here is my barman configuration: https://github.com/stephane-klein/poc-barman/blob/4df58ecc5af6d2d1f7607c364400f8c5ba012496/docker-compose.yml#L15
And here is my PostgreSQL 17 configuration:
- https://github.com/stephane-klein/poc-barman/blob/4df58ecc5af6d2d1f7607c364400f8c5ba012496/docker-compose.yml#L15
- and https://github.com/stephane-klein/poc-barman/blob/4df58ecc5af6d2d1f7607c364400f8c5ba012496/init-barman.sh#L1
I implemented a script called ./scripts/reset.sh
that performs an end-to-end test automatically.
Here's its screencast:
Here's what it does:
- It stops all containers and erases the volumes
- It starts the
postgres1
andbarman
containers and injects some data intopostgres1
- It initializes
barman
- It performs a full backup of
postgres1
- It restores the backup to
postgres2
, startspostgres2
, and displays the data from thedummy
table - It performs an incremental backup after injecting some new data into
postgres1
- It restores
postgres1
backup usingpg_combinebackup
topostgres2
which was previously stopped and erased - Here I have a failure when starting
postgres2
based on the incremental backup restoration
Questions:
- Why does the restoration based on the incremental backup fail?
- Is my barman usage test scenario correct, am I missing steps or am I performing unnecessary operations?
- Have I made any significant mistakes?
Best regards,
Stephane
Journal du jeudi 13 février 2025 à 14:09
Suite de mes notes 2025-02-09_1705, 2025-02-12_1044, 2025-02-12_1511, 2025-02-12_1534 et 2025-02-12_2305 au sujet de barman pour sauvegarder des bases de données PostgreSQL
Je ne sais pas pourquoi je dois lancer
select pg_switch_wal();
.
J'ai découvert dans ce commentaire qu'il existe une commande nommée : barman switch-wal
.
Je pense avoir compris qu'avant d'exécuter barman backup…
il est nécessaire d'exécuter :
$ barman switch-wal
$ barman cron
$ barman check postgres1
Server postgres1:
PostgreSQL: OK
superuser or standard user with backup privileges: OK
PostgreSQL streaming: OK
wal_level: OK
replication slot: OK
directories: OK
retention policy settings: OK
backup maximum age: OK (no last_backup_maximum_age provided)
backup minimum size: OK (0 B)
wal maximum age: OK (no last_wal_maximum_age provided)
wal size: OK (0 B)
compression settings: OK
failed backups: OK (there are 0 failed backups)
minimum redundancy requirements: OK (have 0 backups, expected at least 0)
pg_basebackup: OK
pg_basebackup compatible: OK
pg_basebackup supports tablespaces mapping: OK
systemid coherence: OK (no system Id stored on disk)
pg_receivexlog: OK
pg_receivexlog compatible: OK
receive-wal running: OK
archiver errors: OK
$ barman backup postgres1 --immediate-checkpoint
Starting backup using postgres method for server postgres1 in /var/lib/barman/postgres1/base/20250213T100353
Backup start at LSN: 0/4000000 (000000010000000000000004, 00000000)
Starting backup copy via pg_basebackup for 20250213T100353
Copy done (time: 1 second)
Finalising the backup.
This is the first backup for server postgres1
WAL segments preceding the current backup have been found:
000000010000000000000002 from server postgres1 has been removed
Backup size: 22.3 MiB
Backup end at LSN: 0/6000000 (000000010000000000000006, 00000000)
Backup completed (start time: 2025-02-13 10:03:53.072228, elapsed time: 1 second)
Processing xlog segments from streaming for postgres1
000000010000000000000003
000000010000000000000004
WARNING: IMPORTANT: this backup is classified as WAITING_FOR_WALS, meaning that Barman has not received yet all the required WAL files for the backup consistency.
This is a common behaviour in concurrent backup scenarios, and Barman automatically set the backup as DONE once all the required WAL files have been archived.
Hint: execute the backup command with '--wait'
total 4.0K
$ ls /var/lib/barman/postgres1/base/ -lha
total 8.0K
drwxr-xr-x 1 barman barman 60 Feb 13 10:00 .
drwxr-xr-x 1 barman barman 88 Feb 13 09:59 ..
drwxr-xr-x 1 barman barman 30 Feb 13 09:59 20250213T095917
$ barman list-backups postgres1
postgres1 20250213T103723 - F - Thu Feb 13 10:37:24 2025 - Size: 22.3 MiB - WAL Size: 0 B - WAITING_FOR_WALS
J'ai réussi dans le POC https://github.com/stephane-klein/poc-barman à dérouler toutes les étapes du backup complet jusqu'à la restauration d'une base de données.
Toutefois, pour le moment, je n'ai toujours pas réussi à restaurer un backup incrémental 🙁.
À cet endroit, j'ai l'erreur suivante :
$ docker compose up postgres2
postgres2-1 | PostgreSQL Database directory appears to contain a database; Skipping initialization
postgres2-1 |
postgres2-1 | 2025-02-13 13:20:07.594 UTC [1] LOG: starting PostgreSQL 17.2 (Debian 17.2-1.pgdg120+1) on x86_64-pc-linux-gnu, compiled by gcc (Debian 12.2.0-14) 12.2.0, 64-bit
postgres2-1 | 2025-02-13 13:20:07.594 UTC [1] LOG: listening on IPv4 address "0.0.0.0", port 5432
postgres2-1 | 2025-02-13 13:20:07.594 UTC [1] LOG: listening on IPv6 address "::", port 5432
postgres2-1 | 2025-02-13 13:20:07.596 UTC [1] LOG: listening on Unix socket "/var/run/postgresql/.s.PGSQL.5432"
postgres2-1 | 2025-02-13 13:20:07.598 UTC [1] LOG: could not open directory "pg_tblspc": No such file or directory
postgres2-1 | 2025-02-13 13:20:07.600 UTC [29] LOG: database system was interrupted; last known up at 2025-02-13 13:20:03 UTC
postgres2-1 | 2025-02-13 13:20:07.643 UTC [29] LOG: could not open directory "pg_tblspc": No such file or directory
postgres2-1 | 2025-02-13 13:20:07.643 UTC [29] LOG: starting backup recovery with redo LSN 0/8000028, checkpoint LSN 0/8000080, on timeline ID 1
postgres2-1 | 2025-02-13 13:20:07.643 UTC [29] LOG: could not open directory "pg_tblspc": No such file or directory
postgres2-1 | 2025-02-13 13:20:07.649 UTC [29] FATAL: could not open directory "pg_tblspc": No such file or directory
postgres2-1 | 2025-02-13 13:20:07.651 UTC [1] LOG: startup process (PID 29) exited with exit code 1
postgres2-1 | 2025-02-13 13:20:07.651 UTC [1] LOG: aborting startup due to startup process failure
postgres2-1 | 2025-02-13 13:20:07.652 UTC [1] LOG: database system is shut down
Mercredi 12 février 2025
Journal du mercredi 12 février 2025 à 23:05
Suite de ma note 2025-02-12_1511.
J'ai passé 5h40 sur un POC de barman, mais je n'ai pas eu beaucoup plus de succès qu'avec pgBackRest. Décidément, ces outils ne m'aiment pas 😔.
Repository du POC : https://github.com/stephane-klein/poc-barman
La commande barman check streaming-server
retourne le message WAL archive: FAILED (please make sure WAL shipping is setup)
. Pour fixer cette erreur, je dois faire les manipulations suivantes que je trouve bizarre :
$ ./scripts/enter-in-pg1.sh
postgres=# select pg_switch_wal();
pg_switch_wal
---------------
0/206A330
(1 row)
et ensuite :
$ docker compose exec barman bash
root@5482aa5f8420:/# su barman
barman@5482aa5f8420:/$ barman cron
Starting WAL archiving for server streaming-server
barman@5482aa5f8420:/$ barman check streaming-server
Server streaming-server:
PostgreSQL: OK
superuser or standard user with backup privileges: OK
PostgreSQL streaming: OK
wal_level: OK
replication slot: OK
directories: OK
retention policy settings: OK
backup maximum age: OK (no last_backup_maximum_age provided)
backup minimum size: OK (0 B)
wal maximum age: OK (no last_wal_maximum_age provided)
wal size: OK (0 B)
compression settings: OK
failed backups: OK (there are 0 failed backups)
minimum redundancy requirements: OK (have 0 backups, expected at least 0)
pg_basebackup: OK
pg_basebackup compatible: OK
pg_basebackup supports tablespaces mapping: OK
systemid coherence: OK (no system Id stored on disk)
pg_receivexlog: OK
pg_receivexlog compatible: OK
receive-wal running: OK
archiver errors: OK
Je ne sais pas pourquoi je dois lancer select pg_switch_wal();
.
J'ai pourtant configuré checkpoint_timeout='60s'
:
command: >
postgres
-c wal_level=replica
-c summarize_wal=on
-c checkpoint_timeout='60s'
-c max_wal_size='100MB'
Je pensais que ce paramètre effectuait la même action que pg_switch_wal();
mais je constate que non.
Aussi, je constate que je dois aussi lancer pg_switch_wal();
pour que la commande suivante se termine :
barman@5482aa5f8420:/$ barman backup streaming-server --wait
Starting backup using postgres method for server streaming-server in /var/lib/barman/streaming-server/base/20250212T221703
Backup start at LSN: 0/5000B40 (000000010000000000000005, 00000B40)
Starting backup copy via pg_basebackup for 20250212T221703
Copy done (time: 1 second)
Finalising the backup.
Backup size: 22.3 MiB
Backup end at LSN: 0/7000000 (000000010000000000000007, 00000000)
Backup completed (start time: 2025-02-12 22:17:03.190492, elapsed time: 1 second)
Waiting for the WAL file 000000010000000000000007 from server 'streaming-server'
Processing xlog segments from streaming for streaming-server
000000010000000000000005
Processing xlog segments from streaming for streaming-server
000000010000000000000006
Je ne comprends pas non plus pourquoi.
Journal du mercredi 12 février 2025 à 15:53
Jusqu'à aujourd'hui, j'utilise la commande sleep infinity
pour garder en "vie" un container Docker qui n'exécute aucun service.
Exemple de docker-compose.yml
:
services:
ubuntu:
image: ubuntu
command: sleep infinity
Ce qui me permet d'entrer dans le container après son lancement en background :
$ docker compose up -d ubuntu
$ docker compose exec ubuntu bash
root@357466c4b52c:/# ls
bin boot dev etc home lib lib64 media mnt opt proc root run sbin srv sys tmp usr var
Aujourd'hui, j'ai découvert via Copilot une alternative préférable à sleep infinity
:
services:
ubuntu:
image: ubuntu
command: tail -f /dev/null
Cela fonctionne de la même manière, mais semble avoir l'avantage de ne pas dépendre de la dépendance sleep
🤔.
Journal du mercredi 12 février 2025 à 15:11
Je pense comprendre que pgBackRest ne permet pas d'utiliser des INET sockets pour communiquer avec PostgreSQL.
Toutefois, je me dis que je pourrais partager le volume
PGDATA
avec le sidecar pgBackRest pour lui donner accès à l'Unix Socket du Streaming Replication Protocol 🤔.
Je viens de me rappeler que pgBackRest a une seconde contrainte qui semble l'empêcher de fonctionner en Docker sidecar :
Backing up a running PostgreSQL cluster requires WAL archiving to be enabled. Note that at least one WAL segment will be created during the backup process even if no explicit writes are made to the cluster.
pg-primary:/etc/postgresql/15/demo/postgresql.conf
⇒ Configure archive settings :archive_command = 'pgbackrest --stanza=demo archive-push %p' archive_mode = on max_wal_senders = 3 wal_level = replica
Cela signifie que l'exécutable pgbackrest
doit être installé dans l'image Docker PostgreSQL.
Cela me pose un problème parce que mon objectif est de pouvoir utiliser un système de sauvegarde en Docker sidecar sans avoir à utiliser une image Docker PostgreSQL modifiée.
Cette contrainte ne semble pas présente avec barman qui propose 3 méthodes de backup :
La méthode postgres
utilise pg_basebackup et je pense qu'elle peut fonctionner en Docker sidecar.
#JaiDécidé d'explorer cette piste.
Journal du mercredi 12 février 2025 à 11:41
En rédigeant la note 2025-02-12_1044, je me suis demandé quelle est la différence de performance entre un Unix Socket et un INET socket.
Durant mes recherches, j'ai découvert qu'Unix Socket est plus rapide que INET sockets. Je n'ai pas été surpris, j'avais cette intuition.
Toutefois, j'ai été surpris d'apprendre que le gain est non négligeable, de 30% à 50% de gains !
Exemple :
On my machine, Ryzen 3900X, Ubuntu 22,
A basic C++ TCP server app that only sends 64K packets, and a basic c++ receiver that pulls 100GB of these packets and copies them to it's internal buffer only, single-threaded:
- achieves
~30-33 GBit/sec
for TCP connection (~4.0GB/sec
) (not MBit)- and
~55-58GBit/sec
for a socket connection, (~7.3 GB/sec
)- and
~492Gbit/sec
for in-process memcopy (~61GB /sec
)
Conséquence : je vais essayer d'utiliser des Unix sockets autant que je peux.
Journal du mercredi 12 février 2025 à 11:37
#JaiDécouvert le site Linux Performance de Brendan Gregg.
Journal du mercredi 12 février 2025 à 10:44
En travaillant sur le projet Projet 23 - "Ajouter le support pg_basebackup incremental à restic-pg_dump-docker", j'ai découvert que PostgreSQL propose deux protocoles de communication :
- Le premier est le plus connu "Frontend/Backend Protocol". C'est celui qui est utilisé par la commande
psql
ou les librairies telles que Postgres.js (en NodeJS), Psycopg (en Python)… - Le second nommé "Streaming Replication Protocol"
Sans vraiment comprendre, en 2020, j'avais activé le protocole streaming replication dans ce POC postgresql-streaming-replication-playground
. Mais je n'avais jamais pris conscience de l'existence de ce second protocole.
Les développeurs de PostgreSQL semblent avoir décidé de créer un second protocole parce qu'ils n'ont pas du tout le même objectif.
Streaming Replication Protocol est optimisé dans la transmission des WAL et des snapshots (copie de l'intégralité du dossier PGDATA
).
Le protocole Streaming Replication Protocol est entre autres utilisé par pg_basebackup, barman, pgBackRest, ou Patroni.
Comment activer Streaming Replication Protocol ?
Les images Docker Postgres setup par défaut le fichier pg_hba.conf suivant :
# TYPE DATABASE USER ADDRESS METHOD
# "local" is for Unix domain socket connections only
local all all trust
# IPv4 local connections:
host all all 127.0.0.1/32 trust
# IPv6 local connections:
host all all ::1/128 trust
# Allow replication connections from localhost, by a user with the
# replication privilege.
local replication all trust
host replication all 127.0.0.1/32 trust
host replication all ::1/128 trust
host all all all scram-sha-256
J'ai compris que par défaut, toutes ces lignes configurent l'accès au Frontend/Backend Protocol.
Seules les lignes qui contiennent replication
configurent l'accès au Streaming Replication Protocol.
Pour permettre l'accès au Streaming Replication Protocol par réseau TCP/IP en dehors du container Docker il est nécessaire d'ajouter la ligne suivante :
host replication all all scram-sha-256
Suite à cette découverte, j'ai repensé à :
Pour faire face à ce problème, j'ai exploré fin 2023 une solution basée sur pgBackRest : Implémenter un POC de pgBackRest.
Je suis plus ou moins arrivé au bout de ce POC mais je n'ai pas été satisfait du résultat.
Je n'ai pas réussi à configurer pgBackRest en "pure Docker sidecar".
De plus, j'ai trouvé la restauration du backup difficile à exécuter.
et je me suis demandé si mon échec de configuration de pgBackRest en Docker sidecar n'était pas seulement dû au fait que je n'avais pas activé Streaming Replication Protocol 🤔.
La réponse semble être "oui" et "non".
Je suis tombé sur l'issue suivante : pgbackrest with postgresql in docker.
The problem might be harder than you think unfortunately. If the pgBackRest process is running on the VM (docker host), it will try to connect to PG locally using the unix socket, not the tcp "localhost" connection.
Je pense comprendre que pgBackRest ne permet pas d'utiliser des INET sockets pour communiquer avec PostgreSQL.
Toutefois, je me dis que je pourrais partager le volume PGDATA
avec le sidecar pgBackRest pour lui donner accès à l'Unix Socket du Streaming Replication Protocol 🤔.
Entre mon exploration de pg_basebackup, mes envies de tester barman et de continuer mon POC pgBackRest… je me dis que je ne suis pas encore au bout de ce Yak!.
Mardi 11 février 2025
Journal du mardi 11 février 2025 à 16:18
Suite de mes notes 2025-02-03_1718 et 2025-02-04_1136 au sujet des régimes de TVA.
Cette après-midi, j'ai envoyé le message suivant à mon centre des impôts :
Bonjour,
J'ai bien noté de votre réponse suivante lors de notre dernier échange par message :
Je vous remercie d’envoyer une lettre d’option à la TVA datée et signée en spécifiant le régime demandé.
J'ai trouvé un modèle de lettre que je n'ai pas encore totalement rempli :
Avant de faire mon choix, j'ai quelques questions :
- a. En régime réel simplifié de TVA, comment est calculé le montant de l'acompte ? J'ai lu qu'il est basé sur le chiffre d'affaires N-1, mais est-ce qu'il est possible de modifier le montant de cet acompte si je sais déjà que mon chiffre d'affaires sera en baisse ou en hausse ?
- b. Pouvez-vous me confirmer que ma déclaration devrait se faire sur la page web indiquée dans le screenshot en pièce jointe ?
- c. Est-ce que la déclaration doit s'effectuer en fonction de la date d'émission de la facture ou alors de sa date d'encaissement ?
Cordialement, Stéphane Klein
Fort de l'expérience tirée de mon précédent message, j'ai décidé d'appeler le centre des impôts pour obtenir des réponses à mes questions.
Ce fut une excellente décision : voici les réponses que j'ai acquises à l'oral.
- a. En régime réel simplifié de TVA, comment est calculé le montant de l'acompte ? J'ai lu qu'il est basé sur le chiffre d'affaires N-1, mais est-ce qu'il est possible de modifier le montant de cet acompte si je sais déjà que mon chiffre d'affaires sera en baisse ou en hausse ?
Réponse :
Oui, il est possible de modifier manuellement le montant de l'acompte. Toutefois, en déclarant un acompte inférieur à celui basé sur le chiffre d'affaires de l'année N-1, l'administration fiscale tolère une marge d'erreur de 10 % par rapport au chiffre d'affaires de l'année N.
Prenons l'exemple d'une entreprise en régime réel simplifié de TVA.
- En N-1, son chiffre d'affaires était de 100 000 €.
- Le montant des acomptes de TVA est donc calculé sur cette base.
L'entreprise prévoit une baisse d'activité en N et estime son chiffre d'affaires à 85 000 €. Elle souhaite ajuster son acompte en conséquence.
Tolérance de 10 % sur le chiffre d'affaires N : Si, en fin d'année N, le chiffre d'affaires réel est finalement de 90 000 €, alors l'acompte déclaré (basé sur 85 000 €) reste dans la marge d'erreur de 10 % et ne posera pas de problème fiscal.
En revanche, si le chiffre d'affaires réel s'avère être de 95 000 € ou plus, alors l'acompte a été sous-estimé au-delà de la tolérance, ce qui pourrait entraîner un redressement ou des pénalités.
Pouvez-vous me confirmer que ma déclaration devrait se faire sur la page web indiquée dans le screenshot en pièce jointe ?
La réponse est non.
c. Est-ce que la déclaration doit s'effectuer en fonction de la date d'émission de la facture ou alors de sa date d'encaissement ?
Pour une activité de prestation de services, la TVA est déclarée sur la base de la date d’encaissement de la facture, et non de sa date d’émission.
Information supplémentaire que j'ai reçue.
Le seuil de franchise en base de TVA de 34 400 € en prestations de services est calculé sur la base d'une année civile. Concernant ma micro-entreprise, j'ai encaissé moins de 34 400 € au 31 décembre 2024. Par conséquent, je n'étais pas obligé de quitter le régime de franchise en base de TVA. Toutefois, j'ai facturé de la TVA dans ma 4ᵉ facture de 2024, par conséquent, je dois la déclarer, quoi qu'il arrive.
Suite à ces réponses, j'ai décidé d'opter pour l'option "Régime réel simplifié d'imposition à la TVA". Je vais envoyer un courrier (template) pour faire cette demande.
Dimanche 9 février 2025
Journal du dimanche 09 février 2025 à 17:05
J'utilise depuis 2019 les containers Docker suivant en sidecar pour sauvegarder automatiquement et régulièrement directement un volume Docker et un volume PostgreSQL :
restic-pg_dump-docker est très pratique et facile d'usage, voici un exemple d'utilisation dans un docker-compose.yml
:
restic-pg-dump:
image: stephaneklein/restic-pg_dump:latest
environment:
AWS_ACCESS_KEY_ID: "admin"
AWS_SECRET_ACCESS_KEY: "password"
RESTIC_REPOSITORY: "s3:http://minio:9000/bucket1"
RESTIC_PASSWORD: secret
POSTGRES_USER: postgres
POSTGRES_PASSWORD: password
POSTGRES_HOST: postgres
POSTGRES_DB: postgres
postgres:
image: postgres:16.1
environment:
POSTGRES_USER: postgres
POSTGRES_DB: postgres
POSTGRES_PASSWORD: password
ports:
- "5432:5432"
volumes:
- ./volumes/postgres/:/var/lib/postgresql/data/
healthcheck:
test: ["CMD", "sh", "-c", "pg_isready -U $$POSTGRES_USER -h $$(hostname -i)"]
interval: 10s
start_period: 30s
Il suffit de configurer les paramètres d'accès à l'instance PostgreSQL à sauvegarder et ceux de l'Object Storage où uploader les backups. Rien de plus, 😉.
Pour plus de paramètres, voir la section Configuration du README.md.
Cependant, je ne suis pas totalement satisfait de restic-pg_dump-docker. Cet outil effectue seulement des sauvegardes complètes de la base de données.
Ceci ne pose généralement pas trop de problème quand la base de données est d'une taille modeste, mais c'est bien plus compliqué dès que celle-ci fait, par exemple, plusieurs centaines de mégas.
Pour faire face à ce problème, j'ai exploré fin 2023 une solution basée sur pgBackRest : Implémenter un POC de pgBackRest.
Je suis plus ou moins arrivé au bout de ce POC mais je n'ai pas été satisfait du résultat.
Je n'ai pas réussi à configurer pgBackRest en "pure Docker sidecar".
De plus, j'ai trouvé la restauration du backup difficile à exécuter.
Un élément a changé depuis septembre 2024. Comme je le disais dans cette note 2024-11-03_1151, la version 17 de PostgreSQL propose de nouvelles options de sauvegarde :
- l'outil pg_basebackup qui permet de réaliser les sauvegardes incrémentales,
- et un nouvel utilitaire, pg_combinebackup, qui permet de reconstituer une sauvegarde complète à partir de sauvegardes incrémentales.
Cette nouvelle méthode semble apporter certains avantages par rapport aux solutions basées sur WAL comme pgBackRest ou barman.
Une consommation d'espace réduite :
In this mailing list thread on the Postgres-hackers mailing list, Jakub from EDB ran a test. This is a pgbench test. The idea is that the data size doesn't really change much throughout this test. This is a 24 hour long test. At the start the database is 3.3GB. At the end, the database is 4.3GB. Then, as it's running, it's continuously running pgbench workloads. In those 24 hours, if you looked at the WAL archive, there were 77 GB of WAL produced.
That's a lot of WAL to replay if you wanted to restore to a particular point in time within that timeframe!
Jakub ran one full backup in the beginning and then incremental backups every two hours. The full backup in the beginning is 3.4 GB, but then all the 11 other backups are 3.5 in total, they're essentially one 10th of a full backup size.
Une vitesse de restauration grandement accélérée :
A 10x time safe
What Jakub tested then was the restore to a particular point in time. Previously, to restore to a particular point in time would take more than an hour to replay the WAL versus in this case because we have more frequent, incremental backups, it's going to be much, much faster to restore. In this particular test case 78 minutes compared to 4 minutes. This is a more than a 10 times improvement in recovery time. Of course you won't necessarily always see this amount of benefit, but I think this shows why you might want to do this. It is because you want to enable more frequent backups and incremental backups are the way to do that.
Nombre 2024 j'ai passé un peu de temps à étudier les solutions de backup qui utilisent la nouvelle fonctionnalité de PostgreSQL 17, mais je n'avais rien trouvé
Je viens à nouveau de chercher dans les archives de Postgre Weely, sur GitHub, sur le forum de Restic, etc., et je n'ai rien trouvé d'intéressant.
#JaiDécidé de prendre les choses en main et de faire évoluer le projet restic-pg_dump-docker pour y ajouter le support du backup incrémental de PostgreSQL 17.
Voir : Projet 23 - "Ajouter le support pg_basebackup incremental à restic-pg_dump-docker".
Vendredi 7 février 2025
Journal du vendredi 07 février 2025 à 16:12
Exemples d'outils qui suivent de modèle Orchestration Push Mode :
Exemples d'outils qui suivent le modèle Orchestration Pull Mode :
Journal du vendredi 07 février 2025 à 14:03
Pendant l'année 2014, Athoune m'a fait découvrir les concepts DevOps "Baking" et "Frying".
Je le remercie, car ce sont des concepts que je considère très importants pour comprendre les différents paradigmes de déploiement.
Je n'ai aucune idée dans quelles conditions il avait découvert ces concepts. J'ai essayé de faire des recherches limitées à l'année 2014 et je suis tombé sur cette photo :
J'en déduis que cela devait être un sujet à la méthode dans l'écosystème DevOps de 2014.
Cet ami me l'avait très bien expliqué avec une analogie du type :
« Le baking en DevOps, c’est comme dans un restaurant où les plats sont préparés en cuisine et ensuite apportés tout prêt salle à la table du client. Le frying, c’est comme si le plat était préparé directement en salle sur la table du client. »
Bien que cette analogie ne soit pas totalement rigoureuse, elle m'a bien permis de saisir, en 2014, le paradigme Docker qui consiste à préparer des images de container en amont. Ce paradigme permet d'installer, de configurer ces images "en cuisine", donc pas sur les serveurs de production, "de goûter les plats" et de les envoyer ensuite de manière prédictible sur le serveur de production.
Ces images peuvent être construites soit sur la workstation du développeur ou mieux, sur des serveurs dédiés à cette fonction, comme Gitlab-Runner…
Définitions proposées par LLaMa :
Baking (ou "Image Baking") : Il s'agit de créer une image de serveur prête à l'emploi, avec tous les logiciels et les configurations nécessaires déjà installés et configurés. Cette image est ensuite utilisée pour déployer de nouveaux serveurs, qui seront ainsi identiques et prêts à fonctionner immédiatement. L'avantage de cette approche est qu'elle permet de réduire le temps de déploiement et d'assurer la cohérence des environnements.
Frying (ou "Server Frying") : Il s'agit de déployer un serveur "nu" et de le configurer et de l'installer à la volée, en utilisant des outils d'automatisation tels que Ansible, Puppet ou Chef. Cette approche permet de personnaliser la configuration de chaque serveur en fonction des besoins spécifiques de l'application ou du service.
Exemple :
Cas d'usage Baking Frying Docker Construire une image complète ( docker build
) et la stocker dans un registreLancer un conteneur minimal et installer les dépendances au démarrage. Machines virtuelles (VMs) Créer une image VM avec Packer et la déployer telle quelle Démarrer une VM de base et appliquer un script d’installation à la volée CI/CD Compiler et packager une application en image prête à être déployée Construire l’application à chaque déploiement sur la machine cible
En 2014, lorsque le concept de baking m’a été présenté, j’ai immédiatement été enthousiasmé, car il répondait à trois problèmes que je cherchais à résoudre :
- Réduire les risques d’échec d’une installation sur le serveur de production
- Limiter la durée de l’indisponibilité (pendant la phase d’installation)
- Éviter d'augmenter la charge du serveur durant les opérations de build lors de l’installation
Depuis, j'évite au maximum le frying et j'ai intégré le baking dans ma doctrine d'artisan développeur.
Comment tu déploies tes containers Docker en production sans Kubernetes ?
Début novembre un ami me posait la question :
Quand tu déploies des conteneurs en prod, sans k8s, tu fais comment ?
Après 3 mois d'attente, voici ma réponse 🙂.
Mon contexte
Tout d'abord, un peu de contexte. Cela fait 25 ans que je travaille sur des projets web, et tous les projets sur lesquels j'ai travaillé pouvaient être hébergés sur un seul et unique serveur baremetal ou une Virtual machine, sans jamais nécessiter de scalabilité horizontale.
Je n'ai jamais eu besoin de serveurs avec plus de 96Go de RAM pour faire tourner un service en production. Il convient de noter que, dans 80% des cas, 8 Go ou 16 Go étaient largement suffisants.
Cela dit, j'ai également eu à gérer des infrastructures comportant plusieurs serveurs : 10, 20, 30 serveurs. Ces serveurs étaient généralement utilisés pour héberger une infrastructure de soutien (Platform infrastructure) à destination des développeurs. Par exemple :
- Environnements de recettage
- Serveurs pour faire tourner Gitlab-Runner
- Sauvegarde des données
- Etc.
Ce contexte montre que je n'ai jamais eu à gérer le déploiement de services à très forte charge, comme ceux que l'on trouve sur des plateformes telles que Deezer, le site des impôts, Radio France, Meetic, la Fnac, Cdiscount, France Travail, Blablacar, ou encore Doctolib. La méthode que je décris dans cette note ne concerne pas ce type d'infrastructure.
Ma méthode depuis 2015
Dans cette note, je ne vais pas retracer l'évolution complète de mes méthodes de déploiement, mais plutôt me concentrer sur deux d'entre elles : l'une que j'utilise depuis 2015, et une déclinaison adoptée en 2020.
Voici les principes que j'essaie de suivre et qui constituent le socle de ma doctrine en matière de déploiement de services :
- Je m'efforce de suivre le modèle Baking autant que possible (voir ma note 2025-02-07_1403), sans en faire une approche dogmatique ou extrémiste.
- J'applique les principes de The Twelve-Factors App.
- Je privilégie le paradigme Remote Task Execution, ce qui me permet d'adopter une approche GitOps.
- J'utilise des outils d'orchestration prenant en charge le mode push (voir note 2025-02-07_1612), comme Ansible, et j'évite le mode pull.
En pratique, j'utilise Ansible pour déployer un fichier docker-compose.yml sur le serveur de production et ensuite lancer les services.
Je précise que cette note ne traite pas de la préparation préalable du serveur, de l'installation de Docker, ni d'autres aspects similaires. Afin de ne pas alourdir davantage cette note, je n'aborde pas non plus les questions de Continuous Integration ou de Continuous Delivery.
Imaginons que je souhaite déployer le lecteur RSS Miniflux connecté à un serveur PostgreSQL.
Voici les opérations effectuées par le rôle Ansible à distance sur le serveur de production :
-
- Création d'un dossier
/srv/miniflux/
- Création d'un dossier
-
- Upload de
/srv/miniflux/docker-compose.yml
avec le contenu suivant :
- Upload de
services:
postgres:
image: postgres:17
restart: unless-stopped
environment:
POSTGRES_DB: miniflux
POSTGRES_USER: miniflux
POSTGRES_PASSWORD: password
volumes:
- postgres:/var/lib/postgresql/data/
healthcheck:
test: ['CMD', 'pg_isready']
interval: 10s
start_period: 30s
miniflux:
image: miniflux/miniflux:2.2.5
ports:
- 8080:8080
environment:
DATABASE_URL: postgres://miniflux:password@postgres/miniflux?sslmode=disable
RUN_MIGRATIONS: 1
CREATE_ADMIN: 1
ADMIN_USERNAME: johndoe
ADMIN_PASSWORD: secret
healthcheck:
test: ["CMD", "/usr/bin/miniflux", "-healthcheck", "auto"]
depends_on:
postgres:
condition: service_healthy
volumes:
postgres:
name: miniflux_postgres
-
- Depuis le dossier
/srv/miniflux/
lancement de la commandedocker compose up -d --remove-orphans --wait --pull always
- Depuis le dossier
Voilà, c'est tout 🙂.
En 2020, j'enlève "une couche"
J'aime enlever des couches et en 2020, je me suis demandé si je pouvais pratiquer avec élégance la méthode Remote Execution sans Ansible.
Mon objectif était d'utiliser seulement ssh et un soupçon de Bash.
Voici le résultat de mes expérimentations.
J'ai besoin de deux fichiers.
_payload_deploy_miniflux.sh
deploy_miniflux.sh
Voici le contenu de _payload_deploy_miniflux.sh
:
#!/usr/bin/env bash
set -e
PROJECT_FOLDER="/srv/miniflux/"
mkdir -p ${PROJECT_FOLDER}
cat <<EOF > ${PROJECT_FOLDER}docker-compose.yaml
services:
postgres:
image: postgres:17
restart: unless-stopped
environment:
POSTGRES_DB: miniflux
POSTGRES_USER: miniflux
POSTGRES_PASSWORD: {{ .Env.MINIFLUX_POSTGRES_PASSWORD }}
volumes:
- postgres:/var/lib/postgresql/data/
healthcheck:
test: ['CMD', 'pg_isready']
interval: 10s
start_period: 30s
miniflux:
image: miniflux/miniflux:2.2.5
ports:
- 8080:8080
environment:
DATABASE_URL: postgres://miniflux:{{ .Env.MINIFLUX_POSTGRES_PASSWORD }}@postgres/miniflux?sslmode=disable
RUN_MIGRATIONS: 1
CREATE_ADMIN: 1
ADMIN_USERNAME: johndoe
ADMIN_PASSWORD: {{ .Env.MINIFLUX_ADMIN_PASSWORD }}
healthcheck:
test: ["CMD", "/usr/bin/miniflux", "-healthcheck", "auto"]
depends_on:
postgres:
condition: service_healthy
volumes:
postgres:
name: miniflux_postgres
EOF
cd ${PROJECT_FOLDER}
docker compose pull
docker compose up -d --remove-orphans --wait
Voici le contenu de deploy_miniflux.sh
:
#!/usr/bin/env bash
set -e
cd "$(dirname "$0")/../"
gomplate -f _payload_deploy_miniflux.sh | ssh root@$SERVER1_IP 'bash -s'
J'utilise gomplate pour remplacer dynamiquement les secrets dans le script _payload_deploy_miniflux.sh
.
En conclusion, pour déployer une nouvelle version, j'ai juste à exécuter :
$ ./deploy_miniflux.sh
Je trouve cela minimaliste et de plus, l'exécution est bien plus rapide que la solution Ansible.
Ce type de script peut ensuite être exécuté aussi bien manuellement par un développeur depuis sa workstation, que via GitLab-CI ou même Rundeck.
Pour un exemple plus détaillé, consultez ce repository : https://github.com/stephane-klein/poc-bash-ssh-docker-deployement-example
Bien entendu, si vous souhaitez déployer votre propre application que vous développez, vous devez ajouter à cela la partie baking, c'est-à-dire, le docker build
qui prépare votre image, l'uploader sur un Docker registry… Généralement je réalise cela avec GitLab-CI/CD ou GitHub Actions.
Objections
Certains DevOps me disent :
- « Mais on ne fait pas ça pour de la production ! Il faut utiliser Kubernetes ! »
- « Comment ! Tu n'utilises pas Kubernetes ? »
Et d'autres :
- « Il ne faut au grand jamais utiliser
docker-compose
en production ! »
Ne jamais utiliser docker compose en production ?
J'ai reçu cette objection en 2018. J'ai essayé de comprendre les raisons qui justifiaient que ce développeur considère l'usage de docker compose en production comme un Antipattern.
Si mes souvenirs sont bons, je me souviens que pour lui, la bonne méthode conscistait à déclarer les états des containers à déployer avec le module Ansible docker_container (le lien est vers la version de 2018, depuis ce module s'est grandement amélioré).
Je n'ai pas eu plus d'explications 🙁.
J'ai essayé d'imaginer ses motivations.
J'en ai trouvé une que je ne trouve pas très pertinente :
- Uplodaer un fichier
docker-compose.yml
en production pour ensuite lancer des fonctions distantes sur celui-ci est moins performant que manipulerdocker-engine
à distance.
J'en ai imaginé une valable :
- En déclarant la configuration de services Docker uniquement dans le rôle Ansible cela garantit qu'aucun développeur n'ira modifier et manipuler directement le fichier
docker-compose.yml
sur le serveur de production.
Je trouve que c'est un très bon argument 👍️.
Cependant, cette méthode a à mes yeux les inconvénients suivants :
- Je maitrise bien mieux la syntaxe de docker compose que la syntaxe du module Ansible community.docker.docker_container
- J'utilise docker compose au quotidien sur ma workstation et je n'ai pas envie d'apprendre une syntaxe supplémentaire uniquement pour le déploiement.
- Je pense que le nombre de développeurs qui maîtrisent docker compose est suppérieur au nombre de ceux qui maîtrisent le module Ansible
community.docker.docker_container
. - Je ne suis pas utilisateur maximaliste de la méthode Remote Execution. Dans certaines circonstances, je trouve très pratique de pouvoir manipuler docker compose dans une session ssh directement sur un serveur. En période de stress ou de debug compliqué, je trouve cela pratique. J'essaie d'être assez rigoureux pour ne pas oublier de reporter mes changements effectués directement le serveur dans les scripts de déploiements (configuration as code).
Tu dois utiliser Kubernetes !
Alors oui, il y a une multitude de raisons valables d'utiliser Kubernetes. C'est une technologie très puissante, je n'ai pas le moindre doute à ce sujet.
J'ai une expérience dans ce domaine, ayant utilisé Kubernetes presque quotidiennement dans un cadre professionnel de janvier 2016 à septembre 2017. J'ai administré un petit cluster auto-managé composé de quelques nœuds et y ai déployé diverses applications.
Ceci étant dit, je rappelle mon contexte :
Cela fait 25 ans que je travaille sur des projets web, et tous les projets sur lesquels j'ai travaillé pouvaient être hébergés sur un seul et unique serveur baremetal ou une Virtual machine, sans jamais nécessiter de scalabilité horizontale.
Je n'ai jamais eu besoin de serveurs avec plus de 96Go de RAM pour faire tourner un service en production. Il convient de noter que, dans 80% des cas, 8 Go ou 16 Go étaient largement suffisants.
Je pense que faire appel à Kubernetes dans ce contexte est de l'overengineering.
Je dois avouer que j'envisage d'expérimenter un usage minimaliste de K3s (attention au "3", je n'ai pas écrit k8s) pour mes déploiements. Mais je sais que Kubernetes est un rabbit hole : Helm, Kustomize, Istio, Helmfile, Grafana Tanka… J'ai peur de tomber dans un Yak!.
D'autre part, il existe déjà un pourcentage non négligeable de développeur qui ne maitrise ni Docker, ni docker compose et dans ces conditions, faire le choix de Kubernetes augmenterait encore plus la barrière à l'entrée permettant à des collègues de pouvoir comprendre et intervenir sur les serveurs d'hébergement.
C'est pour cela que ma doctrine d'artisan développeur consiste à utiliser Kubernetes seulement à partir du moment où je rencontre des besoins de forte charge, de scalabilité.
Journal du vendredi 07 février 2025 à 10:48
Note de type #mémento pour ajouter le support healthcheck
à nginx-proxy et nginx-proxy acme-companion.
J'ai effectué des recherches dans les dépôts GitHub des projets :
- nginx-proxy « health », j'ai trouvé :
- acme-companion « health », j'ai trouvé :
J'ai aussi trouvé « Adding health check support to nginx-proxy nginx.tmpl file · nginx-proxy/nginx-proxy » qui est un sujet qui m'intéresse, mais pas en lien avec le sujet de cette note.
N'ayant rien trouvé de clés en main, voici ci-dessous mon implémentation.
Je ne suis pas certain qu'elle soit très robuste 🤔.
Elle a tout de même l'avantage de me permettre d'utiliser l'option --wait
dans docker-compose up -d --remove-orphans --wait
.
J'ai partagé aussi posté un commentaire à l'issue pour partager mon implémentation.
# docker-compose.yml
services:
nginx-proxy:
image: nginxproxy/nginx-proxy:1.6.4
container_name: nginx-proxy
restart: unless-stopped
network_mode: "host"
volumes:
- ./vhost.d/:/etc/nginx/vhost.d:rw
- ./htpasswd:/etc/nginx/htpasswd:ro
- html:/usr/share/nginx/html
- certs:/etc/nginx/certs:ro
- /var/run/docker.sock:/tmp/docker.sock:ro
healthcheck:
test: ["CMD-SHELL", "nginx -t && kill -0 $$(cat /var/run/nginx.pid)"]
interval: 10s
timeout: 2s
retries: 3
acme-companion:
image: nginxproxy/acme-companion:2.5.1
restart: unless-stopped
volumes_from:
- nginx-proxy
depends_on:
- "nginx-proxy"
environment:
DEFAULT_EMAIL: contact@stephane-klein.info
volumes:
- certs:/etc/nginx/certs:rw
- acme:/etc/acme.sh
- /var/run/docker.sock:/var/run/docker.sock:ro
healthcheck:
test: ["CMD-SHELL", "ps aux | grep -v grep | grep -q '/bin/bash /app/start.sh'"]
interval: 30s
timeout: 3s
retries: 3
start_period: 10s
volumes:
html:
certs:
acme:
Jeudi 6 février 2025
Je viens de découvrir le projet Fastlane (https://fastlane.tools/).
Je pense que c'est l'outil qui me manquait pour suivre le paradigme configuration as code dans mon "Projet 17 - Créer un POC de création d'une app smartphone avec Capacitor".
Ce projet a commencé en 2014 par Felix Krause et repris par Google en 2017 : « fastlane is joining Google - Felix Krause ».
Mais, je découvre que Google semble avoir arrêter de financer le développement du projet en 2023 : Google is no longer sponsoring Fastlane | Hacker News.
Depuis, le projet semble être toujours actif avec de nombreuses release : https://github.com/fastlane/fastlane/releases.
Fonctionnalités de Fastlane qui m'intéressent tout particulièrement :
Fastlane permet aussi d'automatiser de nombreuses autres tâches que je n'ai pas encore pris le temps d'explorer : https://docs.fastlane.tools/actions/.
Installation de Fastlane avec Mise que j'ai testée sous Fedora et MacOS :
[tools]
ruby = '3.1.6' # for fastlane
fastlane = "2.226.0"
[alias]
fastlane = "https://github.com/mollyIV/asdf-fastlane.git"
(Toujours aussi pénibles ces outils développés en Ruby 😔)
À noter que sous MacOS j'ai dû lancer :
$ mise install -f fastlane
Parce que lors du premier lancement de mise install
, j'ai l'impression qu'il a essayé d'installer fastlane
avec l'instance ruby native de l'OS.
J'ai cherché s'il existe une option pour préciser que fastlane
doit utiliser ruby
installé par Mise, mais je n'ai pas trouvé.
17:05 - Solution pour contourner le problème mentionné ci-dessus :
$ mise install ruby
$ mise install
Mercredi 5 février 2025
Journal du mercredi 05 février 2025 à 18:32
Un ami m'a fait découvrir uv (https://github.com/astral-sh/uv).
Je trouve cela amusant de constater que Rust prend en charge de plus en plus d'outils pour différents langages 😉.
Le projet a commencé fin 2023.
Voici un thread Hacker News de 200 commentaires à ce sujet qui date de février 2024 : Uv: Python packaging in Rust .
L'article de ce thread contient beaucoup d'éléments intéressants : https://astral.sh/blog/uv
Son nom uv
semble être une référence à uvloop.
J'en ai profité pour migrer le playground mise-python-flask-playground
de pip vers uv : https://github.com/stephane-klein/mise-python-flask-playground/commit/2f1678798cfc6749dcfdb514a8fe4a3e54739844.
J'ai lancé une installation et effectivement, sa rapidité est très impressionnante :
$ uv pip install -r requirements.txt
Resolved 15 packages in 245ms
Prepared 15 packages in 176ms
Installed 15 packages in 37ms
+ alembic==1.14.1
+ blinker==1.9.0
+ click==8.1.8
+ flask==3.1.0
+ flask-migrate==4.1.0
+ flask-sqlalchemy==3.1.1
+ greenlet==3.1.1
+ itsdangerous==2.2.0
+ jinja2==3.1.5
+ mako==1.3.9
+ markupsafe==3.0.2
+ psycopg2-binary==2.9.10
+ sqlalchemy==2.0.37
+ typing-extensions==4.12.2
+ werkzeug==3.1.3
uv ne propose pas seulement une amélioration de l'installation de packages Python, mais propose beaucoup d'autres choses comme :
- L'installation de Python : https://docs.astral.sh/uv/guides/install-python/
Pour cette partie, dans un but d'unification, je continuerai à utiliser Mise pour installer une version précise de Python. De plus, Mise intègre nativement UV : https://mise.jdx.dev/mise-cookbook/python.html#mise-uv
- Système pour lancer des scripts Python : https://docs.astral.sh/uv/guides/scripts/
Exemple :
$ uv run example.py
Je pense avoir compris que cela lance ce script avec les dépendances du virtual environment du projet. Un peu comme fonctionne npm, yarn ou pnpm qui permet aux scripts d'utiliser les packages présents dans ./node_modules/
.
- Permet de lancer des outils : https://docs.astral.sh/uv/guides/tools/
Par exemple, le linter Python ruff, exemple :
$ uv tool run ruff
- uv met à disposition des images Docker : https://docs.astral.sh/uv/guides/integration/docker/
J'ai un peu parcouru la documentation de pyproject.toml : https://packaging.python.org/en/latest/guides/writing-pyproject-toml/.
J'ai lu aussi la section uv - Locking environments.
Suite à ces lectures, j'ai migré le playground mise-python-flask-playground
vers pyproject.toml : https://github.com/stephane-klein/mise-python-flask-playground/commit/c17216464778df4bc00bf782d5a889cb3f198051.
Je ne suis pas certain que ces commandes soient une bonne pratique :
$ uv pip compile requirements.in -o requirements.txt
$ uv pip install -r requirements.txt
Je précise que je n'ai pas eu l'occasion de tester l'installation sous Windows, hier j'ai essayé, mais je n'ai pas réussi à installer WSL2 sous Windows dans un Virtualbox lancé sous Fedora. Je suis à la recherche d'une personne pour tester si mes instructions d'installation sont valides ou non.
Merci à Alexandre 🤗 qui a pris le temps de tester l'installation sous WSL2 du playground que j'ai présenté dans "Playground qui présente comment je setup un projet Python Flask en 2025".
Le playground : https://github.com/stephane-klein/mise-python-flask-playground
Après quelques petites corrections https://github.com/stephane-klein/mise-python-flask-playground/commits/main/ Alexandre a réussi avec succès à installer et lancer tous les services sous Windows 11 avec WSL2.
C'est une très bonne nouvelle 🙂.
Cela ajoute une « corde à mon arc ». Jusqu'à présent, je précisais bien que mes development kit n'étaient pas compatible MS Windows. Je le mentionnais même dans mes annonces d'embauche, pour ne pas surprendre les candidats.
Maintenant, mes environnements de développement sont compatibles Linux, MacOS, et Linux 🙂.
Je n'ai pas réussi à installer WSL2 sous Windows dans un Virtualbox lancé sous Fedora
Après avoir réussi à lancer Windows 11 sous ma Fedora dans VirtualBox (voir 2025-02-04_1646), j'ai essayé d'installer et de lancer WSL2, mais je n'ai pas réussi 🙁.
Je suis resté bloqué à cette étape :
vagrant@WIN11 C:\Users\vagrant>wsl --install
Ubuntu est déjà installé.
Lancement de Ubuntu...
Installing, this may take a few minutes...
WslRegisterDistribution failed with error: 0x80370102
Please enable the Virtual Machine Platform Windows feature and ensure virtualization is enabled in the BIOS.
For information please visit https://aka.ms/enablevirtualization
Press any key to continue...
L’opération a réussi.
Même avec ces options :
win11.vm.provider "virtualbox" do |vb|
vb.customize ["modifyvm", :id, "--nested-hw-virt", "on"]
vb.customize ["modifyvm", :id, "--paravirtprovider", "kvm"]
vb.customize ["modifyvm", :id, "--cpu-profile", "host"]
vb.cpus = 4
vb.memory = 16000
end
end
Windows ne semble pas vouloir lancer Hyper-v dans un VirtualBox.
J'ai essayé différents paramètres pour --paravirtprovider
, sans succès.
Si quelqu'un a la solution, je suis preneur ! (contact@stephane-klein.info).
Playground qui présente comment je setup un projet Python Flask en 2025
Je pense que cela doit faire depuis 2015 que je n'ai pas développé une application en Python Flask !
Entre 2008 et 2015, j'ai beaucoup itéré dans mes méthodes d'installation et de setup de mes environnements de développement Python.
D'après mes souvenirs, si je devais dresser la liste des différentes étapes, ça donnerai ceci :
- 2006 : aucune méthode, j'installe Python 🙂
- 2007 : je me bats avec setuptools et distutils (mais ça va, c'était plus mature que ce que je pouvais trouver dans le monde PHP qui n'avait pas encore imaginé composer)
- 2008 : je trouve la paie avec virtualenv
- 2010 : j'ai peur d'écrire des scripts en Bash alors à la place, j'écris un script
bootstrap.py
dans lequel j'essaie d'automatiser au maximum l'installation du projet - 2012 : je me bats avec buildout pour essayer d'automatiser des éléments d'installation. Avec le recul, je réalise que je n'ai jamais rien compris à buildout
- 2012 : j'utilise Vagrant pour fixer les éléments d'installation, je suis plutôt satisfait
- 2015 : je suis radicale, j'enferme tout l'environnement de dev Python dans un container de développement, je monte un path volume pour exposer le code source du projet dans le container. Je bricole en
entrypoint
avec la commande "sleep".
Des choses ont changé depuis 2015.
Mais, une chose que je n'ai pas changée, c'est que je continue à suivre le modèle The Twelve-Factors App et je continue à déployer tous mes projets packagé dans des images Docker. Généralement avec un simple docker-compose.yml
sur le serveur, ou alors Kubernetes pour des projets de plus grande envergure… mais cela ne m'arrive jamais en pratique, je travaille toujours sur des petits projets.
Choses qui ont changé : depuis fin 2018, j'ai décidé de ne plus utiliser Docker dans mes environnements de développement pour les projets codés en NodeJS, Golang, Python…
Au départ, cela a commencé par uniquement les projets en NodeJS pour des raisons de performance.
J'ai ensuite découvert Asdf et plus récemment Mise. À partir de cela, tout est devenu plus facilement pour moi.
Avec Asdf, je n'ai plus besoin "d'enfermer" mes projets dans des containers Docker pour fixer l'environnement de développement, les versions…
Cette introduction est un peu longue, je n'ai pas abordé le sujet principal de cette note 🙂.
Je viens de publier un playground d'un exemple de projet minimaliste Python Flask suivant mes pratiques de 2025.
Voici son repository : mise-python-flask-playground
Ce playground est "propulsé" par Docker et Mise.
J'ai documenté la méthode d'installation pour :
- Linux (Fedora (distribution que j'utilise au quotidien) et Ubuntu)
- MacOS avec Brew
- MS Windows avec WSL2
Je précise que je n'ai pas eu l'occasion de tester l'installation sous Windows, hier j'ai essayé, mais je n'ai pas réussi à installer WSL2 sous Windows dans un Virtualbox lancé sous Fedora. Je suis à la recherche d'une personne pour tester si mes instructions d'installation sont valides ou non.
Briques technologiques présentes dans le playground :
- La dernière version de Python installée par Mise, voir .mise.toml
- Une base de données PostgreSQL lancé par Docker
- J'utilise named volumes comme expliqué dans cette note : 2024-12-09_1550
- Flask-SQLAlchemy
- Flask-Migrate
- Une commande
flask initdb
avec Click pour reset la base de données - Utiliser d'un template Jinja2 pour qui affiche les
users
en base de données
Voici quelques petites subtilités.
Dans le fichier alembic.ini j'ai modifié le paramètre file_template
parce que j'aime que les fichiers de migration soient classés par ordre chronologique :
[alembic]
# template used to generate migration files
file_template = %%(year)d%%(month).2d%%(day).2d_%%(hour).2d%%(minute).2d%%(second).2d_%%(slug)s
20250205_124639_users.py
20250205_125437_add_user_lastname.py
Ici le port de PostgreSQL est généré dynamiquement par docker compose :
postgres:
image: postgres:17
...
ports:
- 5432 # <= ici
Avec cela, fini les conflits de port quand je lance plusieurs projets en même temps sur ma workstation.
L'URL vers le serveur PostgreSQL est générée dynamiquement par le script get_postgres_url.sh
qui est appelé par le fichier .envrc
. Tout cela se passe de manière transparente.
J'initialise ici les extensions PostgreSQL :
def init_db():
db.drop_all()
db.session.execute(db.text('CREATE EXTENSION IF NOT EXISTS "uuid-ossp"'))
db.session.execute(db.text('CREATE EXTENSION IF NOT EXISTS "unaccent"'))
db.session.commit()
db.create_all()
et ici dans la première migration :
def upgrade():
op.execute('CREATE EXTENSION IF NOT EXISTS "uuid-ossp";')
op.execute('CREATE EXTENSION IF NOT EXISTS "unaccent";')
op.create_table('users',
sa.Column('id', sa.Integer(), autoincrement=True, nullable=False),
sa.Column('firstname', sa.String(), nullable=False),
sa.PrimaryKeyConstraint('id')
)
Je découvre Colima, installation minimaliste de Docker sous MacOS
#JaiDécouvert le projet Colima : https://github.com/abiosoft/colima
Colima - container runtimes on macOS (and Linux) with minimal setup.
Support for Intel and Apple Silicon Macs, and Linux
- Simple CLI interface with sensible defaults
- Automatic Port Forwarding
- Volume mounts
- Multiple instances
- Support for multiple container runtimes
- Docker (with optional Kubernetes)
- Containerd (with optional Kubernetes)
- Incus (containers and virtual machines)
Colima est une solution minimaliste qui permet d'installer sous MacOS docker-engine sans Docker Desktop.
Thread Hacker News à ce sujet de 2023 : Colima: Container runtimes on macOS (and Linux) with minimal setup.
Méthode d'installation que je suis sous MacOS avec Brew :
$ brew install colima docker docker-compose
$ cat << EOF > ~/.docker/config.json
{
"auths": {},
"currentContext": "colima",
"cliPluginsExtraDirs": [
"/opt/homebrew/lib/docker/cli-plugins"
]
}
EOF
$ brew services start colima
Comme indiqué ici, la modification du fichier ~/.docker/config.json
permet d'activer de plugin docker compose
, ce qui permet d'utiliser, par exemple :
$ docker compose ps
Qui est, depuis 2020, la méthode recommandée d'utiliser docker compose
sans -
.
Vérification, que tout est bien installé et lancé :
$ colima status
INFO[0000] colima is running using macOS Virtualization.Framework
INFO[0000] arch: aarch64
INFO[0000] runtime: docker
INFO[0000] mountType: sshfs
INFO[0000] socket: unix:///Users/m1/.colima/default/docker.sock
$ docker info
Client: Docker Engine - Community
Version: 27.5.1
Context: colima
Debug Mode: false
Server:
Containers: 0
Running: 0
Paused: 0
Stopped: 0
Images: 1
Server Version: 27.4.0
Storage Driver: overlay2
Backing Filesystem: extfs
Supports d_type: true
Using metacopy: false
Native Overlay Diff: true
userxattr: false
Logging Driver: json-file
Cgroup Driver: cgroupfs
Cgroup Version: 2
Plugins:
Volume: local
Network: bridge host ipvlan macvlan null overlay
Log: awslogs fluentd gcplogs gelf journald json-file local splunk syslog
Swarm: inactive
Runtimes: io.containerd.runc.v2 runc
Default Runtime: runc
Init Binary: docker-init
containerd version: 88bf19b2105c8b17560993bee28a01ddc2f97182
runc version: v1.2.2-0-g7cb3632
init version: de40ad0
Security Options:
apparmor
seccomp
Profile: builtin
cgroupns
Kernel Version: 6.8.0-50-generic
Operating System: Ubuntu 24.04.1 LTS
OSType: linux
Architecture: aarch64
CPUs: 2
Total Memory: 1.914GiB
Name: colima
ID: 7fd5e4bd-6430-4724-8238-e420b3f23609
Docker Root Dir: /var/lib/docker
Debug Mode: false
Experimental: false
Insecure Registries:
127.0.0.0/8
Live Restore Enabled: false
WARNING: bridge-nf-call-iptables is disabled
WARNING: bridge-nf-call-ip6tables is disabled
J'ai suivi de loin l'histoire de Docker Desktop qui est devenu "propriétaire". Je viens prendre le temps d'étudier un peu le sujet, et voici ce que j'ai trouvé :
August 2021: Docker Desktop for Windows and MacOS was no longer available free of charge for enterprise users. Docker ended free Docker Desktop use for larger business customers and replaced its Free Plan with a Personal Plan. Docker on Linux distributions remained unaffected.
Sur le site officiel, sur la page "docker.desktop", quand je clique sur « Choose plan » je tombe sur ceci :
Je n'ai pas tout compris, j'ai l'impression qu'il est tout de même possible d'installer et d'utiliser gratuitement Docker Desktop.
Au final, tout cela n'a pas beaucoup d'importance pour moi, je ne trouve aucune utilité à Docker Desktop, par conséquent, sous MacOS j'utilise Colima.
J'ai vu qu'il est possible d'installer Colima sous Linux, mais je ne l'utilise pas, car je n'y vois aucun intérêt pour le moment.
J'ai adhéré à la Fédération nationale des micro-entrepreneurs
La FNAE a fait cela matin un "live" au sujet de cet amendement visant à modifier l'article 293b du Code Général des Impôts en réduisant le seuil de TVA à 25 000 € !
Bien que la page de l'amendement indique "rejeté", celui-ci semble avoir été adopté par 49-3.
Au moment où j'écris cette note, ce live n'est pas encore uploadé sur le compte YouTube de la FNAE : https://www.youtube.com/@Federation-auto-entrepreneurFr/videos.
J'ai trouvé ce live de qualité, et il m’a permis d’apprendre de nouvelles choses.
Il y a quelque jours, j'ai ouvert le thread suivant sur Pragmatic Entrepreneurs Forum : « Avis sur l’adhésion à la FNAE – Fédération Nationale des Auto-Entrepreneurs ? ».
Suite au live de matin, j'ai décidé d'adhérer à la FNAE.
Pour le moment, j'ai choisi l'offre à 12 € par an, mais je vais peut-être évoluer vers l'offre à 139 € principalement pour les soutenir.
Mardi 4 février 2025
Journal du mardi 04 février 2025 à 16:46
Je souhaite créer un playground d'un development kit pour Python + PostgreSQL (via Docker) + Flask + Flask-Migrate, basé sur Mise.
J'ai la contrainte suivante : le development kit doit fonctionner sous MS Windows !
Je me dis que c'est une bonne occasion pour moi de tester Windows Subsystem for Linux 🙂.
Problème : je ne possède pas d'instance MS Windows.
#JaiDécouvert que depuis 2015, Microsoft met à disposition des ISOs officiels de MS Windows :
- ISO pour Windows 10 : https://www.microsoft.com/fr-fr/software-download/windows10ISO
- ISO pour Windows 11 : https://www.microsoft.com/fr-fr/software-download/windows11
- Virtual machine MS Windows pour VirtualBox et d'autres : https://developer.microsoft.com/en-us/windows/downloads/virtual-machines/
J'ai testé dans ce playground le lancement d'une Virtual machine MS Windows avec Vagrant : https://github.com/stephane-klein/vagrant-windows-playground
.
Cela a bien fonctionné 🙂.
J'ai aussi découvert le repository windows-vagrant
qui semble permettre de construire différents types d'images MS Windows avec Packer. Je n'ai pas essayé d'en construire une.
Journal du mardi 04 février 2025 à 14:57
Petite note de type #mémento.
Si je rencontre l'erreur suivante avec Vagrant - VirtualBox :
$ vagrant up
...
Command: ["startvm", "2fa1ff70-52d8-4875-b48d-7c2df56f1507", "--type", "gui"]
Stderr: VBoxManage: error: VirtualBox can't enable the AMD-V extension. Please disable the KVM kernel extension, recompile your kernel and reboot (VERR_SVM_IN_USE)
VBoxManage: error: Details: code NS_ERROR_FAILURE (0x80004005), component ConsoleWrap, interface IConsole
La solution est la suivante :
$ sudo modprobe -r kvm_amd
$ sudo modprobe -r kvm
Journal du mardi 04 février 2025 à 11:36
Suite de ma note 2025-02-03_1718.
Suite à la réponse de l'agent des impôts qui ne m'a pas beaucoup aidé :
Bonjour,
C’est juste une attestation sur l’honneur.
En vous remerciant de votre attention. Cette demande est terminée, si vous souhaitez y répondre ou apporter des remarques ou aborder d’autres sujets, vous devez déposer une autre demande.
J'ai effectué la recherche suivante : Demande d'option pour un régime de TVA modèle de lettre
J'ai parcouru les dix premières pages de résultats sans trouver le moindre modèle de lettre sur un site officiel de l'État. C'est désolant de devoir dépendre de sites privés qui exploitent les lacunes d'un service public pour en tirer profit.
Voici un modèle de lettre que j'ai trouvé :
Je pense que c'est ce type de lettre que me demande l'agence des impôts.
Le formulaire me propose 3 options :
- "Le régime réel simplifié d'imposition TVA"
- "Le régime normal d'imposition TVA"
- "Le régime alternatif du mini-réel"
D'après mes recherches, je comprends qu'il y a en réalité 4 options :
- Régime en base de TVA
- Régime réel simplifié d'imposition à la TVA
- Régime mini-réel d'imposition à la TVA
- Régime réel normal d'imposition à la TVA
(Lien vers une version Google Spreadshet du tableau)
Critères | Régime en base de TVA | Régime réel simplifié de TVA | Régime mini-réel de TVA | Régime réel normal de TVA |
---|---|---|---|---|
Facturation de la TVA | ❌ Non | ✅ Oui | ✅ Oui | ✅ Oui |
Déclarations de TVA | ❌ Aucune | ✅ Annuelle (CA12) + acomptes | ✅ Mensuelle/trimestrielle (CA3) | ✅ Mensuelle/trimestrielle (CA3) |
Paiement de la TVA | ❌ Non | ✅ 2 acomptes + régularisation annuelle | ✅ Régulier, au fil des déclarations | ✅ Régulier, au fil des déclarations |
Récupération de la TVA | ❌ Non | ✅ Oui | ✅ Oui | ✅ Oui |
Obligations comptables | 📌 Ultra simplifiée | 📌 Allégée | 📌 Comptabilité complète | 📌 Comptabilité complète |
Charge administrative | ✅ Très faible | ⚠️ Moyenne | ❌ Plus lourde | ❌ Lourde |
Seuil de chiffre d’affaires | -91 900 € (commerce) / 36 800 € (services) | < 840 000 € (commerce) / < 254 000 € (services) | < 840 000 € (commerce) / < 254 000 € (services) | > 840 000 € (commerce) / > 254 000 € (services) |
Public concerné | Micro-entreprises, indépendants | Petites entreprises | Entreprises voulant mensualiser la TVA | Entreprises à forte activité |
Flexibilité de trésorerie | ✅ Maximum | ⚠️ Moins flexible | ✅ Bonne gestion | ❌ Contraignant |
J'ai réalisé ce modèle de lettre Google Docs :
#JeMeDemande si je préfère choisir l'option "Régime réel simplifié d'imposition à la TVA" ou "Régime mini-réel d'imposition à la TVA".
Le "Régime réel simplifié d'imposition à la TVA" fonctionne avec un système d'acomptes semestriels qui est calculé à partir de la TVA collectée par l'entreprise durant l'année précédente. #JeMeDemande comment le montant de cet acompte est calculé la première année.
À ce jour, j'ignore encore si je vais continuer ou non une activité de Freelance sur le long terme.
Avec le système d'acompte, j'ai peur de devoir continuer à payer des acomptes pendant un an sur un chiffre d'affaires qui sera nul et de voir faire des démarches pour me faire rembourser 🤔.
Pour le moment, je n'ai pas encore trouvé réponse à ces deux questions :
- c. Pouvez-vous me confirmer que ma déclaration devrait se faire sur la page web indiquée dans le screenshot en pièce jointe ?
- d. Est-ce que la déclaration doit s'effectuer en fonction de la date d'émission de la facture ou alors sa date d'encaissement ?
Lundi 3 février 2025
Journal du lundi 03 février 2025 à 17:54
Je viens de publier le thread suivant sur Pragmatic Entrepreneurs Forum : https://forum.pragmaticentrepreneurs.com/t/avis-sur-l-adhesion-a-la-fnae-federation-nationale-des-auto-entrepreneurs/23607
Titre : Avis sur l’adhésion à la FNAE – Fédération Nationale des Auto-Entrepreneurs ?
Bonjour,
Y a-t-il des membres de ce forum qui sont adhérents à la FNAE (https://fnae.fr - Fédération Nationale des Auto-Entrepreneurs) ?
Si c'est votre cas, quels sont vos retours ?
- Trouvez-vous l’adhésion utile ?
- Vous sentez-vous bien représenté ?
- Êtes-vous en accord avec la ligne politique de cette fédération ?
- Les dirigeants sont-ils accessibles ?
- Connaissez-vous des alternatives ?
Si vous ne souhaitez pas répondre publiquement, vous pouvez me contacter à contact@stephane-klein.info.
Merci d’avance pour vos retours !
Journal du lundi 03 février 2025 à 17:18
Je viens de publier le thread suivant sur Pragmatic Entrepreneurs Forum : https://forum.pragmaticentrepreneurs.com/t/micro-entreprise-a-quel-moment-je-dois-declarer-la-tva-est-ce-que-la-declaration-doit-seffectuer-en-fonction-de-la-date-demission-de-la-facture-ou-alors-de-sa-date-dencaissement/23606
Mon premier message :
Micro-entreprise, à quel moment je dois déclarer la TVA ? Est-ce que la déclaration doit s'effectuer en fonction de la date d'émission de la facture ou alors de sa date d'encaissement ?
Bonjour,
Le 28 janvier, j'ai envoyé le message suivant à mon "Service impôts des entreprises".
Je partage ici, "afin de documenter" le processus au fur et à mesure des réponses que je reçois.
Bonjour,
J'ai commencé mon activité en micro-entreprise au 1ᵉʳ juillet 2024.
À ce jour, voici ce que j'ai facturé :
- 4 juillet 2024, 10 000 € net sans TVA (encaissé)
- 6 septembre 2024, 10 000 € net sans TVA (encaissé)
- 13 novembre 2024, 10 000 € net sans TVA (encaissé le 29 novembre 2024)
- 20 décembre 2024, 10 000 € TTC, dont 2 000 € de TVA (encaissé le 20 janvier 2025)
J'ai lu que la TVA est applicable si je dépasse 34 400 € en prestations de services.
Dans le doute, j'ai commencé à appliquer la TVA à partir de ma 4ᵉ facture.
Questions :
- a.Est-ce que je suis dans les "règles" en ayant appliqué la TVA à ma 4ᵉ facture ?
- b. À quel moment je vais devoir déclarer les 2000 € de TVA de ma 4ᵉ facture ?
- c. Pouvez-vous me confirmer que ma déclaration devrait se faire sur la page web indiquée dans le screenshot en pièce jointe ?
- d. Est-ce que la déclaration doit s'effectuer en fonction de la date d'émission de la facture ou alors sa date d'encaissement ?
Cordialement, Stéphane Klein Tel: xx xx xx xx xx
Mon second message :
Le 3 février, j'ai reçu la réponse suivante :
Bonjour,
Je vous remercie d'envoyer une lettre d'option à la TVA datée et signée en spécifiant le régime demandé.
En vous remerciant de votre attention.
Mes commentaires au sujet de cette réponse :
- Je trouve cela dommage que l'agent n'ait répondu à aucune de mes 4 questions 😔
- Je trouve dommage que l'agent ne m'ai pas donné de lien vers
- une documentation au sujet de cette lettre d'option à la TVA
- un modèle de lettre ;
- Je trouve cela dommage que je doive rédiger une lettre plutôt que déclarer des champs dans un formulaire. Je pense que la méthode basée sur une lettre augmente la charge de l'administration, est source d'erreur, est difficilement automatisable…
Quelques remarques sur cette réponse :
- L’agent n’a répondu à aucune de mes quatre questions 😔.
- Aucune ressource n’est fournie pour mieux comprendre cette demande :
- Pas de lien vers une documentation expliquant cette lettre d’option à la TVA.
- Pas de modèle de lettre proposé.
- Il est regrettable que cette démarche passe par une lettre plutôt qu’un formulaire dédié. Je pense qu'un formulaire éviterait des erreurs, réduirait la charge administrative et faciliterait l’automatisation.
Je me demande comment je pourrais faire remonter ces retours à l’administration. Ces améliorations sont peut-être déjà prévues dans leur feuille de route, ou bien l’administration manque tout simplement de moyens pour les mettre en place 🤔.
Prochaine étape : essayer de trouver un modèle de lettre d'option à la TVA.
Jeudi 30 janvier 2025
Journal du jeudi 30 janvier 2025 à 12:02
Note de type #aide-mémoire : contrairement à ~/.zprofile
, .zshenv
est chargé même lors de l'exécution d'une session ssh en mode non interactif, par exemple :
$ ssh user@host 'echo "Hello, world!"'
Je me suis intéressé à ce sujet parce que mes scripts exécutés par ssh dans le cadre du projet /poc-capacitor/
n'avaient pas accès aux outils mis à disposition par Homebrew et Mise.
J'ai creusé le sujet et j'ai découvert que .zprofile
était chargé seulement dans les cas suivants :
- « login shell »
- « interactive shell »
Un login shell est un shell qui est lancé lors d'une connexion utilisateur. C'est le type de shell qui exécute des fichiers de configuration spécifiques pour préparer l'environnement utilisateur. Un login shell se comporte comme si tu te connectais physiquement à une machine ou à un serveur.
Un shell interactif est un shell dans lequel tu peux entrer des commandes de manière active, et il attend des entrées de ta part. Un shell interactif est conçu pour interagir avec l'utilisateur et permet de saisir des commandes, d'exécuter des programmes, de lancer des scripts, etc.
Suite à cela, dans ce commit "Move zsh config from .zprofile to .zshenv", j'ai déplacé la configuration de Homebrew et Mise de ~/.zprofile
vers .zshenv
.
Cela donne ceci une fois configuré :
$ cat .zshenv
eval "$(/opt/homebrew/bin/brew shellenv)"
eval "$(mise activate zsh)"
Mais, attention, « As /etc/zshenv is run for all instances of zsh ». Je pense que ce n'est pas forcément une bonne idée d'appliquer cette configuration sur une workstation, parce que cela peut "ralentir" légèrement le système en lançant inutilement ces commandes.
ChatGPT me conseille cette configuration pour éviter cela :
# Ne charge Brew et Mise que si on est dans un shell interactif ou SSH
if [[ -t 1 || -n "$SSH_CONNECTION" ]]; then
eval "$(/opt/homebrew/bin/brew shellenv)"
eval "$(mise activate zsh)"
fi
Mercredi 29 janvier 2025
Journal du mercredi 29 janvier 2025 à 22:22
En étudiant Pi-hole, je découvre le terme "DNS sinkhole" :
A DNS sinkhole, also known as a sinkhole server, Internet sinkhole, or Blackhole DNS is a Domain Name System (DNS) server that has been configured to hand out non-routable addresses for a certain set of domain names.
...
Another use is to block ad serving sites, either using a host's file-based sinkhole or by locally running a DNS server (e.g., using a Pi-hole). Local DNS servers effectively block ads for all devices on the network.
Journal du mercredi 29 janvier 2025 à 16:29
Alexandre m'a fait remarquer que GitLab a activé par défaut une extension Markdown de génération automatique de TOC :
A table of contents is an unordered list that links to subheadings in the document. You can add a table of contents to issues, merge requests, and epics, but you can’t add one to notes or comments.
Add one of these tags on their own line to the description field of any of the supported content types:
[[_TOC_]] or [TOC]
- Markdown files.
- Wiki pages.
- Issues.
- Merge requests.
- Epics.
Je trouve cela excellent que cette extension Markdown soit supportée un peu partout, en particulier les issues, Merge Request… 👍️.
Cette fonctionnalité a été ajoutée en mars 2020 🫢 ! Comment j'ai pu passer à côté ?
GitHub permet d'afficher un TOC au niveau des README
, mais je viens de vérifier, GitHub ne semble pas supporter cette extension TOC Markdown au niveau des issues… Pull Request…
Journal du mercredi 29 janvier 2025 à 11:55
#JaiDécouvert Nitro (https://nitro.build/)
Next Generation Server Toolkit.
Create web servers with everything you need and deploy them wherever you prefer.
D'après ce que j'ai compris, Nitro est un serveur http en NodeJS qui a été spécialement conçu pour Nuxt.js.
Nitro a été introduit fin 2021 dans la version 3 de Nuxt.
Nitro fait partie de l'écosystème UnJS.
Je découvre l'existence de UnJS Ecosystem. #JeMeDemande si ce projet a un lien avec VoidZero 🤔.
Je viens de vérifier, SvelteKit ne semble pas utiliser Nitro. Nitro semble être utilisé uniquement par Nuxt.js.
Mardi 28 janvier 2025
Journal du mardi 28 janvier 2025 à 15:26
D'ici quelques jours, je prévois de rédiger un bilan d'utilisation de avante.nvim pour faire le point sur mon expérience avec cet outil.
Après 16 jours d'utilisation d'avante.nvim et comme je le disais dans cette note mon retour est positif, mis à part le bug suivant : bug: non-streaming output never shows.
Pour le moment, je n'arrive pas à comprendre dans quelle condition ce bug arrive 🤔.
Je n'ai pas encore pris le temps de creuser le sujet. J'espère que l'issue va rapidement être résolue. 🤞.
Journal du mardi 28 janvier 2025 à 13:49
Alexandre me dit : « Le contenu de Speed of Code Reviews (https://google.github.io/eng-practices/review/reviewer/speed.html) ressemble à ce dont tu faisais la promotion dans notre précédente équipe ».
En effet, après lecture, les recommandations de cette documentation font partie de ma doctrine d'artisan développeur.
Note: j'ai remplacé CL
qui signifie Changelist
par Merge Request.
When code reviews are slow, several things happen:
- The velocity of the team as a whole is decreased. Yes, the individual who doesn’t respond quickly to the review gets other work done. However, new features and bug fixes for the rest of the team are delayed by days, weeks, or months as each Merge Request waits for review and re-review.
- Developers start to protest the code review process. If a reviewer only responds every few days, but requests major changes to the Merge Request each time, that can be frustrating and difficult for developers. Often, this is expressed as complaints about how “strict” the reviewer is being. If the reviewer requests the same substantial changes (changes which really do improve code health), but responds quickly every time the developer makes an update, the complaints tend to disappear. Most complaints about the code review process are actually resolved by making the process faster.
- Code health can be impacted. When reviews are slow, there is increased pressure to allow developers to submit Merge Request that are not as good as they could be. Slow reviews also discourage code cleanups, refactorings, and further improvements to existing Merge Request.
J'ai fait le même constat et je trouve que cette section explique très bien les conséquences 👍️.
How Fast Should Code Reviews Be?
If you are not in the middle of a focused task, you should do a code review shortly after it comes in.
One business day is the maximum time it should take to respond to a code review request (i.e., first thing the next morning).
Following these guidelines means that a typical Merge Request should get multiple rounds of review (if needed) within a single day.
Je partage et recommande cette pratique 👍️.
If you are too busy to do a full review on a Merge Request when it comes in, you can still send a quick response that lets the developer know when you will get to it, suggest other reviewers who might be able to respond more quickly.
👍️
Large Merge Request
If somebody sends you a code review that is so large you’re not sure when you will be able to have time to review it, your typical response should be to ask the developer to split the Merge Request into several smaller Merge Requests that build on each other, instead of one huge Merge Request that has to be reviewed all at once. This is usually possible and very helpful to reviewers, even if it takes additional work from the developer.
Je partage très fortement cette recommandation et je pense que c'est celle que j'avais le plus de difficulté à faire accepter par les nouveaux développeurs.
Quand je code, j'essaie de garder à l'esprit que mon objectif est de faciliter au maximum le travail du reviewer plutôt que de chercher à minimiser mes propres efforts.
J'ai sans doute acquis cet état d'esprit du monde open source. En effet, l'un des principaux défis lors d'une contribution à un projet open source est de faire accepter son patch par le mainteneur. On comprend rapidement qu'un patch doit être simple à comprendre et rapide à intégrer pour maximiser ses chances d'acceptation.
Un bon patch doit remplir un objectif unique et ne contenir que les modifications strictement nécessaires pour l'atteindre.
Je suis convaincu que si une équipe de développeurs applique ces principes issus de l'open source dans leur contexte professionnel, leur efficacité collective s'en trouvera grandement améliorée.
Par ailleurs, une Merge Request de taille réduite présente plusieurs avantages concrets :
- elle est non seulement plus simple à rebase,
- mais elle a aussi plus de chances d'être mergée rapidement.
Cela permet à l'équipe de bénéficier plus rapidement des améliorations apportées, qu'il s'agisse de corrections de bugs ou de nouvelles fonctionnalités.
Lundi 27 janvier 2025
Journal du lundi 27 janvier 2025 à 11:49
En lisant la documentation de lazy.nvim, #JaiDécouvert que la bonne pratique n'est pas celle-ci :
{
"folke/todo-comments.nvim",
config = function()
require("todo-comments").setup({})
end,
},
Mais simplement celle-ci :
{ "folke/todo-comments.nvim", opts = {} },
Journal du lundi 27 janvier 2025 à 10:51
Il y a plus de deux ans, j'avais écrit la note suivante :
En plus de les oublier régulièrement, je trouve ces deux commandes pas pratiques.
Je dois utiliser ctrl-w H
pour transformer des windows horizontaux en verticaux et ctrl-w J
pour transformer des windows verticaux en horizontaux. Cela fait deux raccourcis alors que j'aimerais en utiliser un seul.
Ce matin, #JaiDécidé d'essayer d'utiliser winshift.nvim (https://github.com/sindrets/winshift.nvim).
Voici mon commit de changement de mon dotfiles : https://github.com/stephane-klein/dotfiles/commit/5d6f798538ac16ab8a308d4da26913306b0cff82
J'ai testé un peu winshift.nvim. C'est parfait 🙂, ce plugin correspond parfaitement à mes besoins et il est très facile à utiliser !
Jeudi 23 janvier 2025
Journal du jeudi 23 janvier 2025 à 14:37
#JaiDécouvert Moshi (https://github.com/kyutai-labs/moshi).
Moshi is a speech-text foundation model and full-duplex spoken dialogue framework. It uses Mimi, a state-of-the-art streaming neural audio codec.
Moshi models two streams of audio: one corresponds to Moshi, and the other one to the user. At inference, the stream from the user is taken from the audio input, and the one for Moshi is sampled from the model's output. Along these two audio streams, Moshi predicts text tokens corresponding to its own speech, its inner monologue, which greatly improves the quality of its generation.
Mardi 21 janvier 2025
Journal du mardi 21 janvier 2025 à 10:45
Alexandre m'a fait découvrir testssl.sh (https://github.com/testssl/testssl.sh) :
testssl.sh
is a free command line tool which checks a server's service on any port for the support of TLS/SSL ciphers, protocols as well as some cryptographic flaws.
Voici ci-dessous le résultat pour mon domaine sklein.xyz
.
Je lis : Overall Grade: A+
Quelques précisions concernant la configuration derrière sklein.xyz
:
- J'utilise un certificat Let's Encrypt, validé par la méthode challenge HTTP-01
- Ce certificat est généré par nginx-proxy acme-companion et utilisé par nginx-proxy (la configuration)
$ docker run --rm -ti drwetter/testssl.sh sklein.xyz
#####################################################################
testssl.sh version 3.2rc3 from https://testssl.sh/dev/
This program is free software. Distribution and modification under
GPLv2 permitted. USAGE w/o ANY WARRANTY. USE IT AT YOUR OWN RISK!
Please file bugs @ https://testssl.sh/bugs/
#####################################################################
Using OpenSSL 1.0.2-bad [~183 ciphers]
on 43cf528ca9c5:/home/testssl/bin/openssl.Linux.x86_64
Start 2025-01-21 09:45:05 -->> 51.159.34.231:443 (sklein.xyz) <<--
rDNS (51.159.34.231): 51-159-34-231.rev.poneytelecom.eu.
Service detected: HTTP
Testing protocols via sockets except NPN+ALPN
SSLv2 not offered (OK)
SSLv3 not offered (OK)
TLS 1 not offered
TLS 1.1 not offered
TLS 1.2 offered (OK)
TLS 1.3 offered (OK): final
NPN/SPDY not offered
ALPN/HTTP2 h2, http/1.1 (offered)
Testing cipher categories
NULL ciphers (no encryption) not offered (OK)
Anonymous NULL Ciphers (no authentication) not offered (OK)
Export ciphers (w/o ADH+NULL) not offered (OK)
LOW: 64 Bit + DES, RC[2,4], MD5 (w/o export) not offered (OK)
Triple DES Ciphers / IDEA not offered
Obsoleted CBC ciphers (AES, ARIA etc.) not offered
Strong encryption (AEAD ciphers) with no FS not offered
Forward Secrecy strong encryption (AEAD ciphers) offered (OK)
Testing server's cipher preferences
Hexcode Cipher Suite Name (OpenSSL) KeyExch. Encryption Bits Cipher Suite Name (IANA/RFC)
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
SSLv2
-
SSLv3
-
TLSv1
-
TLSv1.1
-
TLSv1.2 (no server order, thus listed by strength)
xc030 ECDHE-RSA-AES256-GCM-SHA384 ECDH 521 AESGCM 256 TLS_ECDHE_RSA_WITH_AES_256_GCM_SHA384
x9f DHE-RSA-AES256-GCM-SHA384 DH 2048 AESGCM 256 TLS_DHE_RSA_WITH_AES_256_GCM_SHA384
xcca8 ECDHE-RSA-CHACHA20-POLY1305 ECDH 521 ChaCha20 256 TLS_ECDHE_RSA_WITH_CHACHA20_POLY1305_SHA256
xccaa DHE-RSA-CHACHA20-POLY1305 DH 2048 ChaCha20 256 TLS_DHE_RSA_WITH_CHACHA20_POLY1305_SHA256
xc02f ECDHE-RSA-AES128-GCM-SHA256 ECDH 521 AESGCM 128 TLS_ECDHE_RSA_WITH_AES_128_GCM_SHA256
x9e DHE-RSA-AES128-GCM-SHA256 DH 2048 AESGCM 128 TLS_DHE_RSA_WITH_AES_128_GCM_SHA256
TLSv1.3 (no server order, thus listed by strength)
x1302 TLS_AES_256_GCM_SHA384 ECDH 253 AESGCM 256 TLS_AES_256_GCM_SHA384
x1303 TLS_CHACHA20_POLY1305_SHA256 ECDH 253 ChaCha20 256 TLS_CHACHA20_POLY1305_SHA256
x1301 TLS_AES_128_GCM_SHA256 ECDH 253 AESGCM 128 TLS_AES_128_GCM_SHA256
Has server cipher order? no
(limited sense as client will pick)
Testing robust forward secrecy (FS) -- omitting Null Authentication/Encryption, 3DES, RC4
FS is offered (OK) TLS_AES_256_GCM_SHA384 TLS_CHACHA20_POLY1305_SHA256 ECDHE-RSA-AES256-GCM-SHA384 DHE-RSA-AES256-GCM-SHA384
ECDHE-RSA-CHACHA20-POLY1305 DHE-RSA-CHACHA20-POLY1305 TLS_AES_128_GCM_SHA256 ECDHE-RSA-AES128-GCM-SHA256
DHE-RSA-AES128-GCM-SHA256
Elliptic curves offered: prime256v1 secp384r1 secp521r1 X25519 X448
Finite field group: ffdhe2048 ffdhe3072 ffdhe4096 ffdhe6144 ffdhe8192
TLS 1.2 sig_algs offered: RSA+SHA224 RSA+SHA256 RSA+SHA384 RSA+SHA512 RSA-PSS-RSAE+SHA256 RSA-PSS-RSAE+SHA384 RSA-PSS-RSAE+SHA512
TLS 1.3 sig_algs offered: RSA-PSS-RSAE+SHA256 RSA-PSS-RSAE+SHA384 RSA-PSS-RSAE+SHA512
Testing server defaults (Server Hello)
TLS extensions (standard) "renegotiation info/#65281" "server name/#0" "EC point formats/#11" "status request/#5" "supported versions/#43"
"key share/#51" "supported_groups/#10" "max fragment length/#1" "application layer protocol negotiation/#16"
"extended master secret/#23"
Session Ticket RFC 5077 hint no -- no lifetime advertised
SSL Session ID support yes
Session Resumption Tickets no, ID: yes
TLS clock skew Random values, no fingerprinting possible
Certificate Compression none
Client Authentication none
Signature Algorithm SHA256 with RSA
Server key size RSA 4096 bits (exponent is 65537)
Server key usage Digital Signature, Key Encipherment
Server extended key usage TLS Web Server Authentication, TLS Web Client Authentication
Serial 048539E72F864A52E28F6CBEFF15527F75C5 (OK: length 18)
Fingerprints SHA1 5B966867DF42BC654DA90FADFDB93B6C77DD7053
SHA256 E79D3ACF988370EF01620C00F003E92B137FFB4EE992A5B1CE3755931561629D
Common Name (CN) sklein.xyz (CN in response to request w/o SNI: letsencrypt-nginx-proxy-companion )
subjectAltName (SAN) cv.stephane-klein.info garden.stephane-klein.info sklein.xyz stephane-klein.info
Trust (hostname) Ok via SAN and CN (SNI mandatory)
Chain of trust Ok
EV cert (experimental) no
Certificate Validity (UTC) 63 >= 30 days (2024-12-26 08:40 --> 2025-03-26 08:40)
ETS/"eTLS", visibility info not present
Certificate Revocation List --
OCSP URI http://r11.o.lencr.org
OCSP stapling offered, not revoked
OCSP must staple extension --
DNS CAA RR (experimental) not offered
Certificate Transparency yes (certificate extension)
Certificates provided 2
Issuer R11 (Let's Encrypt from US)
Intermediate cert validity #1: ok > 40 days (2027-03-12 23:59). R11 <-- ISRG Root X1
Intermediate Bad OCSP (exp.) Ok
Testing HTTP header response @ "/"
HTTP Status Code 302 Moved Temporarily, redirecting to "https://sklein.xyz/fr/"
HTTP clock skew 0 sec from localtime
Strict Transport Security 365 days=31536000 s, just this domain
Public Key Pinning --
Server banner nginx/1.27.1
Application banner --
Cookie(s) (none issued at "/") -- maybe better try target URL of 30x
Security headers --
Reverse Proxy banner --
Testing vulnerabilities
Heartbleed (CVE-2014-0160) not vulnerable (OK), no heartbeat extension
CCS (CVE-2014-0224) not vulnerable (OK)
Ticketbleed (CVE-2016-9244), experiment. not vulnerable (OK), no session ticket extension
ROBOT Server does not support any cipher suites that use RSA key transport
Secure Renegotiation (RFC 5746) supported (OK)
Secure Client-Initiated Renegotiation not vulnerable (OK)
CRIME, TLS (CVE-2012-4929) not vulnerable (OK)
BREACH (CVE-2013-3587) no gzip/deflate/compress/br HTTP compression (OK) - only supplied "/" tested
POODLE, SSL (CVE-2014-3566) not vulnerable (OK), no SSLv3 support
TLS_FALLBACK_SCSV (RFC 7507) No fallback possible (OK), no protocol below TLS 1.2 offered
SWEET32 (CVE-2016-2183, CVE-2016-6329) not vulnerable (OK)
FREAK (CVE-2015-0204) not vulnerable (OK)
DROWN (CVE-2016-0800, CVE-2016-0703) not vulnerable on this host and port (OK)
make sure you don't use this certificate elsewhere with SSLv2 enabled services, see
https://search.censys.io/search?resource=hosts&virtual_hosts=INCLUDE&q=E79D3ACF988370EF01620C00F003E92B137FFB4EE992A5B1CE3755931561629D
LOGJAM (CVE-2015-4000), experimental not vulnerable (OK): no DH EXPORT ciphers, no common prime detected
BEAST (CVE-2011-3389) not vulnerable (OK), no SSL3 or TLS1
LUCKY13 (CVE-2013-0169), experimental not vulnerable (OK)
Winshock (CVE-2014-6321), experimental not vulnerable (OK)
RC4 (CVE-2013-2566, CVE-2015-2808) no RC4 ciphers detected (OK)
Running client simulations (HTTP) via sockets
Browser Protocol Cipher Suite Name (OpenSSL) Forward Secrecy
------------------------------------------------------------------------------------------------
Android 6.0 TLSv1.2 ECDHE-RSA-AES128-GCM-SHA256 256 bit ECDH (P-256)
Android 7.0 (native) TLSv1.2 ECDHE-RSA-AES128-GCM-SHA256 256 bit ECDH (P-256)
Android 8.1 (native) TLSv1.2 ECDHE-RSA-AES128-GCM-SHA256 253 bit ECDH (X25519)
Android 9.0 (native) TLSv1.3 TLS_AES_128_GCM_SHA256 253 bit ECDH (X25519)
Android 10.0 (native) TLSv1.3 TLS_AES_128_GCM_SHA256 253 bit ECDH (X25519)
Android 11 (native) TLSv1.3 TLS_AES_128_GCM_SHA256 253 bit ECDH (X25519)
Android 12 (native) TLSv1.3 TLS_AES_128_GCM_SHA256 253 bit ECDH (X25519)
Chrome 79 (Win 10) TLSv1.3 TLS_AES_128_GCM_SHA256 253 bit ECDH (X25519)
Chrome 101 (Win 10) TLSv1.3 TLS_AES_128_GCM_SHA256 253 bit ECDH (X25519)
Firefox 66 (Win 8.1/10) TLSv1.3 TLS_AES_128_GCM_SHA256 253 bit ECDH (X25519)
Firefox 100 (Win 10) TLSv1.3 TLS_AES_128_GCM_SHA256 253 bit ECDH (X25519)
IE 6 XP No connection
IE 8 Win 7 No connection
IE 8 XP No connection
IE 11 Win 7 TLSv1.2 DHE-RSA-AES256-GCM-SHA384 2048 bit DH
IE 11 Win 8.1 TLSv1.2 DHE-RSA-AES256-GCM-SHA384 2048 bit DH
IE 11 Win Phone 8.1 No connection
IE 11 Win 10 TLSv1.2 ECDHE-RSA-AES256-GCM-SHA384 256 bit ECDH (P-256)
Edge 15 Win 10 TLSv1.2 ECDHE-RSA-AES256-GCM-SHA384 253 bit ECDH (X25519)
Edge 101 Win 10 21H2 TLSv1.3 TLS_AES_128_GCM_SHA256 253 bit ECDH (X25519)
Safari 12.1 (iOS 12.2) TLSv1.3 TLS_CHACHA20_POLY1305_SHA256 253 bit ECDH (X25519)
Safari 13.0 (macOS 10.14.6) TLSv1.3 TLS_CHACHA20_POLY1305_SHA256 253 bit ECDH (X25519)
Safari 15.4 (macOS 12.3.1) TLSv1.3 TLS_AES_128_GCM_SHA256 253 bit ECDH (X25519)
Java 7u25 No connection
Java 8u161 TLSv1.2 ECDHE-RSA-AES256-GCM-SHA384 256 bit ECDH (P-256)
Java 11.0.2 (OpenJDK) TLSv1.3 TLS_AES_128_GCM_SHA256 256 bit ECDH (P-256)
Java 17.0.3 (OpenJDK) TLSv1.3 TLS_AES_256_GCM_SHA384 253 bit ECDH (X25519)
go 1.17.8 TLSv1.3 TLS_AES_128_GCM_SHA256 253 bit ECDH (X25519)
LibreSSL 2.8.3 (Apple) TLSv1.2 ECDHE-RSA-CHACHA20-POLY1305 253 bit ECDH (X25519)
OpenSSL 1.0.2e TLSv1.2 ECDHE-RSA-AES256-GCM-SHA384 256 bit ECDH (P-256)
OpenSSL 1.1.0l (Debian) TLSv1.2 ECDHE-RSA-AES256-GCM-SHA384 253 bit ECDH (X25519)
OpenSSL 1.1.1d (Debian) TLSv1.3 TLS_AES_256_GCM_SHA384 253 bit ECDH (X25519)
OpenSSL 3.0.3 (git) TLSv1.3 TLS_AES_256_GCM_SHA384 253 bit ECDH (X25519)
Apple Mail (16.0) TLSv1.2 ECDHE-RSA-AES256-GCM-SHA384 256 bit ECDH (P-256)
Thunderbird (91.9) TLSv1.3 TLS_AES_128_GCM_SHA256 253 bit ECDH (X25519)
Rating (experimental)
Rating specs (not complete) SSL Labs's 'SSL Server Rating Guide' (version 2009q from 2020-01-30)
Specification documentation https://github.com/ssllabs/research/wiki/SSL-Server-Rating-Guide
Protocol Support (weighted) 100 (30)
Key Exchange (weighted) 90 (27)
Cipher Strength (weighted) 90 (36)
Final Score 93
Overall Grade A+
Done 2025-01-21 09:46:08 [ 66s] -->> 51.159.34.231:443 (sklein.xyz) <<--
Lundi 20 janvier 2025
Journal du lundi 20 janvier 2025 à 23:57
Suite de 2025-01-20_1028.
Via ce message, j'ai lu le billet "Le statut d’entrepreneur salarié au sein d’une coopérative d’activité et d’emploi (CAE) – Timothée Goguely".
J'y ai découvert l'annuaire des CAE : https://www.les-cae.coop/trouver-une-cae
Journal du lundi 20 janvier 2025 à 22:28
J'ai récupéré l'archive de mes posts, je vais sans doute les publiers avec l'un des outils listés dans Awesome Mastodon - Archiving.
Voilà, je viens de publier mon archive de mon ancien compte Mastodon : http://archives.sklein.xyz/mamot.fr/.
Pour réaliser cette archive, j'ai utilisé Posty (https://posty.1sland.social/).
Journal du lundi 20 janvier 2025 à 10:28
Un ami vient de me partager le site web de l'association L'Échappée Belle : https://lechappeebelle.team/.
En lisant les pages suivantes :
- Journal de Décisions
- Status
- Liste d'arrivée nouvelleau membre
- Morceaux de contrat de prestation
- Nos expériences
- Menace juridique
Je pense avoir compris que les membres de cette association l'utilisent pour faire une sorte de portage salarial.
Cela permet à des indépendants d'être salariés, de mutualiser les frais comptables, bancaires…
Je ne savais pas qu'une association loi 1901 pouvait être utilisée pour un fonctionnement proche du portage salarial. C’est une solution astucieuse pour mutualiser les frais tout en offrant une flexibilité structurelle.
J'aime beaucoup leur pratique, par exemple, la forme de leur "Journal de Décisions", la rédaction de la page "Menace juridique".
CAE, SCOP ou asso ?
CAE ça a l’air plus relou que SCOP alors qu’en SCOP à priori on peut avoir ce qu’on veut en ayant tou.te.es le statut de gérant non salarié mais rémunéré. Mais on est théoriquement en attente d’une ultime réponse de l’avocat sur la SCOP. Du coup, on (David et Sabine) n’a pas envie d’attendre cette réponse pour passer sous un statut salarié ou assimilé, donc on choisit de créer une association au moins pour commencer, parce que c’est théoriquement facile, rapide et non coûteux à créer. On verra si on la transforme plus tard en SCOP ou si on reste sous le statut d’association.
Après étude de CAE versus SCOP, il me semble qu’une CAE conviendrait mieux à leur projet.
Je pense qu'une SCOP est idéale pour des structures qui exploitent des outils de production, comme des boulangeries ou des usines.
Je trouve ce projet d’association inspirant, et je tiens à féliciter les fondateurs! 👏
Dimanche 19 janvier 2025
Journal du dimanche 19 janvier 2025 à 21:33
Dans cette vidéo, #JaiDécouvert que Sébastien Canavet de la chaine YouTube Vous Avez Le Droit a publié en 2013 chez PUF le livre Droit des logiciels: Logiciels privatifs et logiciels libres.
Journal du dimanche 19 janvier 2025 à 18:27
#JaiDécouvert la chaine YouTube : Le Grand Virage (https://www.youtube.com/@legrandvirage).
Pour le moment j'ai uniquement regardé la vidéo : Documentaire - Rennes de Château le grand virage.
Appliquer une configuration nftables avec un rollback automatique de sécurité
Voici une astuce pour appliquer une configuration nftables en toute sécurité, pour éviter tout risque d'être "enfermé dehors".
Je commence par m'assurer que le fichier de configuration ne contient pas d'erreur de syntaxe ou autre :
# nft -c -f /etc/nftables.conf
Sauvegarder la configuration actuelle :
# nft list ruleset > /root/nftables-backup.conf
Application de la configuration avec un rollback automatique exécuté après 200 secondes :
# (sleep 200 && nft -f /root/nftables-backup.conf) & sudo nft -f /etc/nftables.conf
Après cette commande, j'ai 200 secondes pour tester si j'ai toujours bien accès au serveur.
Si tout fonctionne bien, alors je peux exécuter la commande suivante pour désactiver le rollback :
# pkill -f "sleep 200"
Journal du dimanche 19 janvier 2025 à 11:24
#iteration Projet GH-271 - Installer Proxmox sur mon serveur NUC Intel i3-5010U, 8Go de Ram :
Être capable d'exposer sur Internet un port d'une VM.
Voici comment j'ai atteint cet objectif.
Pour faire ce test, j'ai installé un serveur http nginx sur une VM qui a l'IP 192.168.1.236
.
Cette IP est attribuée par le DHCP installé sur mon routeur OpenWrt. Le serveur hôte Proxmox est configuré en mode bridge.
Ma Box Internet Bouygues sur 192.168.1.254
peut accéder directement à cette VM 192.168.1.236
.
Pour exposer le serveur Proxmox sur Internet, j'ai configuré mon serveur Serveur NUC i3 en tant que DMZ host.
J'ai suivi la recommandation pour éviter une attaque du type : DNS amplification attacks
DNS amplification attacks involves an attacker sending a DNS name lookup request to one or more public DNS servers, spoofing the source IP address of the targeted victim.
Avec cette configuration, je peux accéder en ssh au Serveur NUC i3 depuis Internet.
J'ai tout de suite décidé d'augmenter la sécurité du serveur ssh :
# cat <<'EOF' > /etc/ssh/sshd_config.d/sklein.conf
Protocol 2
PasswordAuthentication no
PubkeyAuthentication yes
AuthenticationMethods publickey
KbdInteractiveAuthentication no
X11Forwarding no
# systemctl restart ssh
J'ai ensuite configuré le firewall basé sur nftables pour mettre en place quelques règles de sécurité et mettre en place de redirection de port du serveur hôte Proxmox vers le port 80
de la VM 192.168.1.236
.
nftables est installé par défaut sur Proxmox mais n'est pas activé. Je commence par activer nftables :
root@nuci3:~# systemctl enable nftables
root@nuci3:~# systemctl start nftables
Voici ma configuration /etc/nftables.conf
, je me suis fortement inspiré des exemples présents dans ArchWiki : https://wiki.archlinux.org/title/Nftables#Server
# cat <<'EOF' > /etc/nftables.conf
flush ruleset;
table inet filter {
# Configuration from https://wiki.archlinux.org/title/Nftables#Server
set LANv4 {
type ipv4_addr
flags interval
elements = { 10.0.0.0/8, 172.16.0.0/12, 192.168.0.0/16, 169.254.0.0/16 }
}
set LANv6 {
type ipv6_addr
flags interval
elements = { fd00::/8, fe80::/10 }
}
chain input {
type filter hook input priority filter; policy drop;
iif lo accept comment "Accept any localhost traffic"
ct state invalid drop comment "Drop invalid connections"
ct state established,related accept comment "Accept traffic originated from us"
meta l4proto ipv6-icmp accept comment "Accept ICMPv6"
meta l4proto icmp accept comment "Accept ICMP"
ip protocol igmp accept comment "Accept IGMP"
udp dport mdns ip6 daddr ff02::fb accept comment "Accept mDNS"
udp dport mdns ip daddr 224.0.0.251 accept comment "Accept mDNS"
ip saddr @LANv4 accept comment "Connections from private IP address ranges"
ip6 saddr @LANv6 accept comment "Connections from private IP address ranges"
tcp dport ssh accept comment "Accept SSH on port 22"
tcp dport 8006 accept comment "Accept Proxmox web console"
udp sport bootpc udp dport bootps ip saddr 0.0.0.0 ip daddr 255.255.255.255 accept comment "Accept DHCPDISCOVER (for DHCP-Proxy)"
}
chain forward {
type filter hook forward priority filter; policy accept;
}
chain output {
type filter hook output priority filter; policy accept;
}
}
table nat {
chain prerouting {
type nat hook prerouting priority dstnat;
tcp dport 80 dnat to 192.168.1.236;
}
chain postrouting {
type nat hook postrouting priority srcnat;
masquerade
}
}
EOF
Pour appliquer en toute sécurité cette configuration, j'ai suivi la méthode indiquée dans : "Appliquer une configuration nftables avec un rollback automatique de sécurité".
Après cela, voici les tests que j'ai effectués :
- Depuis mon réseau local :
- Test d'accès au serveur Proxmox via ssh :
ssh root@192.168.1.43
- Test d'accès au serveur Proxmox via la console web : https://192.168.1.43:8006
- Test d'accès au service http dans la VM :
curl -I http://192.168.1.236
- Test d'accès au serveur Proxmox via ssh :
- Depuis Internet :
Voilà, tout fonctionne correctement 🙂.
Prochaines étapes :
- Être capable d'accéder depuis Internet via IPv6 à une VM
- Je souhaite arrive à effectuer un déploiement d'une Virtual instance via Terraform
Vendredi 17 janvier 2025
Journal du vendredi 17 janvier 2025 à 19:02
D'ici quelques jours, je prévois de rédiger un bilan d'utilisation de avante.nvim pour faire le point sur mon expérience avec cet outil.
Après 5 jours d'utilisation, mon retour est positif. Je trouve avante.nvim très agréable à utiliser et GitHub Copilot avec Claude Sonnet 3.5 m'assiste efficacement 🙂.
Pour le moment, le seul reproche que je peux faire à avante.nvim, c'est que je ne peux pas utiliser Neovim (me balader dans le code, éditer un fichier) pendant qu'une réponse est en train d'être rédigée dans la sidebar.
J'ai trouvé cette issue qui semble correspondre à ce problème : feature: Cursor Movement Issue During Chat Response Generation.
Journal du vendredi 17 janvier 2025 à 12:03
Suite de ma note 2025-01-15_1350.
Voici la réponse que j'ai reçu :
Notre équipe produit est revenue vers nous pour nous indiquer qu’en effet il y a un défaut de documentation.
Ce process alternatif ne fonctionne que sur la racine des domaines pas sur un sous domaine.
C’était pour les tlds qui ne donnent pas de DNS par défaut aux clients.
Journal du vendredi 17 janvier 2025 à 11:58
#JeMeDemande s'il est possible d'installer des serveurs Scaleway Elastic Metal avec des images d'OS préalablement construites avec Packer 🤔.
Je viens de poser la question suivante : Is it possible to create Elastic Metal OS images with Packer and use it to create a Elastic Metal serveurs?
En français :
Bonjour,
Je sais qu'il est possible de créer des images d'OS avec Packer utilisables lors de la création d'instance Scaleway (voir https://www.scaleway.com/en/docs/tutorials/deploy-instances-packer-terraform/).
De la même manière, je me demande s'il est possible de créer des images d'OS avec Packer pour installer des serveurs Elastic Metal .
Question : est-il possible de créer des images Elastic Metal avec Packer et d'utiliser celle-ci pour créer des serveurs Elastic Metal ?
Si c'est impossible actuellement, pensez-vous qu'il soit possible de l'implémenter ? Ou alors, est-ce que des limitations techniques de Elastic Metal rendent impossible cette fonctionnalité ?
Bonne journée, Stéphane
Je viens d'envoyer cette demande au support de Scaleway.
Mercredi 15 janvier 2025
Journal du mercredi 15 janvier 2025 à 14:55
#JaiDécouvert que le site Scaleway Feature Requests est propulsé par Fiber (https://fider.io/), développé principalement pour Guilherme Oenning, un irelandais, qui se qualifie de « Solopreneur building in public ». Il a aussi créé aptabase et SEO Gets.
Journal du mercredi 15 janvier 2025 à 13:50
Suite de la note 2025-01-14_2152 au sujet de Scaleway Domains and DNS.
Dans l'e-mail « External domain name validation » que j'ai reçu, je lis :
Alternative validation process (if your current registrar doesn't offer basic DNS service):
Please set your nameservers at your registrar to:
9ca08f37-e2c8-478d-bb0e-8a525db976b9.ns0.dom.scw.cloud
9ca08f37-e2c8-478d-bb0e-8a525db976b9.ns1.dom.scw.cloud
J'ai essayé cette méthode alternative pour le sous-domaine scw.stephane-klein.info
:
Voici les DNS Records correspondants :
scw.stephane-klein.info. 1 IN NS 9ca08f37-e2c8-478d-bb0e-8a525db976b9.ns1.dom.scw.cloud.
scw.stephane-klein.info. 1 IN NS 9ca08f37-e2c8-478d-bb0e-8a525db976b9.ns0.dom.scw.cloud.
J'ai vérifié ma configuration :
$ dig NS scw.stephane-klein.info @ali.ns.cloudflare.com
scw.stephane-klein.info. 300 IN NS 9ca08f37-e2c8-478d-bb0e-8a525db976b9.ns0.dom.scw.cloud.
scw.stephane-klein.info. 300 IN NS 9ca08f37-e2c8-478d-bb0e-8a525db976b9.ns1.dom.scw.cloud.
J'ai attendu plus d'une heure et cette méthode de validation n'a toujours pas fonctionné.
Je pense que cela ne fonctionne pas 🤔.
Je vais créer un ticket de support Scaleway pour savoir si c'est un bug ou si j'ai mal compris comment cela fonctionne.
2025-01-17 : réponse que j'ai reçu :
Notre équipe produit est revenue vers nous pour nous indiquer qu’en effet il y a un défaut de documentation.
Ce process alternatif ne fonctionne que sur la racine des domaines pas sur un sous domaine.
C’était pour les tlds qui ne donnent pas de DNS par défaut aux clients.
Conclusion : la documentation était imprécise, ce que j'ai essayé de réaliser ne peut pas fonctionner.
Pas de notes plus récentes | [ Notes plus anciennes (802) >> ]